L Homme Nu Kant

l’homme est sommée à exister devant le mal. « Méditer sur le mal, c’est  pour Paul Ricœur et la tradition qu’il reprend, dire une faille au cœur de tout enfermement dans l’être, naturelle, et radicalement, s’adosser à cette rupture pour l’être,  être homme. »[3] À cet effet, le mal ne relève plus du temps, mais de ma liberté choisie par moi dans mon existence.  Le mal représente un défi à la philosophie et à la théologie. Tel est le motif de sa conférence qui ne cesse d’être encore aujourd’hui un champ

écrite. Séance 1, texte 1 : Heureux qui… Du Bellay Joachim Du Bellay, né en 1522 et mort en 1560. Orphelin de père et de mère avant qu'il n'ait 10 ans, il est confié à la tutelle de René, son frère aîné. Ce dernier le néglige. Enfant et jeune homme malade, il a une enfance triste, solitaire à la Turmelière dans le manoir paternel. Il devient un adolescent fragile qui apprend à se recueillir dans la solitude des forêts et à rêver sur les bords de la Loire. Moment déterminant de sa vie : sa rencontre

présence à soi de son esprit ou de son âme. C’est une faculté qui permet à la fois de saisir ce qui se passe en nous et hors de nous. La conscience donne ainsi lieu à plusieurs catégories de connaissances. La conscience, l’inconscient L ’homme, dans la mesure où il est conscient, c’est-à-dire capable de se prendre lui-même pour objet de pensée, n’est plus simplement dans le monde comme une chose ou un simple être vivant, mais il est au contraire devant le monde  : la conscience, c’est

de soi à soi, ou une présence à soi de son esprit ou de son âme. C’est une faculté qui permet à la fois de saisir ce qui se passe en nous et hors de nous. La conscience donne ainsi lieu à plusieurs catégories de connaissances. La conscience, L ’homme, dans la mesure où il est conscient, c’est-à-dire capable de se prendre lui-même pour objet de pensée, n’est plus simplement dans le monde comme une chose ou un simple être vivant, mais il est au contraire devant le monde : la conscience, c’est la

Socrate). L'idée centrale est la suivante : Tant que l'individu se soumet passivement aux cadres de sa culture, il reste un être mineur. Tant que je me contente de reproduire ce que ma société m'a transmis, je ne suis qu'un être conforme, moins un homme qu'une machine sociale. Mais si, au fur et à mesure que je grandis, je deviens capable d'apprendre à penser par moi-même, alors je puis échapper à ce conformisme, à cette normalisation sociale. Autrement dit, pour qu'une culture soit saine, il faut

Dieu seul » donc il désenchante le monde car il affirme l’absolue transcendance du monde. Le christianisme ré-enchante le monde car c’est la religion de l’incarnation, donc du Dieu fait Homme. Donc on va pouvoir peindre Dieu mais en principe, on ne peint le visage de Dieu que dans deux positions : le bébé ou l’homme nu sur la croix. Il y a tout un art sacré, symbolique. Et cette incarnation implique les sacrements, or ceux-ci agissent ex opere operato. Donc il fait ce qu’il signifie. Il sacralise les

implique donc la suspension de notre jugement spontané sur les choses. On dit d’ailleurs souvent en philosophie qu’il faut développer un regard d’enfant afin de pouvoir s’étonner de « comment va le monde ». En effet, le regard de l’enfant est un regard nu sur les choses, à peu près vierge des préjugés et des idées reçues qui orientent généralement notre jugement. La philosophie (comme nous l’apprennent les dialogues écrits par Platon), c’est l'art de poser des questions ouvertes et qui n’appellent pas

Hautes Etudes Scientifiques 35, route de Chartres 91440 Bures-sur-Yvette R´sum´. On passe en revue les conceptions ´pist´mologiques d’Einstein, en indiquant leurs racines e e e e e e e e philosophiques. L’importance particuli`re des id´es de Hume, Kant, Mach et Poincar´ est relev´e. Les caract´ristiques particuli`res de l’approche de la physique par Einstein sont soulign´es. Enfin, on e e e consid`re l’application concr`te des principes m´thodologiques einsteiniens aux deux th´ories de la e e e e

vrai. C’était le passage de l’un à l’autre qui était difficile à expliquer au sein d’un même ordre de discours, le seul possible, où il n’y a que le répondre qui soit dicible. D’où la démarche d’un Kant, par exemple, qui dissociait le discours objectif du subjectif, déjà objectif mais pas tout à fait. Kant a fait de la subjectivité quelque chose qui permettait objectivement (c’est ce qu’il appelle la subjectivité transcendantale) d’accéder à l’objet, objectivement, c’est-à-dire a priori et universellement

6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) __________________________________ 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le jo li (Schopenhauer et Niet zsche) ________________________ 7 3. La norme du goût (Hu me)__________________________________________________________ 8 C. La création artistique ____________________________________________________ 8 1. Le 2. La 3. Le 4. La 5. La mythe de l’inspiration (Kant) _____________________________________________________ 8 création