L Horreur Des Tranchées

subsiste, cela montre les ravages des bombardements. Au premier plan on voit les tranchées dans leur horreur et inhumanité : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir

Verdun (1916) ou il y eut plus de 700 000 morts un vrai carnage. Dix millions de soldats sont morts au combat, des millions d'hommes reviennent du front mutilés ou blessés.) Il s'agit pour l'artiste de peindre les angoisses de son expérience dans les tranchées. Au moment où Otto Dix peint son tableau, l'Allemagne connaît une crise économique et sociale importante. Cette période se caractérise par une ascension fulgurante du parti nazi. 3.Contexte artistique: Otto Dix appartient au mouvement expressionniste

prestigieux Grand Prix de la Ville d'Angoulême. Jacques Tardi vit avec la chanteuse Dominique Grange et ils ont 4 enfants. «C'était la guerre des tranchées» raconte par glissements successifs la vie quotidienne, les angoisses de soldats et de leur famille pris dans les tourments de la Première Guerre mondiale. Pourtant « C'était la guerre des tranchées n'est pas un travail d'historien », précise son auteur Jacques Tardi. « Il ne s'agit pas de l'histoire de la Première Guerre mondiale racontée en

réussissent à se faire engager dans l’armée. Ils apprennent à se battre dans la même caserne mais après ils sont séparés dans deux régiments différents au moment de partir au combat. Le début de la guerre leur parait moins drôle, ils découvrent les tranchées, les combats et s’ennuient car ils ne participent pas à la grande bataille de la victoire. Au cours d’une corvée d’eau, Eugène rencontre une fille et il tombe amoureux mais la fille disparaît dans une explosion au cours d’un bombardement (que les

Objectivité et de l’Expressionnisme.Il s’engage dans l’armee allemande lors de la premiere guerre mondiale. Il a un journal dans lequel il dessine toute sorte de dessin qui demontre les horreurs dont il est temoin ldans les tranchées. Il a plusieurs fois etais blessé et ressort de cette guerre traumatise par toutes les horreurs qu’il a vu ce qu’il nous montre bien dans ses tableau. Après la prise du pouvoir par les nazis en 1933, Dix est persécuté parce que ces œuvres sont dites « œuvre dégénérée » par les

ravages causés par les bombardements (Cf. Verdun). Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules Les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir

(Cf. Verdun). Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend

guerre sont les mêmes. Dans chaque pays impliqués dans la guerre, il existe ce qu’on appelle la propagande. Mais la propagande est souvent qu’une illusion, loin de la réalité. Tout d’abord, parmi plusieurs peintres et les auteurs qui ont décrit les horreurs de la guerre 14-18, il y a un peintre en particulier que nous connaissons bien, Otto Dix. Il a peint plusieurs tableaux pour montrer au monde entier les catastrophes et le chaos de la guerre. Ses œuvres touchent le public particulièrement puisqu’il

mobilisation générale. Dans un premier temps, une course à la mer a lieu, l’armée allemande essaye de déborder son homologue française en passant par le nord, puis une guerre de position a lieu à partir de 1915 : les soldats s’enterrent dans des tranchées. Leurs conditions de vie sont particulièrement difficiles, autant d’un point de vue psychologique que physique. Dans cette épreuve commune le mental des troupes est soumis à rude épreuve : certains craquent et choisissent la mutinerie, mais la grande

au gourdin, à la pelle, au poignard et à la grenade (l’emploi de pétards de mélinite, irritant pour la peau et les voies respiratoires est également en usage). Après l’assaut de la première ligne par la troupe, les hommes, appelés nettoyeurs de tranchées, passent au fil du couteau tous les blessés, les trainards, susceptibles de tirer dans le dos de leurs camarades. Cette tactique a pour but de ne pas ralentir l’attaque principale. Cette boucherie a duré quatre longues années et va forcement marquer