L Aventure Ambiguë

mais ne le condamne pas, car par-delà son ridicule, il y a l’amour qu’il porte à son « peuple » (je n’aime pas ce terme, mais il n’y en a pas d’autre !), et l’orgueil collectif qu’il veut rendre à ses concitoyens humiliés par la colonisation. Son aventure est tragique : il s’isole, un fossé se creuse entre lui et la population, et il se retrouve seul. Or, c’est là le problème de la condition de l’homme politique dans les pays sous-développés, et en Afrique particulièrement. Je n’ai pas voulu faire

licorne est liée à la sculpture aussi, parce que cette « bête fabuleuse et duplice » a été regardé comme « rusé, cruel…franchement vulnérable, sinon diabolique » (Clair 61). En regardant ce lien, Giacometti présente la moralité ambiguë dans son œuvre. Enfin, le livre Les Aventures du Pinocchio : histoire d’un pantin, publié                                                                      

exotique des noms des brigands abattus par Thésée : «Procuste, Cercyon et Scirron et Sinnis». b) Thésée, coureur de jupons. Mais les exploits héroïques de Thésée sont très nettement distingués par Hippolyte d'un autre aspect «moins glorieux» de ses aventures passées, ou présentes. Au récit des faits glorieux (« Tu me comptais alors...») s'oppose le récit déprécié des séductions amoureuses («Mais quand tu récitais des faits moins glorieux» v.83, «réciter» ayant le sens étymologique de «dire à haute voix»)

l'irréparable, traînant, comme une âme en peine, une existence sans but. À l'auberge du Lion d'or, le jeune homme se présenta (il était le chevalier des Grieux, cadet de bonne famille), et entreprit  le récit de ses malheurs, les cinq années de son aventure. En 1717, âgé de dix-sept ans, destiné par son père à l'ordre de Malte, ordre religieux de moines-soldats, le jeune chevalier venait d'achever ses études de philosophie à Amiens, et se disposait à rentrer dans sa famille, lorsqu'il

permet à l'être humain de réaliser la communion avec les autres et avec soi-même,c'est une aventure extraordinaire, un exploit . Dans les premiers romans il s’agit des individus qui entreprennent les exploits – ce sont les aventures individuelles. Pourtant M. pense que cela ne suffit pas, il faut sentir la solidarité avec les autres, s’engage avec les autres pour une cause qui ne sera pas personnelle – une aventure collective. Dans ses oeuvres suivantes il essaie de répondre à la question qu'il a posée

Quel est le rôle des histoires dans Fin de partie ? • Quel rôle le « roman de Hamm » joue-t-il dans la pièce ? • Y a-t-il un dénouement dans la pièce de Beckett //Fin de partie// ? • En quoi le dernier monologue de Hamm constitue-t-il une fin ambiguë ? • Quelles sont les fonctions des monologues dans la pièce ? **Questions portant sur les personnages** • Quelles significations suggèrent les noms des personnages de //Fin de partie// ? • Quelles relations unissent les personnages de //Fin

touchés • la position du soldat : - détendu : Rimbaud met en valeur l’attitude peut réglementaire du soldat. Ce dernier est oisif. • une attitude ambiguë : - il dort d’un sommeil inquiétant - plusieurs éléments rappellent la mort - ce froid est anormal • éléments de la nature évoquant cette ambiguë tragique : - tombeau « trou de verdure » - couleurs froides • une mort omniprésente : Rimbaud nous mène sur une fausse piste avec ce soldat endormi. Il

comme tous ceux qu’il a croisés sur sa route, Baldini meurt dans l’effondrement de son immeuble. Taillade-Epinasse est un scientifique qui cherche à démontrer la théorie du fluidium létale tellurique. Il est représenté avec une personnalité un peu ambigüe car il est capable de passer d’un état de fou à un état hyper sérieux. Comme avec tous les autres personnages, notre protagoniste lui permettra de rencontrer la gloire et décèdera tragiquement. Mme Arnulfi est une veuve. A la mort de son mari, elle

révolutionne le roman avec Jacques le Fataliste, invente la critique à travers ses Salons et supervise la rédaction d'un des ouvrages les plus marquants de son siècle, la célèbre Encyclopédie. Jacques le fataliste Jacques le Fataliste conte les aventures et les conversations de deux cavaliers, Jacques et son maître, alors que les deux hommes cheminent vers une destination inconnue. Jacques est un valet courageux, intelligent, généreux et a le sens de l’initiative. Philosophe prolixe il affirme

tragiques. La caractérisation, « obscure » (v.5), sonnant comme oxymore, prépare l'assimilation du vivant et du mortifère. Le glissement lexical, par l'exercice de la reformulation, réalise la mise en œuvre du sort dans l'étymologie du substantif, « aventure » (v.4), comme ce qui doit advenir, le sort, la fatalité. L'effet miroir au cœur de l'heptasyllabe superpose « vie » (v.5) et « mort » (v.6), par l'antithèse résonne la sentence, cette équation fatale, isolée syntaxiquement. L'expérience singulière