L Enfer C Est La Solitude

DM de FrançaisAlexandre MasseJulien vient d’être engagé par M. de Rénal comme précepteur de ses enfants, il se tient devant la porte de la résidence des Rénal. Il va être accueilli par madame de rénal qui s’est faite a l’idée a un précepteur désagréable. Elle va se rendre compte que Julien n’est pas a l’image du précepteur qu’elle attendait. Dans cet extrait, Stendhal construit une scène de rencontre amoureuse à travers les points de vue alterner de Julien et madame de Rénal. Nous pouvons voir que

soi-même, à notre humanité, notre conscience. D’autre part, nos pensées les plus profondes et les plus complexes se forment le plus généralement dans la solitude, nous pensons le mieux quand nous sommes seuls. Mais cette solitude doit être voulu et non subie. La solitude voulu tend vers la richesse de réflexion et de bien-être tandis que la solitude subie est un état déshumanisant, privé de tout contact humain. C’est dans cet acte solitaire voulu qu’il faut souvent se recueillir dans son for intérieur

Bohème (poème) 1870 Stupra (poème) 15 mai 1871 Lettre du voyant 1871 Le bal des pendus (poème) Sept. 1871 Le Bateau ivre (poème) 1872 Les Mains de Jeanne-Marie 1872 Album zutique (collaboration) 1873-1875 Une saison en enfer 1884 Voyelles, Oraison du soir, Les Assis, Les Effarés, Les Chercheuses de poux, Bateau ivre, Premières communions… (poèmes) 1886 Les Illuminations 1891 Reliquaire 1895 Première parution des Poésies Complètes avec une préface de Verlaine

noire », avec qui il partage sa vie de défis. Il va tenter de se suicider en 1845. Les coups de canif cicatrisés, Baudelaire décide de vivre, du journalisme d'art. Il publie de nombreux articles critique. Prodigieusement doué pour la souffrance et la solitude, il achève de se fragiliser en sombrant dans le vin et le haschish. Sa passion pour Jeanne continue bien que traversée par d'autres amours comme Apollinie Sabatier à qui il va dédier de nombreux poèmes. Peu de temps après, il publie le compte-rendu

Premièrement, je vais écrire le résumé l’histoire d’Amos. Après s’être fait envoyé en Enfer par le dieu Enki (dans un tome précédent), Amos arriva dans le hall de l’angoisse, préchambre des Enfers. Il souffrait terriblement d’un mal de jambe et dans un milieu de désespoirs comme celui-ci, ses pouvoirs sont très durs à utiliser. En remémorant ses bons souvenirs, Amos réussis à utiliser ses pouvoir et par la suite trouva un porte menant au premier niveau des Enfers. Pour ouvrir cette porte, Amos doit

jeu de mot sur «las» et là → fait écho à «de l'aube au soir» la pâleur ↳ «Aussi quelle pâleur !» v.12 : modalité exclamative → sentiments du poète la tristesse ↳ v.1 «tous» ≠ «seul» → insiste sur la tristesse, sentiment de pitié la solitude ↳ v.3 «cheminer seules» → renforce le sentiment de pitié les enfants sont présentés comme des innocents, des victimes ↳ «ils ne comprennent rien à leur destin» v.14 ↳ v.14-15 : ils parlent, prière à Dieu → le poète interprète leurs sentiments

prostitution. Ce renouveau des thèmes est pourtant ce qui m’a vraiment passionnée dans cette œuvre, Baudelaire parle de ses sentiments profonds et exprime par le lyrisme sa mélancolie, ses sentiments personnels et intimes comme la déception et la solitude, il aborde même des thèmes novateur pour son époque comme la ville, en contradiction avec les odes à la nature du romantisme. Baudelaire est un véritable artiste, son œuvre est très immersive et nous donne à voir dans ses poèmes des flots d’expressions

pleins d'espoir alors que lui a perdu ses illusions concernant le vrai monde et aspire à un idéal inaccessible. Paris, cet enfer, est alors une ville « rugissante », mesquine et traître où tout n'est que souffrance. Il s'y sent abandonné, désespéré, sans ancrage, égaré ou « extravagant », loin de la « douceur d'un foyer » qu'il n'a d'ailleurs jamais connu dans son enfance. La solitude, bien que nécessaire au poète, l'effraie et dans le célèbre sonnet A une passante, il laisse entrevoir l'image fugace

cheminer seules ». il met donc en évidence la tristesse de leur vie, leur solitudes et le malheurs grandissant de ces pauvres enfants. L'auteur décrit de façon fantastique le monde de l'usine. Il emploie de nombreuses métaphores pour incister sur la personnification des machines « sous les dents d'une machine sombre » vers 7. Cet univers est infernal, la gardation croissante du champ lexical de l'usine « prison », « bagne », « enfer », nous plonge dans ce monde d'esclavage que subissent ces innocents

insecte par rapport à l'immensité et à l’écrasante puissance du paysage. Dans ce tableau, La mort est omniprésente, tous les arbres sont morts. La terre est sombre en opposition au ciel, et fait penser à un tombeau, ou à un monde inférieur, un enfer. Le ciel est plus clair mais n'est pas illuminé. Il n'y a aucun rayon de soleil, ni aucun nuage, il est statique et ne procure pas une sensation de liberté ou d'infini qu'induit normalement un ciel. Le contraste flou/net entre le fond et la forêt attire