L Ironie Dans Le Texte

et ses pensées Discours direct (l.19) ou indirect libre (l.44-45) "pour lui" Les répétitions montrent son ORGUEIL et autosatisfaction > il ressent physiquement son succès Soleil : victoire totale, image radieuse de son avenir II. Ironie du texte * Les sentiments du personnage (l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l'émotion, le triomphe - presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l'émotion "balbutier" (l. 10) G.D retrouve vite ses esprits lorsqu'il voit Mme de

Plan pour une lecture analytique du texte D’Holbach, extrait de l’oeuvre Le Bon sens Il s’agit de montrer en quoi ce texte relève de l’apologue (reportez-vous à la définition) : ici, c’est un conte philosophique planté dans un décor oriental. I) Un récit plaisant (on s’attachera à l’analyse des procédés repris du conte traditionnel merveilleux, et plus généralement à tous les procédés destinés à séduire le lecteur) a) une structure narrative très simple - schéma narratif très simple qui s’apparente

Lecture analytique du chapitre I de Candide : exemple du travail d’analyse à mener sur un texte. A] ACTIVITES PRELIMINAIRES : QUEL TEXTE ? QUEL PARATEXTE ? → Il s’agit d’un extrait de Candide = conte philosophique i.e. un récit imaginaire qui s’inspire de la forme du conte pour transmettre des idées et des concepts à portée philosophique. On s’attend donc à retrouver les caractéristiques du conte (merveilleux, intemporalité, non réaliste). → Il s’agit d’un incipit qui répond à trois impératifs

parle d’une des périodes la plus sombre de la vie du poète (dépression), associe la beauté de son style d’écriture à la mélancolie Projet de lecture : comment Baudelaire transforme la boue de sa dépression en or poétique ? Plan du texte :· 1er mouv : montée de la crise (strophe 1 à 3)· 2ème mouv : éclatement de la crise (strophe 4)· 3ème mouv : victoire de la folie (strophe 5)Étude linéaire :1.· 3 1ère strophes = description Spleen = état morbide et dépressif ressenti par le poète·

L’esprit des lois de Montesquieu et le Nègre de Suriname de Voltaire sont tout deux des textes du 18e siècle attaquant le système esclavagiste de l’époque. Tant dis que le texte de Montesquieu prend des allures officielles et énonce les prétendues raisons d’adopter l’esclavage, Voltaire utilise le roman pour transmettre ses idées .Cet extrait provient en effet du livre Candide qui retrace l’histoire d’un jeune homme qui parcours le monde à la recherche de sa bien aimée .Dans cet extrait il rencontre

Il propose ainsi en neuf paragraphes bien séparés, neuf arguments. Cependant une lecture plus attentive permet de distinguer quelques vices de forme dans le raisonnement proposé. LECTURE ANNONCE DES AXES Puisqu'une lecture attentive du texte nous montre que Montesquieu veut, en fait, prendre à contre-pied la thèse esclavagiste, notre projet de lecture méthodique sera de montrer quelle stratégie il adopte pour atteindre son objectif. Nous le verrons en 2 axes : 1- Le passage = un réquisitoire

dans un projet philosophique, que Zadig n’est pas un conte pour amuser des proches. Voltaire met ainsi, dans cette ouverture, le narrataire en condition, et lui fait franchir un « seuil » nécessaire qui suscite l’intérêt et prépare l'approche du texte, en apportant les intentions de l’œuvre (Thème, caractéristiques, idées). Puis, nous montrerons ensuite, comment Voltaire se dissimule derrière la polyphonie de l’énonciation et comment par la rotation des points de vue, il s’y prend pour communiquer

* La Périphrase Remplacer un mot par un groupe de mots * Poétiser, ajouter des connotations Ex: Des ténebres où l’on dort. = la mort * L’Antiphrase Désigner une réalité par des termes manifestement contradictoires * Ironie. Ex: La Jeunesse arrive en vieillard. L’Eveillé, toujours baillant. * L’Anaphore Répeter un mot au début de phrase ou de vers. * Insiter Ex: Trouver des mots forts comme la folie Trouver des mots couleur de tous les

Texte 9 : Le Paresseux Le paresseux => paradoxe => sonnet => forme contraignante. Eloge de la paresse => éloge paradoxal de la paresse. Dodécasyllabes « alexandrins » => le Roman d’Alexandre (XIIème siècle) => en dodécasyllabes => écrit en langue romane (pas un roman). - conjonction de coordination « et » à la césure à l’hémistiche (v.1) - diérèse v.5 « soucier » + place à la césure => mise en valeur - diérèse v.13 - rimes embrassées v.1 et 4 [O.L.I] => rimes

dogmatisme chrétien qui conduit selon lui au meurtre et à la bêtise (champs lexical du crime à repérer dans le texte). Ces exemples sont orientés par l’anticléricalisme de l’auteur qui pense que la frontière est mince entre le mystique enthousiaste et le fanatique cruel. Ils démontrent que la religion monothéiste conduit nécessairement au fanatisme. 2) La justice : 2ème cible du texte • Ironie : formule paradoxale « tua pour l’amour de Dieu » + adverbe « saintement » à contre-emploi tout comme le