L Instinct De Survie

uniquement des besoins. Le besoin est vital, indispensable à la vie, on ne peut pas s'en passer alors que le désir ne l'est pas et ne pas le satisfaire peut conduire à la mort. Ainsi, le besoin est animal. Quant au désir, il porte sur le superflu à la survie, il nous extirpe du réel, il se déploie dans l’imagination et dépend ainsi de la capacité de l’homme à se représenter consciemment quelque chose qu’il ne possède pas et qu’il désire. Seul l'homme est animé par le désir. Par ailleurs, Spinoza affirme :

le temps passe, plus l’être humain semble régresser. Il se laisse désormais influencer pas les principes économiques et matérialistes de ce monde qui fait de lui un être de plus en plus inconscient et aliéné par le travail qui délaisse sont instinct de survie pour la richesse. Aujourd’hui avec l’emprise de ce problème Les différentes sociétés se rassemblent et veulent que leurs voix qui exprime leur mécontentement face à leur gouvernement et face aux différents chefs mondiaux se fassent entendre

recherches météorologiques pour prévenir les risques de tempête ou de cyclones, l'instauration d'armes de pointe pour assurer sa défense, sont autant de preuves qui montrent que l'évolution de la réflexion humaine a permis d'assurer et d'améliorer la survie de l'homme. En faisant cependant un parallèle avec l'animal, force est de constater, que sans nul besoin de progrès scientifiques, ce dernier peut également anticiper certaines circonstances qui lui seraient néfastes : Les oiseaux migrateurs s'orientent

bien-être et à l’agrément de la vie”. Ces arts sont donc antérieurs à la philosophie, l’homme donnant la priorité au corps, ce qui est un instinct de survie. Le “on” qui “commença à rechercher une discipline de ce genre”, c’est-à-dire qui philosopha, correspond à une élite. Car les paysans et les moins fortunés doivent privilégier le corps afin d’assurer leur survie, ils n’ont donc ni le temps ne les moyens de se permettre de philosopher. “Il est donc évident que nous n’avons en vue, dans la philosophie

pense et, bientôt, refus de l'autre parce qu'il est.[...] L'intolérance n'est sans doute pas plus répandue qu'elle ne l'était jadis- au contraire même. Elle marque depuis toujours l'histoire de l'espèce. Elle s'apparente peut-être à cet instinct de possession et de sécurité qui pousse l'animal à défendre son territoire contre toute intrusion. Allant au-delà de l'esprit de conquête qui s'en prend aux biens, elle conduit à la domination, à l'extermination, car dès lors qu'il existe

défendre contre d'autres" c'est ce qui explique le regroupement d'individus. Pourtant, "pour se défendre" (terme important employé dans cet extrait), il faut qu'il y ait agression. Ainsi, le regroupement en société est avant tout la recherche de la survie et si elle est hiérarchisée c’est pour mener à bien la préservation des individus. Bergson souligne l’idée de séparation entre les hommes. On distingue ainsi deux types différents : ceux avec lesquels on vit, avec qui nous formons donc une société

mit de l’avant. Ce principe vise le plus grand bonheur de tous. Or, trois sur quatre ont préféré condamner Parker pour leurs survies sans toutefois y prendre plaisir. De ce fait, Mill serait pour le fait de tuer Parker pour nourrir les trois hommes. Cependant, ces hommes ne jouissaient d’aucun droit spécial qui autorisait ce meurtre. Ils ont donc écouté leurs instinct de survie, ce qu’ils les ont poussés à agir ainsi. Mill pensait que «la seule fin pour laquelle les hommes sont autorisés, individuellement

juger ce que bon lui semble mais alors il est d’autant plus libre qu’il ne se laisse pas commander par son instinct contrairement à l’animal. En effet, la culture permet à l’homme de réfléchir à ses actes et de ne pas agir sans penser en écoutant seulement son instinct comme l’animal qui est prisonnier de son instinct. On constate que l’animal n’est pas libre car il obéit seulement à son instinct et ne peut aller à l’encontre de ce dernier. Effectivement, il mange et tue s’il a faim, il fait le mort

La survie de l'homme dépend d'un équilibre de la satisfaction de ses besoins naturels et nécessaires Pour vivre il doit manger pour reconstituer l'énergie que son corps a dépensé et retrouve les différents nutriments qui sont indispensable à son corps mortel. Se nourrir lui est vital, comme tout être vivant engendré par la nature. Ainsi il paraît évident que c'est la nature de l'homme qui lui dicte ce besoin, manger est un besoin naturel que l'homme doit faire pour assurer la vie de son corps animal

est un loup pour l’homme. (Hobbes) L'homme est un Dieu pour l'homme. (Spinoza) Ce philosophe pense que l’homme, pour se faire reconnaître en tant que sujet libre, veut prouver son indépendance en montrant qu’il peut aller au-delà de son instinct de survie... cela amène nécessairement à des conflits, à des luttes. Hegel “Autrui n’est pas un objet qui s’analyse, mais un humain à rencontrer: ce n’est pas pour rien que les bourreaux nazis effaçaient le visage de leurs victimes.” Levinas Être