L'Homme qui voulait vivre sa vie

essentielle à la vie ? Les mortels ne peuvent se passer de culture, cela fait partie d’eux, de ce qu’ils sont maintenant. Si la culture n’existe pas les mortels peuvent-ils vivre, ou celle-ci est-elle indispensable ? Pour cela nous commencerons par le début et nous verrons ce que la culture peut donc nous apporter. Des motels ne peuvent se passer de culture. En effet dans l’histoire, les hommes ont connus tout d’abord la culture comme celle de la terre. Le point de départ de la vie, ce qui leur a

sombrons dans le sommeil et ce que nous sommes de moins en moins quand le bruit nous éveille peu à peu ». « Je préfère tout ignorer de ce qui s’est passé » « je ne préfère pas être au cours » quelques expressions du langage courant qui montrent que l’Homme préfère parfois omettre la vérité, la connaissance au lieu de satisfaire sa curiosité naturelle. Cet état de non-savoir est qualifié d’inconscience comme le montrent le mot lui-même puisque inconscience veut dire sans savoir. Mais aussi, nous voyons

d’un état mélancolique qui le pousser à éviter la société et à vivre dans la solitude. Il est évident dans ce cas la comparaison entre l’état d’âme des deux personnages, L’ours et l’héros Bellérophon. L’ours se sente tout seul dans la foret, il aimerait bien avoir des amis, quelqu'un avec qui parler ; l’ours dans cette fables représente l’homme, il ne peut pas rester si longtemps à l’écart de la société, il a besoin des autres pour vivre, sinon il devient fou. Au vers quinze il ya l’introduction de

Pour le 22/01/2015 Anthony TS2 Philosophie - Explication de texte Pour la plupart des philosophes, le but de l'homme et d'atteindre un jour où l'autre un certain bonheur de part ses actes. Le sujet mettra toutes les chances de son côté afin d'y arriver. Mais le cheminement pour atteindre ce plaisir diffère selon les pensées. Une question peut ici se poser, l'homme peut-il éprouver du bonheur en recevant ce qu'il désire en « cadeau » et sans s'être efforcer à aller vers ce qu'il recherchait 

ecrit "l'Etranger" oừ il parle de l'absurde dans la vie . Cet ecrivain a beaucoup commente les mythes, qui avaient pour role de punir les hommes et les dieux. Sisyphe ,Mersault(le heros du roman) et d'autres souffrent de leur vie .Meursault qui souffre du soleil "son front se gonflait" "criespait les dents". Aussi Sisyphe qui pour toute sa vie , fait monter un rocher sur une monagne ensuite ce rocher tombe ; il doit refaire cela pendant toute sa vie. Il travaillait et vivait sans but... C'est comme

famille des pipistrelles qui voulait absolument faire le tour du monde, elle s’appelait Nindë. Elle était d’une beauté à coupé le souffle à tout les garçons du royaume, mais elle était amoureuse du beau Amras. C’était le mauvais garçon du royaume mais il avait quelque chose de fascinant et d’attirant. Nindë, qui avait le projet de faire le tour du monde, était malheureuse parce qu’elle n’était pas comme les autres elfes, elle ne pouvait pas faire ce qu’elle voulait, car elle était la fille du

Comme ne lui reste quelques mois à vivre, il écrit une lettre qui se rallongera en une autobiographie à son épouse Isabelle. Dans cette lettre, il raconte son enfance malheureuse auprès d'une mère trop possessive, ne pensant qu’au bien être de son fils unique et à l'argent, son mariage raté avec Isabelle Fondaudège qui n’éprouvée aucun sentiments pour lui. Pour lsabelle, il n'y avait que sa fortune qui comptait pour la vie de leurs enfants. Mais Isabelle ne voulait pas qu’il soit un bon père pour es

Chaque individu présente en soi, un « moi individuel » qui le suit tout au long de sa vie, et un « moi social » c’est-à-dire une identité qui lui vient de la société dans laquelle il a été éduqué. « … la solidarité sociale n’existe que du moment où un moi social se surajoute en chacun de nous au moi individuel. » Cette phrase nous explique, que tout individus possède dès la naissance un moi individuel. Le moi social s’ajoute au fil des années, en fonction de l’évolution de la société, et c’est ainsi

Etant humain, nous sommes condamnés à une vie mortelle. Notre temps sur cette terre est limité, il est bref. Donc nous nous pouvons s’interroger en quoi cette vie nous apporte ; même si un jour nous allons mourir. L’homme doit s’orienter sa vie à propos cela. Cette une question que l’homme pose depuis des siècles. Sénèque dit «  la vie n’est pas courte, c’est nous qui la perdons » Voici la question qui se pose, la brièveté de la vie fait-elle de l’existence une chose sans valeur ? La question

Les hommes sont faits pour vivre en société; si l'intention de Dieu eût été que chaque homme vécût seul et séparé des autres, il aurait donné à chacun d'eux des qualités propres et suffisantes pour ce genre de vie solitaire; s'il n'a pas suivi cette route, c'est apparemment parce qu'il a voulu que les liens du sang et de la naissance commençassent à former entre les hommes cette union plus étendue qu'il voulait établir entre eux; la plupart des facultés de l'homme, ses inclinations naturelles,