L'Odyssée d'Homer

partie suite à des questions de lecteurs. Un ami et interprète rwandais lui a donné l’idée de rencontrer des prisonniers condamnés à de longues peines, qui parleraient plus volontiers que des personnes en liberté et l’a mis en contact avec un groupe d’hommes qu’il connaissait avant le génocide. Hatzfeld les a rencontrés en prison en 2001 et 2002. Ce livre est déstabilisant dans la mesure où il est difficile d’écouter la voix du bourreau. Néanmoins, il permet au lecteur de se forger sa propre opinion

trace de cette pensée est dans L’Eliade et Odyssée qu’on attribue à Homère. On ne sait mm pas si Homère a existé. On pense que ces champs là sont des poèmes datant du 9ème siècle ou 8ème avt JC. Eliade (moment de la guerre de Troie) antérieur à l’Odyssée (récit de paix, retour l’Ulysse vers Pénélope) : ces récits vont nous donner quelques éléments dont la manière dont les grecs concevaient l’éducation : ( C’est le rôle des relations entre générations et en particulier le rôle des vieillards qui

il est l’auteur de représentations non seulement réussies mais encore de forme dramatique) de même aussi il a esquissé les traits principaux de la comédie, en donnant forme dramatique non à un blâme mais au comique. En effet ce que l’Iliade et le l’Odyssée sont aux tragédies, le Margitès l’est aux comédies.17 Comme nous pouvons le remarquer, Aristote a de la grande admiration pour Homère. Car, il a su s’imposer dans le domaine de l’art en son temps. Ses imitations sont non seulement réussies

d’adapter le texte du poème homérique à des lectures publiques. En travaillant sur la traduction de Maria Grazia Ciani, il assemble le matériel original dans un concentré de 21 voix (la dernière est celle de Demokos, un aède qui, sur la foi de l’Odyssée et d’autres sources, raconte la fin de Troie) ; Les personnages homériques sont appellés chacun à narrer sa propre histoire à la première personne, tandis que tous les dieux sont écartés de la scène. L’écrivain est presque toujours fidèle au texte

siècle avant notre ère et s’enrichit au fur et à mesure. Tantôt il se développe en épopée, tantôt il appuie ou explique les croyances et les rites de la religion. Pour un Grec, le mythe ne connaît pas de frontière. Les premières épopées l'Illiade et l'Odyssée que faisait Homère sont déjà des mythes. Donc, jusqu’à la fin, elle couvre une très large (et imprécise) période du XIIe siècle av. J.-C. au IVe siècle av. J.-C. On mettait de l’ordre dans les mythes. On les divisait en trois parties : les grands

aspect totalitaire. Le héros littéraire est associé aux anarchistes. Il ose mais reste tributaire à une éthique. C’est donc un gentilhomme de fortune. Avec la civilisation, l’aventure se trouve ailleurs, comme chez Jules Verne où c’est la mer. 2001, L’Odyssée de l’espace, 1968. C’est un film inspiré de Karl May (1842-1912). Karl May est un auteur de roman d’aventures et des essais sur l’aventure. Dans l’un de ses essais, il y a une vision historique de l’aventure. Il y a une idée chevaleresque de l’aventure :

exemple Picasso. Aujourd’hui 2 options à l’ancienne le beau doit être plaisant ou alors que la laideur est aussi un sujet d’art, aujourd’hui il y a plusieurs points de fuite, c’est une rupture par rapport à l’Antiquité. Dans « l’illyade et l’odyssée » on peut apprendre à donner une définition à ce que l’on appréhende et il faut rentrer dans la pensée profonde d’un être humain : l’art c’est l’art d’interpréter. Mais l’interprétation n’est pas une création, il faut connaître l’élément premier

que signe d’un passage pour signifier que la mort a pris les individus et donc du même temps les rappeler. * Il use d’une dramatisation de la mise en scène pour mettre en branle son évocation et amener a l’idée d’individualité plus qu’a l’idée d’homme et femme du passé, on passe d’une vague empreinte , a une empreinte identitaire il n’y a plus une masse grouillante de mort, mais une multitude d’être qui sont nos égaux par leurs unicité et qui sont disparus. * Ce qui est intéressant dans le

rationnel du non-rationnel, le politique du non-politique, l'humain du non-humain. Descartes reprend cette idée que les animaux sont sans langage ni raison : Le langage. C. Froitzheim. Page4 « C'est une chose bien remarquable, qu'il n'y a point d'hommes si hébétés et si stupides, sans en excepter même les insensés, qu'ils ne soient capables d'arranger ensemble diverses paroles, et d'en composer un discours par lequel ils fassent entendre leurs pensées; et qu'au contraire, il n'y a point d'autre

les lois de la nature. En revanche sans Balzac, sans Homer, nous n'aurions jamais eu leur œuvres, ni la comédie humaine, ni l'odyssée. Même si Kant professe une véritable admiration a l'égard de newton, il considère toute fois que l'on peut a force de travail expliquer et comprendre les lois de newton. En revanche on ne peut pas expliquer la beauté des œuvre d'Homer. Et Homer ne peut pas d'avantage transmettre son génie poétique aux autres hommes, car il ignore d'où lui vienne ses idées, pleine