L'Homme qui rit

religieuses de l’époque. Jeanne d'Arc a pris les figures de ses créateurs artistiques, son apparition dans la littérature trahissant la fascination qu’elle a exercée sur tous. Dans la vision d’Anouilh, Jeanne est l’homme par excellence, l’homme avec ses qualités et ses défauts, l’homme qui rit, l’enfant qui bat des mains, cet homme que l’Inquisiteur veut à tout prix soumettre au nom de ses dogmes stupides et surannés qui prêchent le pardon mais qui approuvent l’assassinat d’Etat, le bucher. Véritable

 Les femmes dans le mariage de Figaro. La condition féminine semble être une préoccupation pour Beaumarchais dans toutes ses pièces, y comprit dans le mariage de Figaro. A l'époque classique, la Femme était considérée comme inférieure à l'Homme, elle est et sera toujours soumise à la volontée masculine. Elle est sous la dominance du père ou du mari qui, dans de nombreux cas, se servent de la femme comme atout pour leurs propres intérêts. Beaumarchais exploite beaucoup ce thème, notamment

prétexte à plaisanteries. Il ajoute que certains rires n’étaient plus voulus, des rires mécaniques, nerveux, des rires de fatigue mais des rires comme même pour ne pas se laisser couler. Pour lutter contre la condition inhumaine, on rit de la situation mais on rit aussi pour tenter de défendre sa dignité d’homme. Deuxièmement, les détenus des camps ont tentés de se défendre de toute les manières possibles dont une, le rire. Rire en se moquant des nazis, rire sur soi, rire sur les autres. Un homme

aspect global, ses fonctions, ses usages et ses dérives. Enfin, nous étudierons le rôle du rire dans l’oeuvre de Molière «Le malade imaginaire». Partie I - Le rire Le rire en tant que facteur de cohésion sociale Rire est le propre de l’homme (selon Rabelais). De nous jour, l’humour est présent partout. Il peut être un facteur d’intégration sociale, ou un facteur de relations humaines, on tente de faire rire pour plaire à ses amis ou à ses conquêtes. Le rire est donc un moyen de se valoriser

et de la calculatrice n’est pas autorisé. 14FRTEMLR1-bis 1/7 Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours Le sujet comprend : Texte A : Honoré de Balzac, Eugénie Grandet, 1834. Texte B : Victor Hugo, L’Homme qui rit, Deuxième Partie, Livre Deuxième, chapitre I, 1869. Texte C : Albert Cohen, Mangeclous, chapitre I, 1938. Texte D : Marc Dugain, La Chambre des officiers, 1998. 14FRTEMLR1-bis 2/7 Texte A : Honoré de Balzac, Eugénie Grandet. Félix

Melancholia (extrait) Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est

politique à l’Ambassadeur du Roi, M. de Barillon. Dans quelle mesure cet apologue, art poétique de La Fontaine, apporte-t-il un enseignement sur la manière de gouverner ? La première partie montrera que le fabuliste fait l’éloge de l’homme politique, M. de Barillon tandis que la seconde mettra en avant la manière dont l’auteur se sert de la politique comme défense de l’apologue. La fable se caractérise par sa forme particulière. En effet, La Fontaine ne choisit pas pour

"Un coeur intelligent", d'Alain Finkielkraut Ecrit au cours d'une récente retraite imposée par la maladie, le dernier essai d'Alain Finkielkraut est un véritable bonheur de lecture. Aux maladresses, parfois provocatrices, de l'homme médiatique, j'ai toujours préféré la subtile clairvoyance de l'écrivain, surtout quand il parle de littérature, domaine où il allie à une intelligence aiguë une grande sensibilité. Un coeur intelligent trace un magnifique portrait de la littérature sous les traits

mise en garde politique à l’Ambassadeur du Roi, M. de Barillon. Dans quelle mesure cet apologue, art poétique de La Fontaine, apporte-t-il un enseignement sur la manière de gouverner ? La première partie montrera que le fabuliste fait l’éloge de l’homme politique, M. de Barillon tandis que la seconde mettra en avant la manière dont l’auteur se sert de la politique comme défense de l’apologue. La fable se caractérise par sa forme particulière. En effet, La Fontaine ne choisit pas pour personnages

celui qui veut disparaitre derrière son œuvre », et s’appuie sur un proverbe juif : « L’homme pense, Dieu rit », pour dire que l’Homme ne détient pas la vérité, malgré son système de pensée rationnelle et intelligente. Il évoque certains de ses auteurs préférés : Flaubert, Sterne, Cervantes, Rabelais. Enfin, il termine et peut-être abrège son discours en s’appliquant à lui-même son proverbe préféré : « Dieu rit quand il me voit penser ». Les thèmes abordés par l’auteur sont nombreux : Les Temps