L Aventure Ambiguë

conquêtes amoureuses « belle histoire » → exploits II- Comment Hippolyte se révèle par le texte 1. Double hérédité Relation ambigüe à l’amour car tiraillée par deux aspects inverses (père séducteur, mère amazone). Donc il considère que l’amour est une faute, une défaillance d’une part car il est issu d’une amazone et d’autre part car il condamne les aventures de son père. - Rappel de l’attitude morale avec les adjectifs, renforcé par l’adverbe intensif « si » → « si fier » ; « si dédaigneux »

Ce décalage peut s’expliquer par le fait que le mariage pour les valets n’a pas la même importance sociale que pour les maîtres, sauf s’il leur permet de progresser socialement (c’est ce dont rêveront Arlequin et Lisette ensuite.) c) une attitude ambiguë envers Sylvia. Arlequin interpelle celle qu’il croit être une femme de chambre (soubrette) familièrement.  « Que dites-vous là à mon valet, la belle ? ». « Vous qui êtes si jolie ». Dans la mise en scène, on le voit prendre des positions de conquérant ;

Voltaire fait-il passer les idées des Lumières et la dénonciation de l'esclavage dans cet épisode de Candide? I.Différentes voix sur l'esclavage nègre utilisé au XVII siècle 1.Un récit au passé Verbes au passé simple et imparfait → récit d'1 des aventures de Candide. Narrateur introduit passage en situant Candide et son domestique, aux approches de Surinam ==> situation initiale. Psg parlent au style direct, récit qu'à la fin de l'épisode : « et il versa des larmes... » 2.Le dialogue De façon

l’homme. Lorsque Lewis CARROLL écrit Alice, la linguistique n’est pas encore structurale et SAUSSURE est encore à l’école primaire... Pourtant, les aventures de la petite fille vont découvrir un monde imaginaire presque entièrement suscité par des « dérapages » langagiers, par une utilisation systématiquement perverse des possibilités ambiguës de la langue. L’expérience d’Alice construit une « réalité » atypique, motivée par les flottements endogènes au discours dissocié des conditions pragmatiques

Des Grieux/ Manon et le thème de la passion Des Grieux est caractérisé par sa bonne naissance et les valeurs associées à son rang. Le retour auprès de son frère à la fin du roman semble acter sa réintégration sociale. Toutefois, son aventure avec Manon le conduit à transgresser toutes les règles : il rompt avec sa famille, renonce à l’ordre de Malte, renie son engagement au séminaire, il triche, vole et même tue. Son unique préoccupation est de rester aux côtés de Manon, quand bien même

imagerie générale (Match : un million et demi de lecteurs, environ), les efforts des ethnologues pour démystifier le fait nègre, les précautions rigoureuses qu’ils observent déjà depuis fort longtemps lorsqu’ils sont obligés de manier ces notions ambigües de “Primitifs” ou “d’Archaïques”, la probité intellectuelle d’hommes comme Mauss, Lévi-Strauss ou Leroi-Gourhan aux prises avec de vieux termes raciaux camouflés, on comprendra mieux l’une de nos servitudes majeures : le divorce accablant de la connaissance

et son potentiel organique. C’est que le risque est grand, lorsqu’on approfondit le personnage du dandy, de retrouver des figures typiques classiques qui lui font bord : l’exploration de la psychologie du dandy est un territoire miné, pour qui s’y aventure armé des seules catégories de pensée classiques. Une solution stratégique consistera à choisir des personnages secondaires dandyesques, qui ne seront qu’évoqués, ou bien de se limiter à apporter des caractères dandyesques aux personnages principaux

éclatantes ; à la mort et à la misère qu’ils fuient, la vie fébrile de l’activité économique ; à la petite ville de Valognes, l’expansion de l’univers urbain. 3) Un sentiment ambivalent Ce faisceau de contrastes suscite chez Denise une réaction ambiguë, à la fois fascinée (comme le suggère la suite d’adjectifs : " émue, intéressée, oublieuse du reste ") et légèrement apeurée. III. Le pacte de lecture : roman d’initiation et fresque sociale 1) Un roman d’initiation Présence des indices du genre :

points spécifiques : la Résistance comme thématique dominante, souvent mise au service des gouvernements . Et les moyens de productions de ce cinema d’apres guerre . L’après-coup. Dans l’immediat apreès guerre, nous sommes dans une période ambiguë, encore dans la guerre et déjà dans l’après, où on éprouve le besoin de revenir sur le choc subit, mais où les contraintes politiques et économique immédiatent restent forte.D’une part, les destructions gênent la production, de l’autre les impératifs

dévastée de ne plus avoir sa confiance : « Je suis au désespoir », « Cette aventure-ci est bien triste pour moi ! ». On peut donc dire que les sentiments que porte Marton à sa maîtresse sont bel et bien sincères eux aussi.Les Fausses Confidences possède tout de même, malgré tous les stratagèmes, une part de sincérité, notamment dans les sentiments des personnages. Dans sa pièce, Marivaux joue parfois sur une sincérité ambiguë qui va faire douter le lecteur. C’est par exemple le cas pour Dorante dont