L'Homme de la situation

l'existence précède l'essence ». L'homme est ainsi libre de choisir son essence. L'Homme est absolument libre, il n'est rien d'autre que ce qu'il fait de sa vie, il est un projet. Sartre nomme ce dépassement d'une situation présente par un projet à venir, la transcendance. Selon Sartre, l'homme est condamné à être libre. L'existentialisme de Sartre est athée, c'est-à-dire que, pour lui, Dieu n'existe pas (ou en tout cas « s'Il existait cela ne changerait rien »), donc l'homme est seul source de valeur et

toucher n’importe quelle caractéristique de l’homme. La société actuelle se base plutôt sur une défense des plus démunis, que l’on peut analyser comme héritage du christianisme. Cette défense peut s’avérer injuste notamment pour les personnes dites fortes, alors la question est de savoir au nom de quels principes défendre le faible, qu’est ce que cela peut nous apporter au niveau personnel ? Tout d’abord, selon certains principes fondamentaux à l’homme, il est obligatoire de défendre le faible. Cependant

maître de son destin. Cependant, n’existe-t-il pas des situations où l’homme peut perdre la maîtrise de lui-même, d'une part dans le sens où il n’est plus en mesure de contrôler ses actes, mais également dans le sens où il n’est plus l’unique auteur de sa volonté, tout en étant conscient de lui ? Indéniablement, le fait d’être conscient de soi apporte à l’individu la possibilité de s’identifier, de se connaître lui même , ses faiblesses, des situations de son passé, par un travail d’auto-analyse . La

que chez l’homme – et chez l’homme seul – l’existence précède l’essence2. Au cours de notre analyse il nous sera donné de mettre en évidence d’une part le regard que jette la philosophie sur l’existence humaine et d’autre part l’approche philosophique entre l’existentialisme et l’essentialisme selon Jean Paul Sartre. I. Quel regard la philosophie jette-t-elle sur l’existence humaine ? L'existentialisme dit que Dieu et la nature humaine sont des concepts inexistants. L'homme doit trouver

l’extrait du texte de Rousseau, on remarque qu’il parle de deux ressemblances et deux différences entre l’homme et l’animal. Nous allons commencer avec les différences. La première différence est la suivante : la nature contrôle chaque décision et action de l’animal tandis que l’homme agit en tant qu’agent libre dans la nature. La nature lui envoie des signes comme à l’animal, mais la différence est que l’homme peut choisir de suivre ces signes ou de les ignorés contrairement à l’animal qui suit ces signes

étudier et qui s’intitule « Disproportion de l’homme », Pascal pose le problème de la place de l’homme dans l’univers, entre l’infiniment grand et l’infiniment petit. Cette interrogation a pour arrière-plan les récents progrès dans le domaine des sciences : en astronomie, les découvertes de Copernic et de Galilée (invention de la lunette astronomique en 1609) ont bouleversé la perception que l’homme a de l’univers (on passe d’un monde clos dont l’homme est le centre à un univers infini) ; en médecine

 Les droits de l’homme en Chine. Table des matières : I. Chine : -Localisation géographique 3 II. Les droits de l’homme : 1) Définition 3 2) Situation en Chine :

1 Tle A SVT CÔTE D’IVOIRE – ÉCOLE NUMÉRIQUE LEÇON : LES RÉACTIONS ÉMOTIONNELLES CHEZ L’HOMME 1. SITUATION D’APPRENTISSAGE Deux élèves de la terminale A1de ton établissement, ont assisté à la télévision à la finale de miss district. Pendant l’attente des résultats, l’une des candidates est toute pâle, silencieuse et elle transpire à grosses gouttes. À l’appel de son nom, elle court, pousse des cris et pleure de joie. De retour en classe, elles en parlent à leurs camarades, en présence

Peut-on affirmer : « Qu’il est vrai que les droits de l’homme sont plus importants que l’ordre et la tranquillité sociale? » L’ordre ainsi que la tranquillité sociale sont des éléments essentiels à la vie en communauté. Cette attitude part d’un bon sentiment, mais lorsque les droits de l’homme sont bafoués il est important que les hommes les revendiquent. De ce fait, faut-il prôner l’ordre et la tranquillité sociale ou faut-il plutôt défendre nos droits en tant qu’homme? Nous examinerons cette question

cette nouvelle situation, qui est la maladie. Dans cette phrase l’auteur exprime alors deux points de vues sur la nouvelle situation. Dans une première partie le texte évoque les conséquences de cette maladie. Le sujet au cœur du problème, est atteints, touché par ce mal. Qui a pour effet de limiter les possibilités de vie de sujet. L’homme se trouve face a des conséquences tout d’abord inéluctables, et difficiles à vivre. La maladie « l’infecte », « l’affaiblit », « le change ». L’homme qui est en