L Ode De Ronsard

Ronsard, Les Amours (1552-1555, 1578) I. Ronsard (1524-1585), « prince des poètes » → voir repères biographiques. SA vie et son œuvre : quelques jalons Celui qui va être surnommé «  prince des poètes  », a commencé sa vie d’adulte comme page de François 1er ; reçoit la tonsure (=devient clerc) en 1543, ce qui lui permet de vivre de bénéfices ecclésiastiques authentique

Période et représentants : La Pléiade est un groupe du 16e siècle (d'abord nommé « la Brigade ») de poètes rassemblés autour Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay et 5 autres poètes (Guillaume des Autels, Pontus de Tyard, Remy Belleau, Jean Dorat et Jean de la Péruse). Moyens : Joachim Du Bellay a invité les lettrés à écrire en français et a affirmé que cette langue est capable de tout exprimer. Pour cela, Le Pléiade a enrichi le lexique en réintroduisant des mots anciens et en créant des mots dérivés

Biographie de Pierre de Ronsard 1) : Ronsard, fils d'un chevalier, est né en septembre 1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme.     Il est d'abord mis au service de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir.     Le 6 mars 1543, il est tonsuré (rasé) au Mans. Des bénéfices

Du depuis cette fleur n'a point laissé mon âme Siméon-Guillaume de La Roque, né en 1551 près de Clermont-en-Beauvaisis et mort en 1611, est un poète baroque français. La poésie de Siméon-Guillaume de La Roque combine l'influence de Ronsard et de Desportes, non sans puiser directement à diverses sources italiennes. Elle influence Malherbe, dont l'auteur est l'ami. Par le choix de ses thèmes et de ses rythmes, son œuvre se trouve ainsi au carrefour de tous les destins poétiques. Dans

povre esprit Qui lamente et soupire Et en pleurant tâche A vous faire rire. Boileau : « Imitez de Marot l´élégant badinage (pajkos tréfálkozás) IV. La Pléïade 1. 1549 : Deffense et illustration de la langue française (Joachim du Bellay et Ronsard). Ce sera le manifeste du groupe. Ils n´ont rien inventé de neuf, mais parachevé un processus (le travail des rhétoriqueurs, de Marot). Ils veulent : - réhabiliter le français (contre les Anciens, grec et latin) « qu´on réserve aux ballades, rondeaux

s’adresse à une jeune fille : Mignonne chez RONSARD, fillette ou petite chez QUENEAU. Mignonne est interpellée dans chaque strophe, fillette fillette constitue une sorte de refrain. Ces dénominations soulignent la jeunesse de la destinataire. RONSARD utilise un terme galant évoquant un être gracieux ; en revanche, QUENEAU emploie un terme plus populaire et un peu condescendant. 1.2. Texte 1 - Étude de l’organisation du poème et de l’analogie dominante (2 pts) Cette ode propose une expérience dont une leçon

Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose Pierre de Ronsard, auteur de la Pléiade comme son ami Du Bellay qui prennent modèle sur l’antiquité pour faire de la langue française une langue noble. La France n’était pas unifiée du point de vue de la langue : langue d’oc, langue d’oïl. La seule langue véritablement noble était la langue latine, et les poètes de la renaissance essayent de donner aux français la même noblesse que le latin car la France était considérée comme langue vernaculaire

Partie 1 : le poète est semblable à l'humanité ordinaire - le poète homme ordinaire : idée : poète être humain développement : soumis au destin des êtres ordinaires : vie, mort, souffrance exemple : Ronsard décrit sa mort "Je n'ai plus que les os…" dans Derniers vers au 16° siècle - le poète témoin de son temps : idée le poète n'est pas hors du monde développement et donc s'insère dans la société des humains, il ne parle pas que de lui exemple : Apollinaire dans "Zone" au 20° S

littéraire (1549-1560). La Pléiade est un groupe de poètes rassemblés autour de Pierre de Ronsard : Joachim du Bellay, Jean-Antoine de Baïf, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard, Rémy Belleau, Jacques Pelletier du Mans, Etienne Jodelle, ou encore Jean de la Péruse ou Jean Dorat. Le nom de Pléiade est une appellation commode qui cache mal la fragilité du groupe. Ce groupe, était anciennement nommé la Brigade. Ronsard, qui a voyagé en Italie rapporte comme d’autres la nostalgie des académies. La Brigade

la rose et le poète Trois grands recueils de trois femmes différentes. La poésie est une sorte d’offrande amoureuse, elle immortalise. (Cf : pléiade*1) La poésie était un art subventionné par les princes, les rois et les monarques. Texte premier : Ode à Cassandre. Composition : Stratégie en trois temps. 3 sizains : octosyllabes, plates puis embrassées. Strophe 1 : invitation galante « mignonne », « allons voir ». Première évocation de la rose (premier temps de l’analogie*2) . Strophe 2 : constatation