L Inconscient Et La Responsabilité

violence. On peut alors se demander s’il n’existerait une forme de rationalité propre, sinon à la foule, du moins à certaines d’entre elles, et si celle-ci est à la fois nécessaire à la légitimité des revendications de la foule et garante de sa responsabilité ? I. L’hystérie comme caractéristique des foules 1. La foule comme rassemblement irrationnel d’individus, guidée par des sentiments primaires -Paradoxe d’Olsen -Définition de Le Bon -Exemples (foules violentes et non violentes) 2. Des individus

souffrance, comme une atteinte à la vie privée subie par une personne par le fait d’un tiers. La responsabilité est une obligation de réparer le préjudice résultant soit de l’inexécution d’un contrat soit de la violation du devoir général de ne causer aucun dommage à autrui par son fait personnel, ou du fait des choses dont on a la garde ou du fait des personnes dont on répond, lorsque la responsabilité n’est pas contractuelle, elle est dite délictuelle. Ainsi, les articles 1382 et 1383 du Code civil

environnement particulier à chaque individu. En ceci, nous sommes animés par des raisons inconscientes que nous ne comprenons et ne maîtrisons pas toujours et qui réduisent notre espace de liberté. Par exemple, quand Lafcadio (« Les caves du Vatican, de André Gide) tue sans raison, ni profit, il le fait parce qu’il le désire. Ce n’est donc pas un acte gratuit, il est motivé par des raisons inconscientes. Donc, ce que je fais de mon existence est en quelque sorte déterminé par ce que

points principaux : 1) La vastitude du sujet qui ouvre le questionnement sur des couples dialectiques (par exemple : sphère intime et sphère publique, individu et institution, transgressions et limites, faillibilité humaine et loi institutionnelle, responsabilité individuelle et vulnérabilité personnelle), et 2) Le tabou qui règne, encore et toujours, sur le sujet du « sexuel », zone d’ombre au sein des institutions, en l’occurrence pour ce qui nous concerne, à l’hôpital psychiatrique. On en parle pourtant

de croire que sa conscience régit ses actes et par la même qu'il est lui même. C'est ainsi que Freud démontre qu'il existe trois instances dans la conscience. Le « moi, le ça et le surmoi ». le « moi » est le pôle conscient, le « ça » le pôle inconscient et le « surmoi » l'instance régulatrice du « moi » et du « ça ». D'après la théorie de Freud, même dans l'inconscient on ne cesse d'être nous car nos désir et nos envies sont tous simplement refoulés. Donc Le fou est lui même lorsque l'on considère

et aux élèves. Aux personnes âgées, aux handicapés. Leurs réponses seront nuancées, certes, mais probablement négatives. En un mot, la liberté n'est-elle pas aléatoire ? Si oui, pouvons nous êtres totalement libres ? Notre inconscient n'a t-il pas une grande part de responsabilité dans la suppression de cette liberté ? Après réflexion, on s'aperçoit que pour de nombreuses raisons, on peut être contraints à ne pas être libres. Dans un premier temps, nous verrons que les principales contraintes concernant

ce soit pour oublier. Il faut dire que dans un grand nombre de vies la souffrance règne. C'est pourquoi, beaucoup sombre dans l'alcoolisme ou la toxicomanie. Ils vivent alors dans un monde où ils s'évadent loin de leur malheur, car ils en sont inconscients. Mais la lucidité est-elle vraiment un obstacle au bonheur ? (...) Dans un premier temps, nous allons voir que la savoir et le bonheur peuvent parfois coexister. Pour ce faire, nous montrerons que la réflexion peut-être à l'origine du bonheur,

ses objectifs On ne peut pas ne pas communiquer Il n’y a pas d’échec dans une communication, seulement une réponse, un feed-back Le sens d’une communication est donné par la réponse qu’elle déclenche Nous avons la responsabilité de nous faire comprendre et nous avons la responsabilité de comprendre l’autre - Quel que soit le comportement existant, il sert une intention positive Il est quasiment impossible de changer les autres, mais nous pouvons générer nos propres changements Si ce que vous

le sujet s’est rendu coupable et dont on peut le tenir coupable, ne nous révèle pas dans quelle mesure l’auteur lui-même se reconnaît coupable ou responsable de son acte. T. Reik (1926) : « Geständniszwang », la compulsion d’aveu Tendance inconsciente et compulsionnelle du sujet à exprimer des événements perçus au niveau endopsychique, et ceci à son propre insu. Il s’agirait alors d’une forme d’auto-trahison malgré lui. Il est susceptible de se traduire au niveau des actes (manqués) comme au

déterminisme global n’exclut aucunement une indétermination (ouverture de possibilité inédites) que le rationalisme classique (Laplace) récusait. Dans le monde psychologique (le « Monde 2 »), les expériences subjectives, les sentiments, les mobiles inconscients, sont largement imprévisibles. Si notre personnalité, en effet, procède en partie des circonstances, si elle doit donc beaucoup au hasard, elle relève aussi de notre propre volonté. Le monde de l’esprit enfin ( le « Monde 3) , c’est-à-dire tout