L Inconscient Gouverne T Il

partie animal et instinctive de l’Homme alors que Jean-Paul Sartre lui dans L’être et le néant ramène l’inconscient à la mauvaise fois. La vulgarisation de l’inconscience, lorsqu’il est interprété hâtivement, est comme une force obscure qui nous gouverne. On pourrait dire que l’inconscient est une autre version du moi qui satisfait librement mes désirs puisque celui-ci qui fuit la surveillance du surmoi. Ce surmoi étant en réalité l’autorité qui m’assujetti et me limite dans ma liberté. S’il

préconscient inconscient conscient ? 2eme topique ca moi surmoi b. Pulsions On les appelle libido. C’est une poussée, c’est-à-dire une force continue irrépressible qui prétend gouverner le sujet. Dans la 2emme topique c’est le Ca de Freud (= pulsion) c. Interdictions Certaines de ses pulsions se heurtent à des interdictions qui sont d’ordre culturel et s’opposent à leur réalisation. Dans la 2eme topique c’est désigné par le surmoi. L’interdiction est tout comme la pulsion, inconsciente, ça

l’inconscient ?       Il a fallu attendre la fin du XIXè siècle avec le médecin et neurologue  autrichien Sigmund FREUD (1856-1939) pour avoir une réponse sérieuse à cette question. Déjà avec Gottfried Wilhelm Von LEIBNIZ (1646-1716), l’adjectif ‘‘inconscient’’ servait à qualifier les réalités qui échappaient individuellement à notre conscience (ex. : bruit de chaque goutte d’eau de la mer) mais dont la somme donnait une perception consciente (ex. : bruit de la vague).  Mais chez FREUD, il deviendra

d’une volonté qui émane de la conscience et se retourne vers elle-même. Dans un deuxième temps nous verrons que cette souveraineté de la volonté est aussi contestable que celle de la conscience et que les désirs reposant sur des motivations inconscientes l’emportent sans qu’il soit possible d’y remédier. Toutefois, une telle affirmation ferait de l’homme un être entièrement déterminé par sa Nature ce à quoi il échappe précisément en raison de la nature duale de sa conscience qui n’est ni un

conscience d'être, après avoir douté, à savoir "une chose qui pense", je le suis réellement ; ce moi n'est ni un corps, ni une âme mystérieuse ou subtile mais une pure pensée et, à cette pensée consciente, sera reconnu par la suite le pouvoir de gouverner le corps sans être gouvernée par lui, autrement dit un libre arbitre. Selon le sens qu'on donne au concept de conscience, je suis ce que j'ai conscience d'être (conscience philosophique de soi) et je ne suis pas ce que j'ai conscience d'être (conscience

semblent bien nous parler de nous, de notre réalité extérieure et consciente mais au travers d’un inconscient mystérieux qui influe sans cesse sur nous, sans que nous nous en apercevions naturellement. Ainsi, nous pouvons nous demander de quoi est fait cet inconscient, producteur de rêves, quelle est la méthode d’analyse établie par Freud pour interpréter nos rêves, accéder à notre inconscient. Par là nous interrogeons le décalage entre rêve et réalité, constat de départ, que nous essayerons

sujet va faire de lui même, il va aller à la rencontre de sa vérité, de ses blocages, de ses obsessions, remettre en cause les croyances qu'il à propos de lui même. Le travail psychanalytique est donc long et profond, reposant sur l'écoute de son inconscient à travers le rêve, et le procédé de la libre association. L'humain est un être compliqué, avec ses forces et ces faiblesses, ses blessures, ses défenses. L'humain est aussi un être de communication et de langage, d'ailleurs la parole en psychanalyse

connaissance, départager bien du mal dans la moral, et le juste de l'injuste dans le droit. -Sensibilité : parle de ce que l'on ressent. Pour Aristote, l'homme se distingue de l'animal en ceci qu'il ne se laisse pas conduire par ses besoins, l'homme se gouverne lui-même. Il est donc naturel pour un homme de s'en remettre à la raison et de ne pas faire tout ce que l'on a envie de faire. Si l'homme est un animal ( si il a des besoins ) c'est un animal raisonnable. Il sait prendre des décisions en connaissance

autres colonises surtout les inconscients et les résignes. Ainsi Lalla Hasna condamne la conduite des militants qui n’acceptent pas l’humiliation de la colonisation. Elle admire les français seuls capables de gouverner et seuls munis du savoir. Ses paroles et ses idées ne sont pas propres a Lalla Hasna mais elles font partie de l’idéologie de tout un groupe de colonises qui forme une classe contre révolutionnaire. Mais à cote de ces personnes résignées et inconscients, il existe d’autres qui partagent

l'Irakien. Aux travailleurs et aux élèves. Aux personnes âgées, aux handicapés. Leurs réponses seront nuancées, certes, mais probablement négatives. En un mot, la liberté n'est-elle pas aléatoire ? Si oui, pouvons nous êtres totalement libres ? Notre inconscient n'a t-il pas une grande part de responsabilité dans la suppression de cette liberté ? Après réflexion, on s'aperçoit que pour de nombreuses raisons, on peut être contraints à ne pas être libres. Dans un premier temps, nous verrons que les principales