L Instinct De Survie

critique à leur égard ? Sujet 3 : Faut-il opposer nature et culture ? Nous avons coutumes de distinguer l'ordre naturel et le cadre culturel. Dans le premier nous voyons s'exercer les forces physiques, les puissances biologiques et l'ensemble des instincts qui nous rappellent à la vie animale. Dans le second, nous nous engageons à vivre socialement en privilégiant les œuvres de l'esprit. À première vue, tout semble opposer nature et culture et celle-ci ne semble exister que grâce à la négation de celle-là

J'aperçois précisément les mêmes choses dans la machine humaine, avec cette différence que la Nature seule fait tout dans les opérations de la bête, au lieu que l'homme concourt aux siennes, en qualité d'agent libre. L'une choisit ou rejette par instinct, et l'autre par un acte de liberté ; ce qui fait que la bête ne peut s'écarter de la règle qui lui est prescrite, même quand il lui serait avantageux de le faire, et que l'homme s'en écarte souvent à son préjudice. C'est ainsi qu'un pigeon mourrait

dans le livre. On y voit aussi le nouvel état d’esprit des soldats. Au début de la guerre, il partait avec bonne humeur, des rêves pleins la tête, mais la guerre s’empressé de leur ôté leur innocence, leurs espoirs, pour laisser place à leur instinct de survie et à la souffrance. Il y a aussi le thème de la camaraderie. Paul Baümer fait partit d’une petite bande d’amis avec le temps ses amis devinrent sa raison de vivre. La solidarité et la fraternité régnait sur le front. Tous les soldats étaient

désormais plongé dans l’obscurité, son instinct le guida vers la salle commune d’où des bruits de vois émanaient. Quand les paysans réunis le virent apparaître, ils eurent, ébahis, le reflex d’imiter la réaction de Songwât, le soit disant médium du village qui était d’ailleurs celui qui lui avait précédemment attribué son surnom respectif. C’est alors que l’homme influant clama que la libération de l’enfant mènerait à un châtiment, détruisant ainsi les chances de survie du jeune captif qu’il méprisait

ceux-ci : « […] rien n’est su timide que l’homme dans l’état de Nature, et qu’il est toujours tremblant, et prêt à fuir au moindre bruit qui le frappe, au moindre mouvement qu’il aperçoit » (p.72). Car il fait rarement face à des malheurs dans laquelle sa survie serait provoquée. Ainsi, l’homme à l’état de nature n’a aucune raison de nuire à ses semblables comme le fait l’homme social. De plus, Rousseau souligne un désavantage de l’humain de nature, la perfectibilité étant la capacité de modifier ses comportements

elle est devenue une seconde nature de l’homme. Les Hommes ne sont pas des êtres à part dans la nature car comme les animaux ils n'ont pas d'instinct innée, ils doivent apprendre à se laver, à marcher, à communiquer… Mais plutôt un sentiment de survie car ils respirent ou encore savent qu'ils doivent se nourrir ou même dormir. L'homme doit affronter sa propre animalité, il est soumis constamment à des penchants animaux comme le souligne Kant dans son Traité de Pédagogie. On ne naît pas homme on

peu de vie, ils donnent l'image d'une souffrance, d'une privation pathétique et effrayante. III] Contre la mort, l'éloge de la vie a) L'instinct de survie Dans l'Odyssée, à l'omniprésence de la mort se superpose en contrepoint un hymne à la vie. Ulysse frôle sans cesse la mort, mais il la vainc toujours, animé d'un formidable instinct de survie. Même s'il est parfois désespéré au point de souhaiter la mort, le héros se reprend toujours et lutte pour survivre. La comparaison avec un poulpe qu'«

humaine. Celle-ci serait constituée de quatre éléments. Tout d’abord, « l’amour de soi », c’est-ce qui permettrait à l’homme de survivre. De fait, grâce à « l’amour de soi » l’homme développe un instinct de survie qui lui permet alors de se préserver et de se satisfaire en besoins primaires. Ce n’est pas un instinct violent, mais il peut le devenir par nécessité, en effet si l’homme peut parvenir à éviter les souffrances, il le fera au bénéfice du plaisir. De plus, la nature humaine est composée de la

 Les conséquences influences nos choix.  ­ Les choix des certains brimes la liberté de d’autres.  2) Rousseau : l’homme est libre de dire non à ses instincts contrairement aux animaux.  ­ L’homme n’est pas libre de choisir entre suivre ses instincts ou les négliger, il n’a simplement  pu d’instinct. À partir du moment où l’homme décide de repousser ces instincts (se nourrir par  exemple), il tend vers le mort.  3) Rousseau : l’homme qui vie en société échange sa liberté naturelle contre la liberté civil (tous 

entraient en conflit, de fait que personne n’en profitait vraiment → l’insécurité rendait la liberté insupportable! théorie de Hobbes (vision très pessimiste de l’homme, renforcé par la guerre en Angleterre): les hommes sont gouvernés par le seul instinct de conservation. Les hommes sont égaux, ce qui veut dire qu’ils ont les même désirs, les mêmes droits sur toute chose, et les mêmes moyens- par ruse ou par alliance- d’y parvenir. → c’est pourquoi cette égalité naturelle se transforme en rivalité