L Hypocrisie Dans Le Misanthrope De Moliere

deux aspects du portrait. Que révèlet-il ? (2 points) 2. Relevez dans le portrait de Poupillier les mots qui appartiennent au champ lexical de la misère. Relevez ensuite quatre propositions qui prouvent son hypocrisie. Vous soulignerez à chaque fois le mot qui met en évidence cette hypocrisie. (3 points) 3. Quelles caractéristiques ces deux textes ont-ils en commun ? Vous développerez votre réponse autour de trois points communs que vous justifierez en citant les textes. (3 points) 1. Sparterie

catholique s’est durcie, il n’est plus si facile d’obtenir le pardon pêcheurs ! 5.2 Dom Juan et Molière Molière (1622-1673). Né dans une famille de bourgeoisie marchande. Eduqué chez les jésuites. Il étudia le droit qu’i arrêta pour se consacrer au Théâtre. Il ajouta le comique à la comédie. Il écrivit de grande comédie : - Certaines respectant les règles classiques : * Le misanthrope * Tartuffe Il remis aussi à l’honneur le genre de la farce. Il est alors déchu de sa notoriété

tout point à plaire à Harpagon. Ces deux attitudes excessives prettent à sourire et Maitre Jacques trouve des expresions savoureuses qui renvoient à son amour pour les animaux pour suggérer l'art de la flatterie. Maitre Jacques apparait comme un misanthrope atrabilaire (=irascible) alors que Valère est un parfait courtisan. Ce contraste fait sourire. *complément: Maitre Jacques est un Alceste dans la classe populaire 3)Source de comique: le spectateur se demande comment Harpagon va réagir lorque

prêtres odieux ou ridicules, qui font songer aux personnages de Rabelais ou de Molière. Les prêtres de Turin sont ignorants. Il ridiculise son premier instructeur : « Mon vieux prêtre parlait beaucoup, s'échauffait, battait la campagne, et se tirait d'affaire en disant qu'il n'entendait pas bien le français. » Ces hommes d'Église sont pour les moins caricaturaux. Leur ignorance est toutefois moins importante que leur hypocrisie en matière de mœurs ! Un « saint missionnaire » de l'hospice, qui recherche

scène 6. Il est en cela assez proche de Lorenzo, dont nous parlerons par le suite. Nous eussions pu également revenir sur le comportement très ambiguë du cardinal, qui par son laxisme à l'égard des profanateurs de l'Eglise se rapproche du Tartuffe de Molière. Autant de personnages que l'aspiration au pouvoir a su rendre sensibles à la corruption. En abordant la question des convictions bafouées, nous nous attachons à l'intériorité des personnages. Le rapport au moi est d'ailleurs très présent dans la

Personnages[modifier | modifier le code] Madame Pernelle : mère d'Orgon et favorable à Tartuffe qui est, d'après elle, un personnage pieux et respectable. Dès la scène d'exposition, elle est immédiatement disqualifiée par Molière : elle incarne l'aveuglement d'une génération dépassée. D'ailleurs, elle sera la dernière personne à comprendre son erreur. Orgon : mari d'Elmire et fils de Madame Pernelle. C'est une personne naïve et entêtée. Elmire : femme d'Orgon. Contrairement à Orgon, elle est

 Le Misanthrope, de Molière Anthologie raisonnée 1re S 2010-2011 1. La structure de la pièce Par Enora Corbel La pièce n’est-elle qu’une succession de conversations ou y a-t-il une intrigue bien identifié ? Ou bien des intrigues ? Alors lesquelles ? La pièce est composée de trois intrigues. Toutes ces intrigues sont énumérées. La première est amoureuse. Elle concerne les fiançailles d’Alceste avec Célimène. En effet on peut se demander si oui ou non Alceste va réussir

mais il livre des remarques dans un tout cohérent, grâce à une progression des thèmes. Les Livres V à X forment une unité certaine, puisqu’ils développent la comédie société, en observant vices et hypocrisie. Ils sont aussi en quelque sorte une gradation ascendante au cœur de l’ouvrage : Ils vont de la société civile au monarque, sans négliger la bourgeoisie, la noblesse et la plus haute aristocratie. Ainsi, le Livre X renferme

une machinerie permettant de faire apparaître un dieu récitant une tirade – d'où l'expression « deus ex machina ». Le théâtre romain comporte surtout des comédies pour distraire le peuple. Plaute et Térence ont écrit de nombreuses comédies, dont Molière s’est parfois inspiré. Il y a aussi, datant du IVe siècle av J-C, l’atellane, un genre de farces bouffones où des personnages traditionnels connus de tous jouent en s’appuyant sur un canevas qui laisse une grande part à l’improvisation : elle préfigure

dénonciation toute chrétienne des vices humains et de l’hypocrisie sociale. Les Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1678) analysent d’ailleurs cette hypocrisie dans le milieu spécifique et ritualisé de la Cour que fréquente leur auteur. De même, si Molière peint dans ses personnages des types humains universels, tel l’avare ou le misanthrope, il les met en scène malgré tout dans des situations propres au XVIIe siècle, tout autant que Balzac décrit, dans ses romans, à la fois la société du début