L'Imitation de Jésus-Christ

place importante dans la construction du discours révolutionnaire dans les régions musulmanes ou juives. En Europe, au XVIIIe siècle, un opuscule intitulé Le traité des trois imposteurs circule sous le manteau. Cet écrit anonyme affirme que Moïse, Jésus, Mahomet et les livres saints ne sont que foutaises. Cette critique des trois imposteurs est déjà présente chez des auteurs du XIIe siècle. L’auteur reste inconnu mais certains ont affirmé que l’origine de ce thème était à chercher du côté de Abu Tahir

ainsi, non pas tant historiquement, aspect esthétique mais par genre littéraire car chaque genre littéraire est séparé donc il y a épopée, tragédie, lyrique, l’histoire se transforme à l’intérieure même du genre. Il y a ce qu’on appel l’idée de l’imitation, même dans l’antiquité on passe son temps à imiter, il n’y a pas d’originalité. L’originalité n’existe surement pas pour eux. La littérature antique est une succession pour les épopées par exemples qui sont une succession. - La littérature antique

propre, elle s'affirme lors de grande fêtes liturgiques, patronales ou bien encore au Carnaval. Ils existent aussi dans les villes des fêtes extraordinaires, elles se produisent lors d'anoblissements ou l'entrée du roi dans ville (rappelant l'entrée du Christ dans Jérusalem). Les bourgeois profitent de ce moment pour se faire remarquer du roi et ce sont de grands temps forts pour les villes, renforçant ainsi leurs identités. c- Les élites ecclésiastiques et aristocrates se confondent car les prélats

uniquement dans les légendaires mines de Golconde, la ville du commerce du diamant. Les gemmes vendues là-bas venaient de nombreuses mines. La première référence spécifique aux diamants se trouve dans la littérature romaine du 1er siècle avant Jésus-Christ. Les diamants connus par les Romains venaient certainement d'Inde, qui, jusqu'au XVIIIe siècle, a été la seule source connue de ces pierres. En 1726 on a découvert des diamants au Brésil, et en 1866 en Afrique du Sud, qui est aujourd'hui le principal

légal et ce qui est moral ? Chaque situation de la vie est unique et particulière,. Des principes trop généraux ne nous aident pas suffisamment. Nous ne pouvons pas non plus simplement imiter des exemples pour nous acheter une bonne conscience. L’imitation n’est pas une vertu morale, ni une justification. Les religions ont une autorité à l’égard de leurs fidèles, mais elles ne vont pas au-delà. Elles reposent sur des codes différents. Nous ne pouvons tout de même pas attendre de les étudier toutes

Fig. 9 Fig. 10 14 2.4.1.1 LA TRAGEDIE Des règles strictes sont édifiées pour codifier le théâtre. Elles sont énoncées par Boileau dans son Art Poétique en 1674 mais largement inspiré par la Poétique d'Aristote. : « la tragédie est donc l'imitation d'une action noble, conduite jusqu'à sa fin et ayant une certaine étendue, en un langage relevé (…) ; C'est une imitation qui est faite par des personnages en action et non par le moyen d'une narration, et qui par l'entremise de la pitié et de

discours direct, il rappelle St Lazare et Daniel et demande à avoir l'âme sauvée. Il offre à Dieu son gant droit comme avec le suzerain. Mix de féodalité et de religion, Gabriel prend le gant (tradition chrétienne, dit à Marie qu'elle est enceinte de Jésus. Pour les musulmans, il dit qui est Mahomet et lui dicte le Coran). Il meurt en bon chrétien avec les anges tel que Michel du Péril, Chérubin, Gabriel qui emporte son âme au paradis car Dieu l'a à la bonne. THOMAS, Tristan (vers 1172) Les

d’autant plus effacé qu’il n’impose aucun pouvoir, ni aucun droit. Il propose une morale nouvelle et originale. I. La morale du droit Elle se manifeste par la parole d’un homme natif de Nazareth dans la province romaine de Galilée. C’est Jésus le Christ, c’est à dire celui qui est marqué par l’onction. C’est une qualification juridiquement importante puisqu’elle s’inscrit dans la ligne des références bibliques et permet d’évoquer une qualité royale. Cette parole est rapportée par quatre de ses

enrichie de jeux de scène outrés. Pour l’Avare, il a utilisé directement une source latine, une pièce de Plaute, Aulularia (la marmite), qui date d’environ deux cents ans avant Jésus-Christ. Cette réécriture était d’ailleurs bien conforme aux agissements de l’époque préconisés par beaucoup de ses contemporains, à savoir l’imitation des Anciens. Mais son emprunt est une véritable recréation. En effet, Molière a apporté des éléments nouveaux : le sujet n’est pas exactement le même. Le personnage principal

(enquêtes biographiques, catalogues des œuvres, anecdotes et légendes). Il est le premier, dans les Vite, à utiliser le terme Renaissance pour qualifier son époque (rinascimento de la bella maniera incarnée par Raphaël et Michel-Ange dont le but est l'imitation du travail des anciens et qui apparaît selon lui dans la seconde moitié du XIIe siècle). Cet ouvrage apparaît, aujourd'hui, comme un des éléments fondateurs de l'Histoire de l'art. C'est de Vasari que viendrait le terme « gothique », comparant