L Hérésie Cathares

D’autres en voient les premières manifestations dès la fin du XIe siècle et les premiers pogroms qui jalonnent la première croisade populaire menée par Pierre l'Ermite. Au XIIIe siècle, la crise rencontrée par l’Église catholique, menacée par les hérésies cathares, albigeoises, vaudoises aboutit à une rigidification de sa doctrine qui se manifeste notamment par la création de l'Inquisition dans les années 1230 et par ce que Delacampagne désigne comme la « démonisation » des « infidèles »[37]. Selon

D’autres en voient les premières manifestations dès la fin du XIe siècle et les premiers pogroms qui jalonnent la première croisade populaire menée par Pierre l'Ermite. Au XIIIe siècle, la crise rencontrée par l’Église catholique, menacée par les hérésies cathares, albigeoises, vaudoises aboutit à une rigidification de sa doctrine qui se manifeste notamment par la création de l'Inquisition dans les années 1230 et par ce que Delacampagne désigne comme la « démonisation » des « infidèles »40. Selon Delacampagne

exemple : un seigneur doit protection à ses vassaux ; à la suite de la croisade des Albigeois : au 12ème siècle, au sud de la France, une minorité d’hérétiques existe : les Cathares. L’Eglise combat cette hérésie, les seigneurs du midi ne font pas grand-chose ; la papauté décide d’organiser une croisade pour lutter contre cette hérésie. Philippe Auguste n’apprécie pas tellement, mais laisse faire. C’est un petit seigneur, Simon de Montfort qui dirige cette expédition ; la papauté a promis que toutes les

seulement. L'Empereur Constantin reconnaît en 313 officiellement l'existence du christianisme (Édit de Constantin) qui connait alors une expansion fulgurante. Pour autant, les peuples barbares n'embrassent pas le catholicisme, ils se convertissent à une hérésie : l'Arianisme qui remet en cause le dogme de la trinité et la divinité du christ. Parmi les peuples qui se partagent la Gaule, les Francs, eux, sont restés païens. C'est à eux que l'Église va s'adresser. Il est en effet plus simple de christianiser

n’est pas absolue nous l’avons dit : les plus séculiers restent favorables à l’ancien ordre (ex en Lorraine, en Allemagne) tout en souhaitant une discipline améliorée. *Manifestent une dynamique réformatrice Élan réformateur diffusé. 1022 : première hérésie connue pour la période; signe d’exigences plus grandes, à Orléans, justement au cœur d’un foyer intellectuel important. Des clercs pieux et instruits (parmi eux le confesseur de la reine Constance) + 1 nonne et deux aristo accusés d’avoir des idées

fit que les monastères et le clergé revinrent à une certaine austérité et ferveur spirituelle. La conception clunisienne de la vie monacale jugée trop aristocratique, fut plus tard dépassé par de nouveaux ordres.             L'une des principales hérésies qu'apparurent au XIIème siècle fut le catharisme, qui se développa dans le Sud de la France; son trait caractéristique était l'absence de prêtres. Une petite élite de "parfaits" assumait la pureté évangélique et transmettait aux fidèles le message

documents Comprendre et exploiter une image, un plan C. Christianisation de la société : l’Église guide de la société 1. Une foi vécue au quotidien Christianisation Expliquer un texte 2. Mettre de l’ordre : exclure les hérétiques Hérésie-Cathares-Albigeois Lire et analyser une image 3. Mettre de l’ordre : chasser les non- Reconquista chrétiens A Une Église qui devient la principale puissance de la chrétienté Rendez-vous sur cned.frr ou dans votre fascicule d’exercices pour

urbains – qui réclament des améliorations de leurs conditions sociales, parfois au nom de la religion, ou aux hérésies qui demandent des réformes religieuses et sociales, les mouvements millénaristes abolissent leur exploitation, leurs conditions sociales, en s’emparant immédiatement de ce qui fait d’eux des « nécessiteux », en détruisant ce qui les oppresse. Révoltes populaires, hérésies et millénarismes sont perméables les uns aux autres. Les millénaristes aussi s’appuient sur la religion, non pour

autonomie aux provinces conquises. Au Languedoc au XII siècle, s’était développée une hérésie. L’Hérésie cathare. Plusieurs opérations militaires sont engagées. Notamment le Roi Louis VIII conduit un de ces opérations militaires. Finalement au terme de négociations, la Régente Blanche de Castille parvient à conclure un traité, celui de Paris du 12 avril 1229. Elle conclut le traité avec l’un des principaux chefs cathares, Raymond VII, comte de Toulouse. Ce texte de 1229 pose le principe du rattachement

était plutôt que la religion est une, qu'elle est susceptible d'erreurs appelées hérésies, ou bien qu'elle est inconnue et, dans ce cas, il s'agit de paganisme. Le terme religion change d'acception à partir du xvie siècle, moment auquel les Européens commencent à connaître une forme de pluralisme religieux. D'une part l'islam leur était mieux connu et apparaissait davantage comme « une autre religion » que comme une hérésie ou du paganisme ; d'autre part, il fallait un mot pour désigner les multiples