L Empire 1804 1814 Une Monarchie Dénaturé

l’émergence de la République en France au 19ème 10/08/1792 : prise des Tuileries qui a fait 400 morts : la monarchie s’écroule 22/9/1792 : proclamation de la 1ère République 1799 : coup d’État de Napoléon arrivé au pouvoir 1804 : 1er Empire 1815 : mort de Napoléon, les frères de Louis XVI succèdent, c’est la dynastie des Bourbons 24/2/1848 : révolution 1848-1852 : 2ème République 1852 : 2nd Empire 4/9/1870 : IIIème République : c’est le régime de la France le plus long. La République est installée bien

idéologiques et mentalités. SECTION 1 Division et déclin des idées monarchiques La révolution française ,a donnée un coup fatal aux monarchistes et certains monarchistes vont tenter d’adapter leurs idées aux temps nouveaux sous la forme d’une monarchie constitutionnelle. En 1789 la révolution des juristes est un moment déterminant parce qu’elle permet d’accélérer le processus révolutionnaire. L’assemblée se déclare assemblée constituante c’est-à-dire qu’elle se charge de préparer une constitution

laquelle repose la société et de l' Etat ( organisation en ordre et privilège ). L' absolutisme monarchique est de plus en plus critiqué sous l' influence d' idée nouvelle ( idée des Lumières ( Montesquieu, Rousseau … ) ). On ne veut pas abandonner la monarchie mais on critique la concentration des trois pouvoirs dans les mains du roi, celui çi est en plus le seul détenteur de la souveraineté. Crise institutionnelle, l' ancien régime est incapable de se réformer à cause de ses structures en raison de

question de lecture et une de réflexion (droit à tous les documents : cours et livre) Le livre : « Les souvenirs » d'Alexis de Tocqueville (poche édition Flammarion) (Cours 1 : 22 septembre 2009) Cours préliminaire : régimes napoléoniens (1799-1814/1815) INTRODUCTION : Présentation trame chronologique Données économiques et sociales Traces mémorielles (ce que la postérité a retenu de ces régimes, correspondance réalité historique?) La trame chronologique NB arrive au

constitution de 58 présente des ressemblances et des différences avec celles qui l’on précédée. Certaines disposition de notre constitution sont pratiquement identique à des dispositions anciennes (ex : le droit de grâce, actuel du Président, vient de la monarchie ; tous les chefs d’états républicains se sont vu reconnaître ce droit par les constitutions antérieur. Le président de la Vème république ne fait qu’hériter du droit.) Le président de la république dispose de la force armée, il négocie et ratifie

du droit. Le temps, le pouvoir et la science au service du droit, Paris, 1999 ; - J.-L. Halpérin, Histoire du droit privé français depuis 1804, Paris, 2001 ; - J.-L. Halpérin, L’impossible Code civil, Paris, 1992 ; - T. Lentz, Le Grand Consulat, 1799-1814, Paris, 1999 ; - T. Lentz, La France et l’Europe de Napoléon (tome 3 de la Nouvelle Histoire du Premier Empire), Paris, 2007 ; - J.-Fr. Niort, Homo civilis. Contribution à l’histoire du Code civil français, Aix-en-Provence, 2004, 2 vol. - J.-B. d’Onorio

constitution actuelle, qui présente des ressemblances et des différences avec celles quo l’ont précédé. Certaines dispositions sont issus de constitutions anciennes. Par exemple le droit de grâce du président de la 5ème République nous vient de la monarchie. Tous les chefs d’État républicains de la 2ème, 3ème et 4ème république se sont servis de ce droit. De même depuis la 2ème république le président dispose de la force armée, il négocie et ratifie les traités et il accrédite les ambassadeurs. Tous

d’élaboration (acte d’établissement) de 1701 (fixe de nouvelles limites au pouvoirs de la couronne en fixant des règles de succession au trône et en prévoyant l’obligation pour le nouveau monarque de signer la déclaration des droits). L’exclusion de la monarchie constitutionnelle démocratique de la Grande Bretagne du constitutionnalisme tient en ce que les textes limitant le pouvoir du souverain sont séparés et coexistent avec des règles coutumières. La Grande Bretagne a en effet toujours refusé toute constitution

d’élaboration (acte d’établissement) de 1701 (fixe de nouvelles limites au pouvoirs de la couronne en fixant des règles de succession au trône et en prévoyant l’obligation pour le nouveau monarque de signer la déclaration des droits). L’exclusion de la monarchie constitutionnelle démocratique de la Grande Bretagne du constitutionnalisme tient en ce que les textes limitant le pouvoir du souverain sont séparés et coexistent avec des règles coutumières. La Grande Bretagne a en effet toujours refusé toute

défaut princ du syst. Il échouera à cause de l’attitude des acteurs princip de l’époque : Louis 16 ne comprend pas que son salut revient àdvnr un monarque consti, et ça se trad par la fuite de Varène + les révo qui ne vlt pas entendre parler d’une monarchie consti. Au début de Juillet 1792, les jacobins comme Camille des moulins estime que le roi est responsable des défaites mili à cause du renvoi des minis, des vétos successif qui st très mal vécu. Les sections révo se permettent de donner un ultimatum