L'Autre Bout du monde

racontée une histoire au villageois. Cette fois-ci c’était l’histoire de son dernier voyage: « ce jour là je ne savais pas ou est-ce que j’allais atterrir je me suis retrouver dans ce monde ou le peuple ce déplacé en voiture sans être tiré par des chevaux, c’est véhicule émané des gaz putride et polluant. Dans ce monde les gens échanger de la nourriture contre des feuilles ou des pièces que l’on appelle argent. Ce peuple était souvent presser et ne s’arrête jamais. Leur roi s’appeler « président »

où il présente en alternance deux récits, l’un de caractère romanesque en italique décrit l’utopie apparente d’une cité olympique sur l’île de W, un îlot de la Terre de Feu ; l’autre de caractère autobiographique, en caractères romains, relate par fragments incertains l’enfance de Perec. W est une île, « à l’autre bout du monde ». Cette société décrite dans la partie fictive du livre peut-elle être qualifiée d'utopie ? A première vue, elle en présente les caractéristiques. Cependant, le problème est

faiblesses, nos forces. Leur univers n’est ni plus beau ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu’au bout de leur destin et il n’est même jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu’à l’extrémité de leur passion. » Pour Albert Camus le héros est un personnage ordinaire qui n’a rien de surhumain, mais qui est différent de nous car lui va jusqu’au bout de ses envies. Dans un premier temps nous expliquerons la thèse d’Albert Camus, puis dans une seconde partie nous étudierons

Sommaire La plus grande richesse du monde qui nous entoure c’est a la fois son unite et sa diversite, Il existe des arbres mais tout en restant en general « arbre », il sont differents. Ils appartiennent a des diffrentes classes et categories. Que l’on parle de plantes ou d’animaux, on peut s’empecher de s’extasier devant cette impresionnante unite , si variable. Il en ai de meme lorsqu’il sa’git de l’espece humaine. « Chaque individu presente les caracteres de l’espece avec les variations qui

le petit village de Myra vivait tranquillement. Chacun vivait sa propre vie à sa façon. Et ce jour-là, un évènement attendu de tous se produisit Kalynka la femme du chef allait mettre au monde son première enfant. Oranys la guérisseuse du village était au chevet de Kalynka avec Karya le chef du village. Au bout d’une petite heure une magnifique princesse aux cheveux couleur du crépuscule et aux yeux violet ce trouvait dans les bras de ses parent comblé par la beauté de leur fille. La petite fille

Tout d'abord l'évocation d'un monde éloigné a permis dans un certain nombre de récits de dénoncer les atteintes faites à l'Autre par les états comme l'esclavage ainsi que le colonialisme, c'est ce que met en évidence le texte du corpus "supplément au voyage de Bougainville" de Denis Diderot. Le lecteur en étant interpellé de cette manière, par un vieillard du bout du monde qui semble plus sage que Bougainville, est peut-être plus enclins à une réflexion plus juste concernant des sujets graves

................................................................................7 Les problèmes qui arrivent.............................................................................................................. 8 Le premier arrivé attend l'autre................................................................................................... 8 Un Kilomètre à pied.................................................................................................................... 8 La lumière

roi car à l’époque de La Fontaine , le système en place est la monarchie absolue . I) Une fausse puissance La tortue et les deux canards La tortue lasse de rester dans son pays voulu explorer le monde . Deux canards lui proposèrent de le transporter à l’aide d’un bâton , un canard à chaque bout et la tortue mordant le bâton au milieu . La tortue accepta et une fois en l’air , elle fut sujet de toutes les discutions des personnes qui la virent mais la tortue lâcha prise et tomba au milieu des

volonté du père de donner une chance, à sa fille, de renaître au bout de sept ans, plus parfaite en admettant du même coup son incompétence en temps que parent. Pendant ce temps, le prince dit le texte : «...venait souvent prés de la tour et appelait Méline par son no….» 1 Le fait de préciser qu’il l’appelait par son nom, démontre l’importance de l’identification. La nommer, c’est s’en souvenir, c’est la garder dans le monde réel pour éviter de la reléguer au passé, ou empêcher de la faire

plus importantes que la vérité. En effet, il est souvent plus facile de ne pas chercher la vérité, pour préserver certains éléments de notre vie auxquels nous tenons par exemple, mais chercher la vérité est aussi nécessaire pour faire avancer le monde qui nous entour. Au nom de quoi faut-il alors chercher la vérité ? Après avoir examiné la position de ceux qui pensent qu’il vaut mieux chercher la vérité, puis celle de ceux qui pensent que, au contraire, il ne faut pas chercher la vérité, nous