L'Aveu

du champ lexical de la culpabilité : « remords, secret, crains, tremble, odieuse, haïriez, peine, offense, me dévore, trouble ». Par ailleurs, ses sentiments ne sont pas transcris explicitement. Ceci implique que l'aveu n'est qu'implicite et de ce fait difficile à avouer et donc à accepter. L'aveu d'adultère ne semble pas être admis par Phèdre. Cependant, la fatalité pesant sur la famille de Phèdre la rattrape et l'amène à se dévoiler contre sa volonté. La passion, jouant un rôle essentiel dans la

fétichisme quand Cyrano prend en adoration le nom, la chevelure, la main de Roxane, (chiasme, métonymie, -          des topos du langage amoureux : importance du regard (1er contact), champ lexical de la lumière, du feu… II Sincérité et émotion dans l’aveu a) Une parole troublée -          d’un point de vue métrique : enjambements, dislocation du vers, coupes spécifiques…L’éloquence de Cyrano est mise en branle sous le poids de l’émotion -          contagion du bouleversement : didascalie concernant

succès. Elle l’a rédigé en collaboration avec ses amis La Rochefoucauld et Segrais. Ce dernier signera cette histoire espagnole. En 1678, parait « La princesse de Clèves ». Cet ouvrage connait un immense succès, certainement en raison de la scène de l’aveu par Mme de Clèves à son mari de sa passion pour le duc de Nemours. Deux ans après la publication de « La princesse de Clèves », son ami La Rochefoucauld meurt, ce qui la touchera énormément. Trois ans plus tard, c’est son mari, le comte de La Fayette

cour; naît une passion réciproque. Mme de Chartres meurt, non sans avoir incité sa fille à lutter contre un amour qu’elle a deviné. Mme de Clèves se retire à la campagne. Deuxième partie. Son mari lui narre l’histoire d’une dame volage; il prône l’aveu si une femme mariée éprouve quelque inclination ailleurs. De retour à Paris, Mme de Clèves se croit guérie de son amour, mais la jalousie lui prouve bientôt le contraire. Nemours dérobe son portrait sous ses yeux sans qu’elle réagisse. Elle entre

Texte 2 : L’école des femmes, Molière Acte II, scène 5 L’aveu d’Agnès à Arnolphe Molière : auteur dramatique français L’école des femmes : comédie publiée en 1663 XVII°siècle : classicisme Arnolphe adopte Agnès quand elle a 4ans dans une ferme. Il l’a fait élever dans un couvent et décide de la modeler selon ses désirs : il veut qu’elle soit soumise et fidèle. A force de vouloir la préserver du monde extérieur il est prit à son piège puisqu’elle tombe amoureuse d’Horace. Agnès avoue ici

raisons vont être communiqué dans cet extrait. Elle est épris d'hippolyte alors que ce dernier est amoureux d'Aricie une priosnnière d'un clan ennemi. Cet extrait prend place au début de la pièce à l'acte 1 Scène 3. Mais quel est la forme de l'aveu et son objet ? Il s'agit de s' intéresser aux différentes parties de cet aveu et ses conséquences. I/ Une méprise d'Oenone. Du vers 1 à 9 Oenone la confidente de Phèdre voit que sa maîtresse n'est pas dans son état normal et essaye de comprendre

contrepartie, peu important à cet égard qu’elle fût ou non équivalente à la dépense engagée, la cour d’appel, qui n’a pas tiré les conséquences légales de ses propres constatations, a violé, par fausse application, l’article 1371 du code civil ; 2/ que l’aveu extrajudiciaire exige de la part de son auteur une manifestation non équivoque de sa volonté de reconnaître pour vrai un fait de nature à produire contre lui des conséquences juridiques. Ainsi, en l’espèce, en se bornant à énoncer qu’un projet de

Phèdre est une tragédie de Racine . Écrite en 1677, cette pièce est devenue l’une des tragédies classiques les plus connues et Racine le grand tragédien du classicisme. Dans la pièce Phèdre est l'épouse de Thésée et aime Hippolyte, le fils que Thésée a eu avec sa première femme. Cet extrait est issu de la scène 5 de l’acte II dans laquelle Phèdre et Hippolyte se retrouvent suite à l’annonce de la mort de Thésée

entre les parties, par la cour d'appel de Reims ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Douai ; III. L’aveu judiciaireCiv. 1ère, 11 mars 1980SUR LE MOYEN UNIQUE, PRIS EN SES QUATRE BRANCHES :ATTENDU, SELON LES ENONCIATIONS DE L'ARRET ATTAQUE, QUE CASTIGLIONI, PRESIDENT-DIRECTEUR GENERAL DE LA SOCIETE ANONYME DES TUILERIES BRIQUETERIES ET POTERIES DE BRAQUIS

trouve vers la fin du film. Alex vient d'apprendre la vérité sur le déroulement des évènements qui conduisent à la disparition de Margot, mais nous, spectateurs, pendant la durée de l'aveu, n'avions que l'écoute des policiers, et cette partie précisément avait été brouillée. Alex se remémore en conduisant sa voiture l'aveu, et c'est à ce moment précis que nous apprenons la vérité. Margot après avoir été battu, a elle même tué Philippe Neuville.