L'Avenir d'une illusion

uniquement celle des bouteilles ou des jerricans vendus dans le commerce qui est consommée. L’eau courante est depuis longtemps un mirage au Yémen, et pas seulement dans ses déserts et ses montagnes arides. […] Le partage d’une ressource de plus en plus disputée risque d’alimenter à l’avenir une série de guerres de l’eau opposant les campagnes aux villes, ou les régions les plus arrosées aux plus sèches. Un Yéménite dispose en moyenne de 120 m3 d’eau par an pour pourvoir à tous ses usages, contre 1 500

événements sanglants de juin 1848 détruisent les illusions du poète. Son échec cuisant lors des élections présidentielles de 1848 marque la fin de sa carrière politique. De nombreuses dettes de jeu et des soucis financiers assombrissent la fin de sa vie. Lamartine devient une sorte de forçat de la littérature : récits, romans, compilations historiques ne lui permettent pourtant pas d’échapper à ses créanciers. Il doit vendre ses biens et accepter l’humiliation d’une pension nationale. Seule sa relation sentimentale

n’aurait plus l’utilité d’être vécu. Car nous n’aurions plus de but, plus de sommets à atteindre. Mais alors ? Est-ce qu’il faut vivre la vie comme si chaque jour était le dernier ? Ne pas réellement réfléchir, et seulement agir, et voir ce que l’avenir nous réserve ? Freud définie le désir comme l’essence même de l’humanité et de notre psychologie. Selon lui, le concept de pulsion a une origine particulière. La pulsion est d’origine corporelle et elle grandit dans notre esprit qui doit, pour

essentielle — de toute pensée n'est pas intellectuelle mais existentielle, c'est-à-dire qu'elle ne vise pas à édifier des constructions spéculatives abstraites, mais à fonder la possibilité de vivre, de vivre d'une façon humaine, en assumant l'échec, la souffrance, la vieillesse, la mort et, d'une façon générale, toutes les contradictions qui déchirent notre existence. Il ne s'agit donc pas d'expliquer le monde et la vie, mais de les justifier, de leur donner un sens, de les rendre tolérables. C'est

Eric Hobsbawm , textes inédits, paris , demopolis,2008, p.77,p.100-101 ,p.150-155 « Historien instinctif , rétif à la planification et à la recherche systématique et qui au fond dans sa carrière et ses écrits s’est laissé porter par les courants d’une vie dominés par les contingences et les hasards »voila comment se définit l’historien franc-tireur , Eric Hobsbawm. Né en 1917 , avec la révolution russe dans une famille juive , il grandit à viennes et c’est au tout debut des années 30 alors lycéen

Première Guerre mondiale quand il s’est engagé dans l’armée française. Sur fond d’une réalité dure de la guerre, il vit sa guerre intérieure dont la belle aristocrate Louise de Coligny–Châtillon, dite Lou, est la cause. Il l’a rencontrée à Nice en 1914. Cette femme et la guerre lui inspirent de nombreux poèmes et lettres. Ce poème, un vrai récit d’amour, nous montre la dureté et une fin inévitable d’une relation amoureuse très compliquée et presque impossible. C’est un poème autobiographique

évènements et des phénomènes est due au principe de causalité. Dans cet extrait, LAPLACE va d'abord éclaircir sa position et nous montrer qu'il croit au rapport de cause a effet et critiquer, voir même réfute l’antithèse qui n'est, pour lui, qu' illusion et ignorance. Ensuite il va montrer la nécessité de l’hypothèse du déterminisme en rejetant totalement le principe de libre-arbitre. Pour enfin exposer les conséquence que peut avoir cette hypothèse sur notre vie, sur nos connaissances. A partie

guerres dont se montrent capables les hommes les uns envers les autres, individuellement et collectivement, il semble légitime de s’interroger avec Freud sur le fond de la nature humaine. [Objectif de l’auteur] : Ce dernier, dans l’extrait de L’avenir d’une illusion que nous allons étudier, vise à réfuter la thèse, et même à dénoncer le mythe, de l’homme naturellement bon. [Question et thèmes] : Nous pouvons donc nous interroger avec lui sur les questions suivantes : la violence humaine, qu’elle soit

peut donc qualifier d’éphémère. Le futur lui n’existe que lorsque l’Homme prémédite une action ou est en état d’attente ; il n’existe donc pas encore. • Passé – Présent – Futur : Le passé par définition n’est plus et l’être au monde du futur est l’avenir. Or, l’être-pas-encore et le n’être-plus sont deux modalités qui appartiennent au non être. C’est pour cela que Saint Augustin isole le passé et le futur du présent et qu’il remet en cause leur existence en raison de son impossibilité de les situer

L’IGNORANCE C’EST LA FORCE Extrait de 1984 - Georges Orwell Annonce des axes Commentaire littéraire de l'extrait : I. La déshumanisation du monde A. Un monde étroitement surveillé - Police de la Pensée - Ministère de la Vérité = une illusion - Privation de liberté = surveillance, voir sans être vu - Champ lexical de la surveillance : à débiter des renseignements, télécran, captait tous les sons, champ de vision, être vu aussi bien qu’entendu, on était surveillé, se branchait sur une