L'Homme qui voulait vivre sa vie

1936 ainsi que "La Vie devant soi" de Romain Gary, publié en 1975. Ces extraits accordent chacun une grande importance à un personnage particulier. Nous verrons de quelle manière les trois auteurs décrivent leurs personnages, avec quel registre. Dans ces trois extraits, on constate que les auteurs cherchent à émouvoir le lecteur, à provoquer sa compassion. Pour cela, ils utilisent le registre pathétique. Tout d’abord, ils ont recours à des thèmes tels que la difficulté de vivre et la souffrance

bien nommer les choses, les nommer dans leur vérité -       la vérité comme valeur, recherche, supérieure à toute autre, en quoi il est sur le terrain de la philosophie, de la métaphysique qui spécule sur le Tout de la Réalité -       la nature de l’homme, être de besoins devenus artificiels À cela on peut ajouter pendant son installation dans le bus magique, un jeu avec le père jusqu’à ce propos « et si je souriais, si je me jetais dans vos bras, verriez-vous ce que je vois maintenant ? » Dans son

religion ( tout les aspects irrationnels ) sans pour autant remettre en cause ce que la religion apporte à la vie humaine . Nous annalyserons d'abord le premier temps du texte , Alain nous fait part d'une situation où l'homme est confronté à la mort et donc conscient de sa mortalité , il l'a compare à une charge que nous portons sur les épaules . Dans un second temps que l'homme à besoin de rituels auquels se rattacher , des choses rationnelles et concrètes sur lesquelles s'appuyer

Vivre, c'est naître, grandir, vieillir et mourir. Il n'est pas rare de constater que le temps est capital, essentiel envers l'homme. Une chose où l'on doit organiser, planifier, programmer, de façon à être le plus heureux possible. L'expression «la fuite du temps» nous fais penser à un moment tragique, que l'homme doit entretenir sans cesse. La métaphore de la fuite exprime réellement la rapidité, quelque chose que nous sommes pas en droit de maîtriser. Le plus souvent les hommes disent que le

la mort d'Alexandre le Grand. Il voulait trouver une réponse pratique à la misère de l'homme et fonda son école (« Le jardin ») à Athènes. Il combina les pensées d'Aristippe, disciple de Socrate et fondateur de l'hédonisme (le but de la vie devait être d'attendre la plus grande jouissance possible), et de Démocrite (la nature, l'univers, est un ensemble d'atomes). Il prôna la maîtrise de soi, la modération et le calme intérieur en vue de jouir pleinement de la vie. Plan de l'argumentation : L'âme

possible pour répondre A la problématique ’’ mieux vaut t’il se perdre dans la passion que perdre toute passion ?’’ Que voulait dire St. Augustin par cette phrase ? Sûrement pas que n’importe quelle passion serait précieuse, à sauver à tout prix. Il a certainement visé la seule passion valable à ses yeux : l’amour et plus précisément l’amour du Christ qui a lui même donné sa vie pour elle (sa Passion) , St augustin nous laisse alors sous entendre qu’il faudrait « choisir » les passions dans lesquelles

Emile.Il commence après à raconter sa vie, reprend le récit de son enfance … Enfance dans famille aristocratique, mère meut très tot et père distant l’oblige à suivre études de droits. Père criblé de dettes ayant perdu les terres récupérée par l’empire après la restauration en 1815. aLes créanciers vont exercer une pression sur Rafael et lui obligé de vendre les objets qu’il avait hérité de sa mère. Garde à peine le petit îlot où est enterrée sa mère.. Décide de vivre à ses miyens (pauvre) et persuadé

avoir écrit « De la patience » qui dit : « La femme est la porte de l'enfer ! ». Peut-être qu’il voulait montrer comme quoi le regard des femmes sur un individu peut-être un enfer. Certain homme sont même prêt à changer meurt personnalité pour devenir l’homme que les femmes veulent voir mais ceci demande beaucoup d’effort et souvent les femmes en demande encore plus et ne se contente pas de ce que l’homme est. Si l’Enfer s’est les autres qu’est-ce que le paradis ? Est-ce que le fait d’être seul peut

rhétorique par son père qui voulait le pousser vers une carrière publique. Mais le jeune homme fut vite attiré par la philosophie et cela, de façon passionnée. Le jeune Sénèque écoute donc les leçons du pythagoricien Sotion, qui recommande l'abstinence des viandes, du stoïcien Attale, (Sénèque Lettres à Lucilius) remarquable par sa rigueur morale ou du cynique Demetrius. Il se passionne à tel point pour la vie ascétique qu'il en tombe malade et doit bientôt abandonner ce genre de vie. Il devient donc, selon

de la société. Je considère ce roman comme une sorte de manifeste, car l’auteur en voulait à la société de déshumaniser l’être humain. Vian s’est servi de ces personnages afin de projeter une image de banalisation du travail. Selon lui, travailler c’était une perte de temps et c’était un retour vers l’esclavage. « Ils travaillent pour vivre au lieu de travailler à construire des machines qui les feraient vivre sans travailler. »3 Ici l’auteur utilise une répétition afin d’insister sur le terme