L Esprit Nouveau Le Cubisme

Rédactrices : Margot GERARD                      Céline GASC  2   Chers  lecteurs,   Chères lectrices,    Afin de vous imprégner totalement du concept de nudité, je vous invite à quit‐ ter vos préjugés et votre armure et à ouvrir votre esprit à l’Art du nu.  Il ne s’agira pas seulement de technique picturale ou d’iconographie. Cette fois, ô  fidèles lecteurs, nous en appellerons à votre sens Moral. Car enfin, la nudité de la  femme, abordée par un artiste, influence‐t‐elle la critique artistique du public 

Paris X - Nanterre I. Une poésie de la modernité a) Baudelaire : aux origines de la modernité b) les découvreurs du modernisme poétique : Verhaeren, Larbaud, Romains et l’Unanimisme c) Les chantres de l’esprit nouveau : Apollinaire, Cendrars, Max Jacob I. Une poésie de la Modernité a) Aux origines de la Modernité - Baudelaire Au début du XXème siècle, de nombreux mots tournent autour de la notion de modernité : modernisme, moderne

anniversaire, il écrit à Gabriele Münter : « Je travaille sur l’étude du couple silencieux sur cheval et cela me plaît. J’ai incorporé beaucoup de mes rêves ; ça ressemble vraiment à un orgue. Il y a de la musique dedans. Cela me donne un courage nouveau pour entreprendre d’autres choses et, deux fois déjà, j’ai senti cette palpitation particulière de mon cœur que j’avais souvent autrefois, à l’époque où j’étais davantage un peintre poète. Je comprends également mieux la théorie aujourd’hui. Mais

l’ordre du jour, d’Apollinaire à Yves Bonnefoy, de Ponge à Bernard Noël ; parfois même la collaboration entre le poète et le musicien ou le peintre va devenir une pratique essentielle, presque exclusive, comme avec Butor, après sa période dite du « Nouveau Roman ». 4/ Le poète moderne Un autre point est à prendre en considération dans l’évolution des formes poétiques : il s’agit de ce que Baudelaire a appelé la « modernité » et qui va renouveler non seulement les sujets poétiques mais la façon même

parallèlement à une dilution progressive des courants esthétiques et intellectuels après l'époque du surréalisme, de l'existentialisme et du Nouveau Roman. 1 Contexte Le XXe siècle commence dans un esprit de liberté qu'évoque l'atmosphère des années 1900[1] : les artistes novateurs sont nombreux dans le domaine de la peinture avec le fauvisme et le cubisme qui ouvre le chemin à l'abstraction ou dans le domaine de la musique avec, en France, Erik Satie (1866-1925), Maurice Ravel (18751937) et plus

papauté reste au centre. Avant cette rupture, c’est les instances supérieures divines qui dirigeait mais après, il faut justifier le pouvoir. Cette question se pose d’autant plus que le pouvoir politique ne cesse de s’étendre et de se renforcer. Ce nouveau pouvoir insiste sur l’importance de l’éducation. Ce pouvoir émane du peuple et le représente donc ce dernier ne peut pas se révolter. C’est cela qui selon Benjamin Constant sert à justifier les totalitarismes (= limite du pouvoir). Quand de plus l’Etat

de la vie et du chômage (reconversion économique difficile, retour des démobilisés…). La révolution bolchevique présentait un espoir mais la CGT était divisée. Clemenceau créa les conventions collectives et la journée de 8 heures pour calmer les esprits. La cassure entre les réformistes et les révolutionnaires de la CGT s’accentua avec l’échec des grèves de 1920 qui provoquèrent des révocations, beaucoup d’ouvriers quittèrent la CGT et devinrent méfiants à son égard. La rupture survint en1921 avec

surveillance des côtes espagnoles. Chaque espace national se voit attribuer un périmètre de surveillance. Mais les pays ne parviennent pas à la définition d’un cadre juridique réellement contraignant. 1.2 La rupture de cette ligne de conduite installe un nouveau rapport de force Dans le document 1, le rapport du Comité d’Enquête sur les violations du Pacte de non-intervention en Espagne on peut constater que cette politique de non-intervention est bafouée par les puissances. Ce rapport a été rédigé

qu’elle soit politique, technique, artistique, morale, ou politique, ne s’impose pas du jour au lendemain, son application n’a rien de mécanique : la démocratie met plus d’un siècle à s’imposer en France. L’héliocentrisme coûte la vie à Galilée. Le cubisme fait passer le jeune Picasso pour un fou. Les résistances à la modernité – contrairement à ce qui se passe aujourd’hui où l’individu (occidental) est grosso modo accueillant à la nouveauté (surtout technologique) – sont fortes, voire opiniâtres

définitivement sa réputation auprès de ses amis. La société anonyme des peintres sculpteurs et graveurs inaugure le 15 avril son exposition et Monet en est l'instigateur. Les artistes comme Cézanne, Degas, Monet, Pissaro, Renoir ou Sisley ont en commun le même esprit d'indépendance à l'égard de la peinture officielle de l'époque. Le public hostile réagit par des manifestations indescriptibles. Le critique Louis Leroy intitule ironiquement son article « Exposition des impressionnistes ». L'année 1875 est