L Homme Est Il Condamné à Désirer

peut pas être défini : nous ne pouvons pas dire avec certitude ce qui nous rendra heureux : « Le concept du bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu’a tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que vraiment il désire et il veut ». Le sujet proposé nous amène à réfléchir sur la nécessité de tenter d’obtenir le bonheur ou de le chercher méticuleusement pour découvrir ou connaitre cette sensation. Mais celui-ci ne peut pas

morale. Ces deux exemples montrent l’amplitude de la question posée : la religion est le fondement de la morale parce que seule la religion nous oblige à la morale ; mais la religion n’est pas nécessaire à la morale parce qu’elle peut être une qualité de l’individu même et non une qualité imposée par la religion. La religion nous oblige à avoir un comportement moralement acceptable, mais la religion est-elle le seul moyen pour en avoir un ? La morale peut-elle exister sans religion ? La religion

Le désir est une pulsion de l’esprit, c’est la volonté d’obtenir un objet qui procurera du plaisir lorsque le désir arrivera à ses fins, c’est-à-dire lorsque le désir aura obtenu cet objet. Cette pulsion est indépendante de toute volonté, incontrôlable et très irrégulière. Le désir ne peut vraiment se définir mais tous les hommes l’ont en commun. C’est un phénomène universel mais qui est pourtant propre à chaque homme, en effet tous les désirs sont différents, il se peut que certains se rejoignent

se perdre dans le désir qu’avoir perdu tout désir ? » Introduction : « J’avais risqué ma vie et j’avais gagné. De nouveau, j’étais un homme. », s’écrie le héros du Joueur de Dostoïevski. Mais comment considérer le joueur ? Est-ce un homme volontaire, déterminé, prêt à tout sacrifier pour arriver à ses fins, ou le jouet de son désir ? Le joueur ne perd-il pas plus qu’il ne gagne à se livrer aveuglément au jeu, à commencer par lui-même ? Notre rapport au désir semble tout à la fois complexe et

L’auteur propose t-il une lecture essentiellement holiste ou individualiste ? Autrement dit, quelle place le penseur fait à l’individu et quelle importance est accordée à la Société ? La République de Platon est une œuvre qui porte principalement sur la justice dans l’individu et dans la Cité. Elle est composée de dix livres. On peut dire que l’auteur nous propose une lecture essentiellement holiste de l’œuvre. Car dans un premier temps, dans le livre 1, le problème de la justice est posé sous

humaine (= ensemble des 90 romans que Balzac a écrit). D’abord, il veut décrire une société Parisienne à la fin de la restauration (1815-1830) et au début de la monarchie de juillet (1830-1848). Ce qui l’intéresse dans ce roman ce n’est pas de peindre la réalité mais de peindre le moteur de la humaine, de la société. Nous voici devant l’incipit de La Peau de chagrin qui annonce précisément le thème du livre : le dépouillement. LECTURE (lire le texte à haute voix) ANNONCE DE LA PROBLEMATIQUE

« Le désir est il la marque de la misère de l’homme ? » L’homme est souvent défini comme un être de désir. Ce dernier étant une tension vers un but considéré comme une source de satisfaction. C'est une tendance devenue consciente d'elle-même, accompagnée de la représentation du but à atteindre. En tant que tendance ou appétit, le désir est distingué du besoin qui désigne surtout l'élément affectif de cet état. D'autre part le désir ne sais pas ce qu'il veut, son objet est fuyant, et invoquer

_______________ Albert Camus, Biographie. (confère Lagarde et Michard XXe siècle, page 720). Fils d’un ouvrier agricole, Albert Camus est né en Algérie en 1913. Ayant perdu son père à la guerre de 1914, il sera élevé par sa mère, d’origine espagnole, dans un pauvre appartement d’un quartier populaire d’Alger. Après le baccalauréat, pour mener à bien ses études de philosophie, il doit accepter de menus emplois dans le commerce ou l’administration ; il présente en 1936 un diplôme d’études supérieures sur les rapports

Dissertation de philosophie : Sommes-nous esclaves de nos désirs ? INTRODUCTION : L’esclave, c’est avant tout une personne qui est soumise à un pouvoir ou à une personne. Il n’a aucun choix, aucune valeur, aucune liberté. En ce qui concerne les désirs, il semble qu’un être humain soit maître de ses choix, ainsi il serait en droit de choisir ses désirs. A ne pas confondre avec les besoins, pour les quels nous sommes imposer pour vivre, tel que manger, boire. Si nous ne respectons pas ces besoins

moine vivant en ermite. Il a dénombré huit pensées : gourmandise, impureté, mélancolie, avarice, colère, orgueil, paresse, et vaine gloire.À partir du XIIIe siècle, c’est saint Thomas d’Aquin, un religieux de l’ordre dominicain, qui limite les péchés capitaux au nombre de sept : la paresse (spirituelle),