L'Être et le Néant

Sartre, L’être et le néant Ma mort Jean-Paul Sartre L’être et le néant Quatrième partie AVOIR, FAIRE ET ÊTRE Chapitre premier Être et faire : la liberté II.— Liberté et facticité : La Situation E) Ma mort [p. 615] Après que la mort ait paru l’inhumain par excellence puisque c’était ce qu’il y a de l’autre côté du « mur », on s’est avisé tout à coup de la considérer d’un tout autre point de vue, c’est-à-dire comme un événement de la vie humaine. Ce changement s’explique fort bien : la mort

au contraire d’établir des vérités plus claires (en connaissance de cause). Elle est également liée au fait que le philosophe réfute toute vérité absolue, définitive : ce qu’énonce Roy « elle est si peu la découverte d’une solution inscrite dans l’être ».

1/ Quelle est la thèse défendue par l'auteur ? Le sujet est un néant : ce qui ne veut pas dire qu'il n'est rien, mais qu'il a la possibilité de tout devenir. Il est donc condamné à être libre, mais la plupart du temps, il cherche à s'en échapper face à l'angoisse de cette liberté. C'est ainsi que le garçon de café devient garçon de café : à travers le mode d'être que Sartre appelle "mauvaise foi". Dans la mauvaise foi, nous sommes ce que nous ne sommes pas réellement : c'est un écart entre

Souffrances, sous la direction de Jean Marie Koessel, Paris, Autrement, 1994, p. 68. Introduction. Dans notre petite exploration très partielle de l’œuvre de Levinas, nous avons déjà repéré plusieurs figures de sa critique de la philosophie de l’être. Contestant toutes les formes du savoir comme identification, nous avons déjà pu saisir le rôle du temps comme cela qui m’éloigne de l’identique, et d’une manière qui n’est récupérable ni dans la représentation, ni dans le discours. Puis nous avons

de l’individu .Elle peut se porter sur l’éxterieur mais elle permet aussi de se penser soi-mm. =>pt de vue de Hegel : -dedans : csc de moi -dehors :csc objectale La csc de soi s’inscrit au contact du monde c’est une forme de puissance de l’être. Lacan pense que si on ne se reconnaît pas tt de suite dans le miroir c’est que l’on a pas csc de soi, elle n’est donc pas innée elle s’acquiert avec le temps. III. La conscience morale. Elle est liée à la capacité d’émettre des jugements

roman qui est reçu favorablement par la critique. En 1939, Sartre est mobilisé et, en juin 1940, il est fait prisonnier. Libéré un peu plus tard, Sartre se tourne vers le théâtre pour exprimer son engagement : il publie Les Mouches et, en 1943, L’Être et le néant. À la Libération, il fonde la revue Les Temps modernes et quitte l’enseignement. Sa théorie de l’existentialisme connaît un véritable succès. Il considère qu’un intellectuel doit être un homme d’action et que l’engagement est nécessaire : c’est

changé car elle est futile. Et enfin, Gabriel nous fais comprendre que l’homme finit de toute façon l’homme finit par mourir. Pour cela le penseur utilise un champ lexical tournant autour de la mort. Pour démonstration il utilise les termes : « l’être ou le néant », « il disparaît » et « Les Parisiens…qui firent tant qu’à la fin ils disparurent » ou encore « Les voilà presque morts puisqu’ils sont des absents ».de plus il nous

c’est l’expérience de l’angoisse que Sartre définit comme « la saisie réflexive de la liberté ». Prendre conscience de soi c’est : 1ère : prendre conscience de ce « je » absolument libre puisqu’il n’est rien sinon ex-sistant « néant ayant à être » (Sartre, L’être et le Néant). 2ème : prendre conscience que le « moi » qui me définit est essentiellement fragile, qu’il peut devenir tout autre à tout moment. C’est d’ailleurs cette contingence de notre identité que nous ne parvenons pas toujours à assumer ;

c’est à dire composer d’atome. Lucrèce utilise le terme « âme » et non pas « d’Homme », car l’âme censé recevoir les sensations et les interpréter. Les ténèbres que l’auteur évoque, sont synonymes d’opacité. Et donc ancré sur la compréhension même de l’être. La vision de l’univers ne peut être clair et objective. Dans le second vers, il y a une opposition directe dans le champ lexical, nous passons du registre des ténèbres au registre de la lumière. La lumière peut être comprise comme la métaphore de

qui s’imposera à eux comme la préoccupation cruciale provoquera notamment une recherche ontologique et métaphysique. A côté des écrivains- philosophes qui ont séduit un large public parleurs oeuvres “engagées” traitant l’incohérence du monde et de l’être et l’angoisse qui en résulte, un groupe de dramaturges -Ionesco, Beckett, Adamov-marqués profondément par l’incommunicabilité des consciences, d’où le refuge dans l’anonymat, et par une quête d’ordre métaphysique à travers l’expérience irréductible