L Instinct De Survie

(kg)                      _______________    I.M.C. =                               Taille X Taille (m2) | B. /l’obésité au fil des années Augmentation chiffres Vision de plus en plus négative (richesse/ laideur) Il y a 50000 ans, notre instinct de survie nous poussait à manger dès que l’on en avait la possibilité. Plus tard au Moyen –Age l’obésité fut à la fois signe de richesse, de prestige et de bonne santé. Pour les hommes, une forte corpulence a pu représenter la puissance et la force, tant

Chapitre 1 Droit constitutionnel Théorie de l'état L'histoire permet une projection vers le future. Ainsi l'Homme peut etre considéré comme un animal culturel, effectivement, l'Homme tout comme l'animal possède cet instinct de survie qui lui confère cette agressivité en cas de danger... il existe chez l'Humain 2 types de cerveaux : féminin soit analytique masculin soit synthétique.

L’amour et le désir serait donc totalement différent puisque l’un répondrait un un instinct naturel et l’autre ne serait qu’une construction culturelle. En revanche, d’un point de vue plus philosophique, l’amour requiert une sagesse et une morale pour être pleinement raisonnables, succomber au désir nous permettrait de profiter du bonheur

un peu plus évolué que les autres ? Pour comprendre réellement cela il est nécéssaire de voir en quoi l'homme est un animal en s'attardant sur la communication et les caractéristiques du monde animal qu'ils partagent ainsi que sur l'instinct de survie et la reproduction présent en tout à chacun. Une fois peser le pour, il est impossible de conclure sans peser le contre, nous verrons donc en second lieu que l'homme n'est pas un animal à part entière du fait de sa conscience, de sa capacité à désirer

soi-même l’élu de notre cœur mais on ne fait qu’obéir à un instinct dicté par la nature pour trouver une partenaire qui serait apte à avoir des enfants , une simple créature de reproduction. Finalement d’après ce philosophe quelque peu pessimiste, on n’aime pas l’autre pour ce qu’il est mais parce qu’il est un objet qui nous permet de nous reproduire. Nous savons tous que l ’homme est naturellement égoïste, ce fameux et fichu reflexe de survie , celui de vouloir se protéger pour rester en vie. Il pense

pas seulement cela. C'est un ensemble de tout ce qui nous entoure, tout ce qui nous rend complet mais aussi tout ce qui nous détruit. Grâce à la puissance de la nature, l'homme a appris à la respecter. C'est son instinct d'admirer et de protéger sa beauté, mais c'est aussi son instinct de se protéger lui-même. Dans la guerre entre lui / 1 8Táňa Rundštuková et la nature qu'il combat depuis des siècles, il doit toujours choisir de se protéger lui-même plutôt que son ennemi qu'il adore. C'est la

comportements instinctifs fondamentaux et de l’expression des émotions et des motivations, assurant la protection de l’individu et la survie de l’espèce. C’est le domaine de l’instinct. En bref, il s’agit des trois fonctions primordiales qui sont : - vivre (motivations alimentaires) - survivre (en cas de menace, deux comportements opposés, combattre ou fuir - Instinct de sauvegarde ou de conservation). - se reproduire (sexualité) Anatomie du système limbique Au plan du développement phylogénétique

que vivant = soumis à l’enchainement mécanique des causes et des effets mais diffère des autres animaux en un point : doit tirer de lui-même tout ce qui dépasse ce mécanisme (comportement animal). Et là où animal dispose instinct pour réaliser ses fins propres (survie a moyen instinct chasse, cueillette…) Mais ne dispose pas de l‘instinct comme moyen de réaliser ses fins. Nature ne fait rien en vain et n’est pas prodigue dans emploi moyen pour atteindre ses buts. « il devait bien plutôt tirer tout de

la routine". L'animal pourrai inventer des choses comme le fait l'Homme, pour trouver plus facilement une proie ou bien pour se protéger, cependant il ne cherchera jamais à créer quelque chose qui ne lui sera pas utile dans sa survie, allant au delà de se que son instinct lui impose. L'auteur l'expose par "Enfermé dans les habitudes de l'espèce, il arrivera sans doute à élargir par son initiative individuelle; mais il n'échappe à l'automatise que pour un instant, juste le temps de créer un automatisme

faiblesse conséquente du contrôle émotionnel de chacun qui faisait de la violence non seulement une réponse reflexe à des situations de conflits permanents mais également qui constituait une réponse apparemment rationnelle à des problématiques de survie économiques et vitales. Pour Norbert Elias, il s’agit de démontrer comment peu à peu les individus ont été amené à maîtriser leurs pulsions et leurs impulsions, à abandonner leur l’obéissance aux traditions et à restreindre le champ de l’utilisation