L Essor De La Legislation Royale

instaurée entre l’empire et l’Eglise et cela dés le cours du IVème siècle après J-C. Cette collaboration s’expliquait pour servir en commun une même œuvre qui est le bien de l’Homme. Collaboration dans le sens ou l’empire devait aider l’Eglise par sa législation, ses privilèges et par la protection que l’Etat mettait à son service. D’un autre coté l’Eglise soutenait l’empire par ses prières et par l’obéissance au pouvoir établit. Mais dans la réalité, une compétition débuta entre les pouvoirs, avec une

maintenir l'unité du royaume qu'au prix de lutte fratricide. A la mort du roi Dagobert, en 639, le domaine royal est scindé en deux portions car Dagobert a deux fils. La première portion est nommée Austrasie, la deuxième est nommée Neustrie. A partir de Dagobert, ces deux territoires vont être divisés. A ce morcellement territorial s'ajoute une autorité royale défaillante. Cette autorité royale défaillante va s'expliquer pleinement aux temps des rois fainéants ( ceux qui vont succéder à Dagobert )

ne peuvent consacrer pleinement leur temps a la gestion des affaires de Rome B)L'ORGANISATION TRI -PARTIE 1)LES MAGISTRATS: Ils détenaient le pouvoir exécutif en plus de l'imperium, qui conservent les même caractéristiques qu'a l'époque royale. Par contre des précautions vont être prises: -Ils sont élus par l'assemblée populaire -Élu pour 1 an -Ne peuvent faire qu'un seul mandat -Ils doivent toujours au moins être 2 pour exercer une même magistrature Un magistrat pouvait s'opposer

paysan du royaume. C'est-à-dire qu’au XIVème siècle dans l’entourage du roi, l’idée de la nation a fait son chemin. Elle s’est installée. Et progressivement cette idée va pénétrer la population. Mais c’est en 1789, que l’on peut affirmer que l’Etat royal a crée la nation. Depuis l’époque médiévale, la France est savante. Au XVIème siècle la France est qualifiée la mère des arts, des armes et des lois. Ce qui signifie que la France a un prestige fondé sur la culture, et la mieux gouvernée par les

collectivité qu'on apprécie son degré d'évolution ; cependant rentrent en considération également les mesures que cette collectivité préconise quant à la gestion, la prestation, le développement et la capacité de ce patrimoine à contribuer efficacement à son essor économique et social10(*). Si l'on admet ce point de vue, à savoir que le patrimoine reflète l'image de santé économique de la collectivité locale, on ne peut en même temps qu'être d'accord avec l'idée selon laquelle le patrimoine constitue un facteur

PATRICIENS) qui aboutit à un changement de régime avec l’installation de la république romaine. Cette révolution est un phénomène complexe et double révolutions : Celle que mène l’aristocratie romaine contre la dynastie royale qui est au pouvoir à l’époque. Depuis un siècle, le trône royal est occupé par des rois Etrusques. Ces rois dirigent un accord avec le peuple pour se faire accepter. Cet accord s’appelle « la tyrannie » (pas un mot péjoratif). Révolution populaire, c’est la plèbe qui va mener

l'humanité, sera toujours le soldat de l'idéal» De Gaulle parle de «Grandeur» : conscience de la double idée mission 3- Les autres facteurs contribuant à cette idée de mission (Ajout de JF – culture ...) Le français est la langue des cours royales européennes sous la Monarchie (avant 1789) : des tsars de Russie aux rois d’Espagne et d'Angleterre en passant par les princes de l’Allemagne, le français est la langue des cours et des rois. Il sera avec les lumières la langue des élites. Le

christianisé Le fait que la royauté mérovingienne, avec Clovis, ait intégré de nombreux éléments du christianisme est probablement l’apport le plus important de cette dynastie. Clovis inaugure une politique d’alliance étroite entre le pouvoir royal et l’Eglise catholique. Cette alliance, nommée l’« Union du trône et de l’autel », est un des piliers essentiels jusqu’à la Révolution. Entre 496 et 499, Clovis, Roi barbare de la Gaule, prend la décision de se convertir, et se fait baptiser en

mais malgré les répressions, la conversion a continué. La collaboration entre l’église et l’état se renforce autour d’une même finalité, le bien de l’homme. En principe, il existe une collaboration mutuelle, l’empire soutient l’église par sa législation, ses libéralités et par sa protection. L’église soutient l’empire par ses prières et par l’obéissance imposée aux autorités établies. Dans la réalité une compétition s’ouvre entre les pouvoirs, et tantôt le temporel l’emporte avec un état dans l’église

des années suivantes, le travail de la royauté va consister à refaire ce qui avait été défait, reconstruire ce qui avait été détruit, recréer l’unité là où il y avait eu un éclatement et une dissociation du pouvoir et des territoires. C’est cet essor nouveau dû aux rois capétiens successifs et à leur entourage savant que vont naître un certain nombre de notions. C’est de là qu’a été établit la théorie de la couronne, inscrite dans la théorie statutaire. (cours de l’année dernière, reprise)