L'Épée de vérité

discussion sur la faim a fait son effet. Donc le chien est convaquant. Mais ensuite il y a un retournement de situation a l'enjambement v 34-35 "_ Mais encore ? _ Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peu ètre la cause." le chien dis la vérité. Cela lui coûte énormément. Et enfin v37 "mais qu’importe ? » c’est le chien qui pose la question pour la première fois, il ne sait plus comment répondre, cela nous montre un signe de faiblesse. Ensuite il nous decrit le Loup comme quelqu'un qui représente

l’éducation des enfants. Argante répond à son interlocuteur qu’il n’a de leçon à donner à personne. Scène 2 : Géronte répond froidement aux embrassades de son fils et lui dit qu’il interrogera à la maison sur ce qu’il avait fait. Scène 3 : Léandre, l’épée à la main, veut faire avouer à Scapin ce qu’il a révélé à son père. Il apprend un grand nombre d’anciennes fourberies de son valet. Scène 4 : Carle apporte la nouvelle que les Égyptiens veulent enlever Zerbinette si une rancon n’est pas versée deux

exclamative + interjection (8, 18) • il s’exprime en stances • versification rigoureuse, classique  toujours le même schéma, met en valeur la douleur II : Laver l’honneur ou sauver l’amour A] Un dilemme tragique • métaphore filée de la blessure de l’épée (métaphore sur plusieurs lignes)  percé (1) ; atteinte imprévue, mortelle (2) ; âme abattue (5) ; coup qui me tue (6)  inspire la pitié pour la souffrance de Rodrigue • Champ lexical : souffrance  « peine, misérable, malheureux » • tragédie grecque :

verbes qu’elle utilise sont des verbes qui mêlent le sentiment et la sensation : craindre, trembler. Il s’agit aussi d’un discours généralisateur dans son aspect moralisant : la descendance souffre toujours des fautes de la famille (voir le présent de vérité générale du vers 864) et Racine nous fait sans doute comprendre qu’aucun être humain ne peut se sentir innocent. On remarque que les deux fils de Phèdre sont pris dans cet engrenage infernal. Le style utilisé est clair (« l’un ni l’autre » dit Phèdre

» est une antiphrase qui vise à mettre en relief le caractère scandaleux, choquant de ces « nouvelles ». Purgon intervient donc comme un redresseur de tort , celui par qui la vérité va être révélée. Qu’elle est cette vérité ? Quelle faute a été commise, suffisamment grave pour vouloir être cachée ? « on a fait refus de prendre le remède que j’avais prescrit. »Le pronom indéfini « on » relègue Argan au rang anonyme des prévenus

l'Histoire ne se comprend pas en termes de causalité, celle-ci n'est qu'une catégorie totalement déplacée et source de distorsion. "L'événement éclaire son propre passé, il ne saurait en être déduit.7". Pour l'homme l'Histoire est importante non comme Vérité, mais comme sens, sens que l'on construit en fonction d'un besoin humain de compréhension. La Cité qui abrite cette histoire joue le rôle de mémoire organisée, c'est le seul moyen pour l'homme mortel de se survivre. Elle est édifiée par des mortels

combattant la mort - et les atrocités liées à la guerre - que le poète aspire à redonner un sens à la vie. On compte notamment, parmi ses écrits les plus engagés : * Cours naturel * Facile proie, 1938 * Le Livre ouvert, 1941 * Poésie et vérité, 1942 * Poèmes politiques, 1948 Jacques Gaucheron, auteur du livre Paul Éluard ou la fidélité à la vie, rencontre le poète après la guerre au Comité national des écrivains. Devenus amis, ils publient ensemble Les Maquis de France. Pour lui :

l’offense faite à sa sœur Louise par Salviati. Il tient des propos fort dévalorisants sur ce dernier, ce « valet de cour ». Léon veut faire abstraction de cet incident mais Pierre ne l’entend pas de cette manière et compte venger sa sœur (mention de l’épée, métonymie de la vengeance). La scène se clôt sur le diner servi. Bilan : Découverte d’une maison républicaine où Philippe Strozzi déplore la corruption florentine. Le Prieur, Léon, son fils, lui rapporte l’injure de Salviati faite à sa fille Louise

responsabilité sociale de l’individu, et donc de l’écrivain (théorie exprimée également par Mme de Staël, et plus tard par Lamartine et par Hugo). Selon lui, ce qui est inventé coïncide avec ce qui est faux. Pour assurer à l’art une plus grande garantie de vérité, il prend comme sujets des faits historiques. Cette exigence se traduit également par des descriptions détaillées des hommes et des choses et par une langue précise et claire. Manzoni donne de l’importance aux coutumes et aux milieux, mais ce qui

naturellement résistants face au régime de Vichy. b) A partir des années 50, la nécessaire vigilance des historiens et l'expression de la mémoire du génocide. A partir des années 50, les historiens sont dans l'obligation de rétablir un certain nombre de vérités. Face au résistancialisme, le Comité d'Histoire de la Seconde guerre mondiale, rappelle que les résistants furent d'origines très variées (rôles des femmes, de socialistes, d'étrangers dans la résitance dont quelques allemands.....). Les historiens