L'Aveu

étant signe du pouvoir tout d’abord Cyrano lit la lettre constamment entrecoupée par Roxane « Cyrano : ma chère, ma chérie, mon trésor... Roxane d' une voix... ». Cette est vu essentiel par le lecteur: il fallait que le subterfuge soit révélé et que l’aveu d’amour de Cyrano à Roxane ait lieu. Cet aveu créé un suspens et un effet d’attente important, qui le dramatisent et qui rendent la scène tragique. Dans un dernier temps nous voyons une scène amour tragique qui se met en place. Cette scène (est la

différents moyens de preuve : « - La preuve littérale (désigne la preuve par écrit) * La preuve testimoniale (preuve résultant de témoignages) * Les présomptions (mécanismes par lesquels la loi tire d’un fait connu un fait inconnu) * L’aveu : la preuve résulte de la déclaration de la partie portant aveu des faits ou du droit invoqués par la partie adverse * Le serment : preuve résultant d’une procédure par laquelle une partie demande à l’autre d’affirmer en prêtant serment la barre

souffrira pas plus en lui parlant. Il va imaginer une B qui accepte ses paroles. Il y a des questions rhétoriques qui attendent pour réponse un « non ». « Je ne viens que vous dire » (Ver 40) : restriction, atténue l’aveu. « Qu’après m’être […] espoir superflus » (Ver 41 à 45) : ça retarde l’aveu. Lorsque il avoue c’est indirectement « Après cinq ans d’amour » (Ver 45). « Aujourd’hui qu’il peut tout, que votre hymen s’avance » (Ver 43) : mise en avant mariage & puissance de T. « Il peut tout » oppose T

culturel). • Perspective dominante : étude des genres et des registres. Le tragique. • Problématique : En quoi Phèdre est-elle la tragédie de la parole ? LECTURES ANALYTIQUES ŒUVRE INTEGRALE Auteurs, extraits. • L’aveu de Phèdre à Oenone : vers 269-306 • L’aveu de Phèdre à Hippolyte. Tirade 2 : Vers 671- 711 • La jalousie de Phèdre. Tirade 2 : vers 1252-1294 • Le récit de Théramène. Vers 1498-1570 - Le dernier souffle de Phèdre. 1622- 1643 Lecture(s) cursive(s) et documents complémentaires

preuve écrite. En l'espèce Louis le bijoutier devra recourir à d'autres modes de preuves que ceux qui relève de l'écrit. Par conséquent en droit de la preuve il existe plusieurs preuves non écrites pour les acte juridique, comme l'aveu ou le serment décisoire. L'aveu est la déclaration par laquelle une personne reconnaît la réalité d'un fat ou d'un acte juridique tandis que le serment décisoire est utilisé quand une partie se trouve dans l'incapacité de prouver un élément de fait. En l'espèce

théatral : - - - 2) Un amour impossible -mélange des classes sociales - - 3) Un amour qui conduit a la mort - - L'épiphanie du sublime se déploie en trois temps : le pardon accepté (vers 2242), la prière à Dieu (vers 2245-2248) et enfin l'aveu de la reine (vers 2240 et surtout 2249). Après le paroxisme du suicide, la scène amorce un mouvement descendant qui aboutit à la sérénité et au silence. Si le suicide de Ruy Blas n'est pas la conséquence du refus de la reine de lui pardonner, il

conditionnel est l’instrument de sa sincérité. Il lui permet de révéler la hantise de n’être plus aimée qui lui interdit, au moins autant que la mémoire de son époux, de se remarier avec l’homme qu’elle aime. L’aveu de cette crainte est ressenti par Madame de Clèves comme aussi pénible que l’aveu de son amour (l. 33, « je ne saurais vous avouer, sans honte… »). Il s’agit d’un aveu d’amour qui porte les germes d’un refus. b. Une stylistique pour contrer les arguments adverses - Pour Nemours, l’emploi

pour ce qu’il est. c)Problématique : Comment le dénouement de la pièce met-il en scène une mort sublime ? d)Plan Nous verrons en quoi, dans cette scène, les contrastes, propres au drame romantique, servent à créer une fin sublime : la mort permet l’aveu de l’amour. Le choix du suicide fait dire à la reine qu’elle est amoureuse, même si les sentiments ne pourront être vécus. I-Une scène contrastée, propre au drame romantique a)Un personnage marginal Ruy Blas est laquais de Don Salluste, grand

certaines limites, tels que la véracité ou l’intérêt du lecteur pour le récit. Cependant, l’auteur réussit à y remédier de différentes manières. Nous allons d’abord nous pencher sur le côté vivant du récit, puis sur les fonctions que peuvent avoir l’aveu de l’auteur.Rousseau sait que pour que son œuvre intéresse le lecteur, il faut que le récit soit vivant. Un récit vivant signifie qui est concret et intéressant pour le lecteur. Pour ce faire, il va utiliser différentes méthodes.La première est le

l’innocence et l’honnêteté, pourtant chaque réplique est un double jeu. Cette mise en abîme se joue toutefois d’Araminte qui, pensant manipuler Dorante est en faite en train de servir les attentes de celui-ci. Elle va tout de même obtenir l’aveu escompté. 2ème mouvement : l’aveu ah! L63 100 fois …… ExpierExclamation Hyperbole } Question + voc.} religieux}Renversement de situation Relèvent de la tragédie D. joue parfaitement son rôle d’amant soumis et discret. Les procédés utilisés renforcent le caractère