L Idée De Dieu Chez Descartes

conscience. Mais de quelle sorte de conscience prive t-on l’animal? Pourquoi la conscience ne serait que le propre de l’homme? Qu’y a t-il derrière cette idée de conscience animal qui la rend si inacceptable? I-LA CONSCIENCE EST LE PROPRE DE L’HOMME 1-ce que c’est que d’être conscient. Etre conscient c’est être en devenir et le savoir. Il y a donc chez l’homme une conscience de la temporalité. Mais c’est aussi avoir conscience d’une expérience actuellement vécue. En effet, il apparaît que l’homme

l'homme de Descartes (trouvé par hasard chez un libraire). Il en est "extasié" et va désormais se consacrer à la philosophie. Devenu le plus illustre des disciples de Descartes, Nicolas de Malebranche n’aura pour ambition que de concilier la physique de son maître et la métaphysique de Saint Augustin. De plus, la toute-puissance de Dieu, radicale, souveraine, est la pièce maîtresse de sa réflexion ; il prétend que notre volonté, de même que notre intelligence, ne peut rien par elle-même, que Dieu est le

- Je suis ce que je suis car j’ai une conscience de moi et de mon existence. Pour Descartes, je suis un sujet pensant, un cogito qui prend conscience de lui-même. La conscience, c’est le retour de l’objet perçu vers l’acte de percevoir. Quand je veux un objet, je sais que je suis le sujet de la volonté, que je suis voulant. La caractéristique de l’être humain conscient est qu’il doute. Et selon Descartes, il faut douter de tout pour nourrir sa conscience. - Je suis ce que je suis car je

3°L’éthique de Platon 4°L’Etat chez Platon 5°Vers une métaphysique théologique 6° Le Dieu chez Platon C. Aristote (384 – 322) 1. Vie et personnalité 2. La logique 3. La philosophie d’Aristote 1° Métaphysique 2°L’homme 3° L’éthique 4° dieu = cause finale Chapitre 2 : La philosophie du

1 Descartes, Les méditations métaphysiques. La méditation est un genre philosophique, une méthode de pensée qui permet au lecteur d’accéder par lui-même à cette philosophie. 1. Métaphysique : définition. Sens le + large : entreprise qui s’efforce, par les voies de la raison, de connaître les 1ers pcps de ttes chs : philo 1 ère . Chez Descartes : l’entreprise métaphysique se confond avec la volonté de donner 1 fondement absolu à tout le reste de la philosophie, ce qui, à l’époque,

vient de l’extérieure, est étrangère à l’homme. C’est donc la situation dans laquelle le droit est donné d’une source que l’homme ne peut pas discuter. On considère qu’il y a une vérité qui ne dépend pas de l’homme. La source première de ce droit est Dieu mais cela peut aussi être les traditions, les coutumes, le cosmos. L’autonomie : on se donne à soi même sa propre loi. Ce sens de modernité est finalement ce qui est commun avec toutes les modernités. L’autonomie est ce moment où dans l’histoire

métaphysiques (Descartes, 1641) un sujet principal y est abordé, celui du doute radical . Il sera question de ce qu’il est, des trois étapes pour l’atteindre et sa conclusion. Au tout début, Descartes fait le compte-rendu sur les opinions qu’il a depuis son tout jeune âge et il affirme qu’elles sont toutes fausses sans exception. Pour procéder à son analyse, il faudra que, lorsqu’un tout petit doute est découvert à propos d’une idée, il la rejette. Pour lui, il

toutefois cette obligation de prouver est une régression à l’infini de la vérité. On peut voir aussi que la vérité ne semble pas prouvable. La science elle même se base sur des axiomes admis, Descartes a trouvé le cogito à l’aide de son intuition et lorsque Kant tente de démontrer ou de réfuter l’existence de dieu, cela se solde par un échec. On se demandera si toute vérité doit elle être prouvée. Par exemple la vérité évènementielle qui n’en a pas besoin, la vérité démontrée par les sciences humaines

l’être immobile devient l’Objet d’étude la philosophie première ( c le point cardinal). C’est l’entrée de Dieu dans l’histoire de la philosophie dans sa dimension immobile et éternelle. 2. L’accès à l’universalité grâce à la philosophie première Aristote se souvient alors que la science première doit être universel! Si la question de l’être est universel, est-ce que le fait d’étudier Dieu n’est pas en train de trahir la promesse d’une science universelle? Le discours n’a pas basculer d’une science

l’existence. Lorsque nous concevons un Dieu créateur, ce Dieu est assimilé la plupart du temps à un artisan supérieur ; et quelle que soit la doctrine que nous considérions, qu’il s’agisse d’une doctrine comme celle de Descartes ou de la doctrine de Leibniz, nous admettons toujours que la volonté suit plus ou moins l’entendement, ou tout au moins l’accompagne, et que Dieu, lorsqu’il crée, sait précisément ce qu’il crée. Ainsi, le concept d’homme, dans l’esprit de Dieu, est assimilable au concept de coupe-papier