L'Avare

découvrir que l'usurier n'est autre que son père ; une violente dispute les oppose. L'intrigante Frosine entre en scène, elle persuade Harpagon que Mariane est une femme qui préfère les hommes âgés et qu'elle serait disposée à se marier avec lui. L'avare est ennuyé par le manque de fortune de la jeune femme, mais Frosine le convainc qu'une personne pauvre qui ignore les dépenses ne peut que lui convenir. L'intrigante veut se faire payer de ses services, mais Harpagon élude et s'en va. Acte III -

) OBJECTIF GÉNÉRAL : Lire une pièce de théâtre. OBJECTIFS SECONDAIRES : • Aborder l’argumentation (3) à travers le dialogue théâtral. • Explorer les différentes interprétations d’une scène. LECTURE : - DE TEXTE : Une pièce de Molière : L’Avare - D’IMAGES MOBILES : Deux mises en scène du monologue d’Harpagon : • Réalisation (téléfilm) de Christian de Chalonge , avec Michel Serrault dans le rôle titre • Réalisation (film) de Jean Girault et de Louis de Funès, avec Louis de Funès dans

farce d'essence populaire, exerce une critique des individus, des caractères ou des types. Au nom d'une morale fondée sur la nature de l'homme, elle dénonce les défauts des hommes dont elle propose une analyse psychologique complexe (Le Misanthrope, L’Avare). De la satire à la dénonciation Critiquer • La comédie ne se borne pas au seul comique de caractère. S'exposant à la censure (Tartuffe de Molière : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais], elle élargit son propos à une satire du monde social

comique de mots (choix des mots, répétitions…), le comique des gestes, le comique des mœurs, ou le comique de caractères (traits moraux). La comédie cherche à donner des morales comme la tragédie. Molière est le plus connu dramaturge de la comédie « L’Avare 1668, Le Bourgeois Gentilhomme, 1670 ».

lecteur. Les rires fusent durant la représentation, les pièces aux intrigues "faciles" sont très compréhensibles. Mais qu'en est-il des idées transmises ? Celles-ci peuvent ne pas être prises au sérieux, et l'histoire peut supplanter la critique. L'avare est ainsi une pièce ambiguë pour la transmission des idées. Retiendra-t-on plus le ridicule du personnage d'Haragon, ou la morale transmise par l'histoire sur l'avarice ?... Les auteurs, en critiquant trop ouvertement les défauts, en s'attaquant

la caricature d'Orgon : on y trouve à la fois un mari et un père totalement aveugle, et quand une dispute explose entre Dorine et Orgon à l'acte2 scène2. Il y a toujours un personnage destiné à faire rire par son ridicule tel que Harpagon dans « l'Avare » de Molière et son célèbre ''Je me meurs, je suis mort, je suis enterré'' Le comique de mot met en scène des plaisanteries, des jeux de mots, et un langage déformé suscitant le rire. Comme c'est le cas dans l'acte2 scène4 de « Tartuffe » quand

interrompre la représentation, c'est seulement le 29 novembre suivant, chez Henriette d'Angleterre, belle-soeur du roi, que le comédien peut donner l'intégralité de sa pièce. Apparaissent dans la foulée d'autres chefs-d'oeuvre : Dom Juan, le Misanthrope, l'Avare... Le 17 février 1673, après avoir donné la quatrième représentation du Malade Imaginaire, le comédien s'écroule. Il meurt quelques instants après, ayant atteint l'âge canonique de... 51 ans, usé par le travail, les soucis d'argent et les tourments

pièce chez le spectateur. Le tout étant d'épurer ou plus souvent d'exagérer les différents éléments de la pièce ; les titres des pièces de Molière évoquent souvent les personnages qui y sont mis en scène, et annoncent déjà leurs caractères excessifs: L'Avare, Le Bourgeois gentilhomme, Don Juan, Les Fourberies de Scapin… Les portraits qui en sont dressés ensuite au fil de l'histoire tendent vers la caricature. Ils sont entrainés peu à peu dans les engrenages de situations incongrues, inconfortables, dont

« coquettes vilaines... d'ouir aucun jeune blondin » . Pour donner plus de relief a cette culpabiliter il s'appuiye sur des preceptes religieux qu'agne a entendue au couvent. Question 3 : Un personnage ridicule. Le personnage d'arnolphe comme l'avare est un personagge escessif et caricatural. Ce discour est semé d'hyperbole : «Austeres devoirs...la tout puissance...moitié supreme...profond respect... » Peut a peu en s'echauffant il en vient a menacer agnes de chatiments effrayant en s'appuyant

Séries technologiques Objet d'étude : Le théâtre, texte et représentation. Textes : Texte A : Molière, L'Avare, 1668. Texte B : Alfred de Musset, Il ne faut jurer de rien, 1836. Texte C : Henry de Montherlant, La Reine morte, 1942. Texte D : Texte A : Molière, L'Avare, 1668. Acte I, scène 4. [Clêante et Élise, les enfants d'Harpagon, veulent entretenir leur père de leur projet respectif de mariage.] HARPAGON, CLEANTE, ELISE CLEANTE