L Inconscient Et La Responsabilité

récent occulte le passé plus ancien. Pour l’adolescent, le souvenir s’agglutine vite autour de quelque expérience amoureuse, ou quelques audaces. Résultat : il perd le sens de l’interdit devant l’autorité des parents et il est alors facilement inconscient, irresponsable. Il ne se rend même plus compte de ce qui est mal, il ne voit que ce qui lui fait plaisir : il profite. Le plaisir est sa morale. [5] Bergson parle de son époque, mais ce qui se passe aujourd’hui est justement la réalisation de

origine de la pensée contemporaine. Il a remis en question la philosophie cartésienne de DESCARTES ; • Il insiste sur le faite que le psychisme ne se réduit pas à la conscience ; selon lui la vie psychique la plus importante est inconsciente. • Cette vie inconsciente est faite de désirs refoulés qui ne s’expriment que par nos actes manqués, nos maladresses nos rêves ou notre corps. • Selon FREUD le cogito cartésien serait une erreur philosophique. • Je pense mai « ça » pense en

réflexion ; mais une fois l’habitude prise, le geste étant devenu réflexe, la réflexion n’a plus de raison d’être. Le sujet s’est incorporé le geste, l’a intégré à son comportement, l’a inscrit dans la mémoire du corps. Il est devenu par rapport à lui inconscient, c-à-d inattentif, irréfléchi. La conscience qui guidait l’apprentissage au début est congédiée, dès lors que le geste approprié surgit de lui-même au moment propice et nous dispense "de nous décider et de choisir". La description du deuxième

pas non plus être conscient que je ne suis pas…Parlant à la première personne ; nier le sujet lui-même est une contradiction »(Kant). Nous ne pouvons donc être réellement responsables que de nos propres actes. C'est cette conscience et notre responsabilité qui en partie, forment notre identité. Grâce à cela, on ne peut nous confondre avec un autre car nous sommes tous particuliers et uniques moralement mais aussi physiquement puisque nous n'avons pas tous les mêmes caractères génétiques. Il est

ses pulsions. (Ingrateia : maîtrise de soi, culture). Culturation de cette force pulsionnelle dont j’ai pourtant besoin. Suis qu’un être social ? Freud : Ou est le moi ? Qu’est ce que je dois maîtriser ? Questions : - Est ce que l’action inconsciente est encore une action ? - L’action n’est-elle pas que dans le conscient par définition ? « Je sais toujours ce que je fais, et j’en suis responsable ». Sartre. - De quel moi suis-je le maître ? - Est-il le moi qui agit ou le moi qui se manifeste 

peut être des manifestations de notre inconscient, comme les actes manqués, lapsus, ou encore les désirs : nous savons que nous désirons quelque chose, donc nous agissons selon ceci, mais savons-nous réellement si nos désirs s’accordent avec nous ? Il est donc impossible de ne pas savoir qu'on fait une action, mais il est possible de ne pas savoir la nature de cette action. IIb) Selon la loi, on peut en partie ne pas savoir ce que l’on fait. La responsabilité de chacun peut être atténuée en cas

les hommes sont égaux entre eux car ils sont tous libres. Spinoza →L'homme n'a pas de liberté , ce sentiment que l'on a n'est qu'un rêve, on se croit libre car nous ne sommes pas conscient des causes véritables de nos actions. L'homme est inconscient de l’origine de ses actions. En général on dit que nous ne sommes pas libres à cause des contraintes, d'obstacles extérieurs. Ce sont nos volontés en elles mêmes qui ne sont pas libres, elles sont déterminés pas des causes que j'ignore et dirigent

malheurs du monde en général. Bien que l'homme ait conscience de ses actes, il lui arrive parfois de laisser ses pulsions dicter ses actions. Par conséquent, tel un enfant, il ne mesure pas l'importance de ses actes et agit donc de manière "inconsciente". Cette inconscience est l'état de l'enfance mais elle devient un défaut chez l'adulte. En effet, les sentiments de l'adulte, qui sont le propre de la conscience, jugent si les actions réalisés pendant cette période "d'inconscience" sont morales

sommes lucides et que nous ne nous dissimulons pas notre authentique identité personnelle ? Le problème que soulève le sujet est donc celui de la possibilité d’une lucidité sur soi étant donné qu’il nous arrive parfois, sous l’influence des divers inconscients et de notre environnement social, de croire être sincère alors que nous ne le sommes pas. IV. Plan 1. Il est à la portée de chacun de se connaître – moyennant le désir sincère de le faire. - a. L’introspection est spontanée, naturelle et elle

------------------------- == si la dignité de l'homme est la liberté, toujours par delà l'essence, on comprend qu'il peut être à la fois le même (libre) et différent par ses décisions, ses créations. On n'échappe pas à la liberté et donc à la responsabilité de ses actes: en effet les circonstances dans lesquelles nous vivons ne sont pas des causes déterminantes mais de simples conditions Introduction : Lorsque quelqu’un me demande qui je suis, je sais en général quoi répondre, sauf si je suis