L Exercice De La Puissance Paternelle

TUTELLE DES MINEURS : ROLE DU TUTEUR Exercice : A partir des dispositions contenues dans les articles 388 et s. du Code civil, rédigez une dissertation sur le sujet ci-après : "La protection des mineurs sous tutelle contre les agissements nuisibles de leur tuteur" « La tutelle , protection due à l'enfant, est une charge publique. Elle est un devoir des familles et de la collectivité publique » ( article 394 du code civil ). La tutelle s'ouvre en faveur des enfants mineurs dont le parents

XXe siècle, que s'est développée l'étude de la place des femmes dans les différentes cultures et époques. Les mouvements féministes ont combattu les inégalités de droits et de statuts entre les hommes et les femmes. Parler de la femme aujourd’hui est un exercice périlleux, tant notre société a perdu le sens de sa spécificité et de sa vocation propre. L’audiovisuel (télévision, publicité, cinéma...) en fait trop souvent un instrument de plaisir, les "viragos" féministes en donnent une image agressive et peu

lui même venant de ​famulus qui signifie serviteur, et donc la familiarité est étymologique « l’ensemble des esclaves attachée à la maison du maître »​, cette famille est fondée sur le concept juridique de puissance et englobe tout ceux qui vivent sous le même toit et sur qui règne l’autorité du père (Pater familias en latin). Par la suite elle a évoluée dans le sens d’un rétrécissement de ce qu’on appelle un domus (le foyer)

juge peut décider de la confier à un seul parent. En 1970, elle a remplacé, en droit français, la « puissance paternelle » qui assurait l'exclusivité de l'autorité du père sur les enfants (l'autorité absolue du mari sur la femme s'appelait « puissance maritale »). L'« autorité parentale » consacre l'égalité des droits et devoirs du père et de la mère dans l'éducation des enfants.
 L'autorité paternelle continue d'exister dans de nombreux pays. Présentation L'autorité parentale, quand elle est reconnue

judiciaire). 3. L’évolution du droit de la famille 3.1. Le code de Napoléon  Indisponibilité de la matière. Intérêts individuels toujours soumis aux intérêts collectifs. Point de légitimité hors du mariage. Notions de puissances maritale et paternelle. 3.2. Désinstitutionnalisation du droit de la famille Adaptation du droit aux évolutions de la société. Pluralisme des statuts juridiques (en lieu et place du seul modèle légal et légitime de la vie en couple hétérosexuel

(commerçant indépendant, entreprise unipersonnelle, société). La liberté d’entreprendre est une des libertés publiques et comme tel, il ne revient qu’au seul législateur de fixer les règles concernant les fondamentales accordées aux citoyens pour son exercice. Le gouvernement ne peut donc porter atteinte au « libre accès à l’exercice par les citoyens de toute activité professionnelle n’ayant fait l’objet d’aucune limitation légale » : CE, 22 juin 1963, Syndicat du personnel soignant de la Guadeloupe (annulation

Mais les écoles qu’elles vont faire seront des écoles de coutures et de ménage. 1938 : fin de la puissance maritale et de l’incapacité civile des femmes. Le mari conserve le choix du lieu de vie. 1944 : droit de vote des femmes (ordonnances). 1965 : les femmes peuvent travailler et avoir un compte bancaire sans leur mari. 1967 : la contraception, loi Neuwirth. 1970 : fin de la puissance paternelle et mise en place de l’autorité parentale conjointe. 1975 : l’IVG et la loi sur le divorce.

propriété qu’elle a normalement pour mission de sauvegarder. Rousseau lui analyse les principes du droit politique : qu’est-ce qui peut rendre l’autorité politique légitime, étant donné que les hommes naissent libres et égaux ? Ce n’est ni l’autorité paternelle, ni Dieu, ni la force, seule une convention peut légitimer l’autorité politique. Par celle ci conçue comme un pacte d’association, le peuple se constitue comme tel. Il en résulte que seule la volonté générale peut exercer la souveraineté, et que

l’hégémonie maritale et les enfants étaient soumis à la puissance paternelle. Sur le plan juridique, le père représentait ses enfants mineurs. Quant à la femme, elle n’avait aucun droit que ceux relayés par son mari. Ce système marquait les places sans ambiguïté. De nouvelles lois, au cours des XIXe et XXe siècles, ont aboli la puissance paternelle, qui jusque-là servait de référence aux textes juridiques. Suite à l’abrogation de la correction paternelle (le père pouvait décider seul de faire emprisonner

l'absurdité, soit de la culpabilité ou des deux à la fois (culpabilité absurde). L'absurdité étant toujours issue de la disproportion entre les représentations contraignantes et les affects qu'elle engendre. Texte : 'Actions compulsionnelles et exercices religieux' de Freud. Freud met en évidence à côté des représentations des idées ou des impulsions de contraintes contient également les actions de contraintes ou ce que certains nomment des compulsions. Tout comme la crise d'hystérie dans l'image