L Homme Peut Il Vivre Sans Penser

Le personnage principal s'appelle Meursault. Le nom du narrateur n'est sans doute pas anodin. On peut en effet penser à « meur » qui renvoie à la fois à la mer et au meurtre et « sault » qui fait phonétiquement référence au soleil. Nous constatons une absence de portrait physique, sans doute parce que de cette façon, le lecteur peut plus facilement s'y identifier. On ne connait que son nom et son appartenance socioprofessionnelle.   C'est un personnage qui vit dans une rare insensibilité et indifférence

L'homme est souvent défini par son esprit. Tout homme est à priori capable de penser, c'est-à-dire de mener une réflexion intérieure, afin de formuler la réponse à une question, d'exprimer son opinion sur un sujet ou d'émettre un jugement qui lui est propre. Cette intelligence est ce qui nous différencie de l'animal, puisque c'est elle qui nous permet tant d'élaborer la réponse d'un problème que d'évaluer les conséquences de nos actes. L'expression « par soi-même » induit que cette réflexion est

Peut-on avoir peur d’être libre ? L’adjectif libre vient du latin liber qui signifie homme libre l’opposant à l’esclave servus. L’origine du mot illustre bien que la liberté fait partie de notre nature d’homme, qu’elle nous a été paradoxalement imposée. A première vue la liberté apparait comme la possibilité de faire ce que bon nous semble sans subir aucune contrainte du monde qui nous entoure. En cela nous nous différencions des animaux qui eux, ne peuvent que suivre leur instinct. La liberté

« pourquoi la société?  », « pourquoi vivre avec des Hommes avec qui l'on n'a pas nécessairement voulu vivre, et se soumettre à des règles auxquelles on n' a pas choisi de se soumettre ?  ». Face à ces questions, les philosophes ont construit des cadres. Et par ces structures de pensée, ils ont eux – même véhiculé ce qu'ils pensaient devoir placer au centre de la société. Nous allons donc identifier et expliquer comment les trois types de contrat social sont ils pensés, puis nous confronterons ces théories

La politique Aristote commence son analyse de La Politique par définir ce qu'est une citée. C'est un fait de la nature, pas un fait de la société ( comme on pourrait le penser ) formée de plusieurs villages, de "plusieurs communautés" qui forme donc un plus grosse communauté politique, qui vise un bien, inhérent à chaque homme ( bien apparent, ou bien réel ). Elle est aussi antérieure à la famille, car la cité est un tout, et la famille qu'une partie de ce tout. Si on détache une partie du tout

dans le même journal : il tentait de dégager le fond commun entre la pensée juive qu’il représentait et la culture allemande. L’intérêt du texte de Kant est de penser les Lumières (Auklärung en allemand), concept associé généralement au 18ème siècle : en français comme en allemand, la comparaison de l’époque avec la lumière donne à penser la manière dont l’esprit parvient à l’intelligence – et ce depuis Platon : comprendre, c’est voir clairement. C’est donc se délivrer de l’obscurantisme des préjugés

semblons être initialement les auteurs nous appartiennent-elles réellement ? Sommes-nous en effet les seuls capables de les décider et de les penser ? En clair, mes pensées sont-elles miennes ? De prime abord, ce grand ensemble de phénomènes produits par l'ensemble de l'esprit que sont les pensées semblent, logiquement, être celles du sujet qui les penses puisqu'il est le premier à les ressentir et semble même être capable de les décider. De plus, « mes » pensées apparaissent comme étant celles du

pourquoi je n'aimais pas ce résumé exact et bien sage. Le ton me semblait en être tout à fait étranger à l'étonnante entreprise de Spinoza. Oui, il me semblait que je trahissais ce grand homme en l'exposant tout au niveau du bon sens. Cela me semblait trop professeur. La philosophie est certes une grande chose ; on peut en faire tout ce qu'on veut, excepté quelque chose de plat. Il en est de même pour la Raison, pour la Sagesse, lesquelles consistent surtout dans un jeu dont il importe de conserver l'efficacité

concret plus ancien des milliers de chrétiens sont morts dans les arènes au temps de JC. Tout ceci pour dire que l homme a toujours défendu de tout temps des idées aux prix de vies humaines. Ces personnes s imaginaient détenir la vérité et pour la défendre, de tout temps, ont engendré des guerres aux périls de leur vie et de la vie des autres. Ensuite, ce thème me fait également penser à la stèle qui existe auprès du palais de justice construite en hommage d un résistant qui a préféré se donner

culture. L’absurdité peut être définie comme la tendance pour les humains à chercher un sens ou des valeurs pour la vie quand en réalité il n’y a rien. Dans le monde, il y a un grand domaine que les humains ne comprendront jamais, les efforts de l’humanité de trouver un sens pour un moment qui n’est pas le présent ne réussira pas. Le présent est le seul moment qui est certain. L’absurdité a été fonde sur l’idée de l’absence de raison, une vie n’a aucune de sens. Mais on peut trouver le bonheur