L Univers Narratif Du L Etranger

que par les seules transformations sociales ou politiques que l'auteur désire critiquer. Rapprocher l'univers dystopique du nôtre, c'est un moyen pour l'auteur de rendre sa dénonciation plus efficace6. Il est donc naturellement amené à situer son univers dystopique dans un futur plus ou moins proche et à en exclure toute dimension fantastique qui viendrait affaiblir son argumentation. Anticipation, mouvement rationnel de l'Histoire : ces caractéristiques rapprochent naturellement le projet dystopique

d’un des personnages présents dans un des textes du corpus, etc.) ; - monologue délibératif ; dialogue (y compris théâtral) ; discours devant une assemblée ; - récit à visée argumentative (fable, apologue...). Mais, lorsqu’elle concerne le genre narratif, elle peut s’appuyer sur des consignes impliquant les transformations suivantes : - des transpositions : changements de genre, de registre, ou de point de vue ; - ou des amplifications : insertion d’une description ou d’un dialogue dans un récit

une bibliographie plus complète, à la base de données bibliographique tenue depuis vingt ans elle aussi, mais disponible depuis cette année seulement sur Internet, à l’adresse www.limag.com. n Le contexte La relation au réel Le lecteur étranger à la réalité maghrébine qui ouvre pour la première fois un roman algérien y cherche le plus souvent un document sur une société qu'il ne connaît pas. Et quand ce roman a été comme Nedjma publié pendant la guerre d'Algérie, en 1956, il y cherche aussi

désirera une bibliographie plus complète, à la base de données bibliographique tenue depuis vingt ans elle aussi, mais disponible depuis cette année seulement sur Internet, à l’adresse www.limag.com. n Le contexte La relation au réel Le lecteur étranger à la réalité maghrébine qui ouvre pour la première fois un roman algérien y cherche le plus souvent un document sur une société qu'il ne connaît pas. Et quand ce roman a été comme Nedjma publié pendant la guerre d'Algérie, en 1956, il y cherche aussi

tout le monde mais semble finalement très seuls : seuls sur leurs sièges, ils oublient totalement leur environnement pour se focaliser entièrement sur leur écran, leur moyen de communication. Humaine du prénom de « Marie » qui découvre tout son univers lorsque Wall-E désenclanche son moyen de communication (son écran). « Oh mais je ne savais pas que nous avions une piscine » alors qu’elle vient la probablement tous les jours mais que son esprit est donné à 100% dans la nourriture et son écran pour

de son mari, se sentant prise au piège de cet univers provincial étouffant et c'est presque par hasard que lui vient l'idée d'empoisonner son mari. Il n'en mourra pas, Thérèse bénéficiera d'un non-lieu mais sera condamnée par la famille à sa chambre et au silence. Aurélien, le personnage éponyme du roman de Louis Aragon, mène lui, une existence oisive de rentier dans la période de l'entre-deux-guerres. Sans ambition et sans identité dans cet univers parisien où il se sent inutile, il tombe dans « le

y passait la journée entière à bâiller, à attendre l'heure de la sortie. Il n'était plus qu'un employé comme les autres, abruti et ennuyé, ayant la tête vide » (ch. XXIV).  Comme Laurent est tout de même un personnage principal, d'après le code narratif du genre et conformément au projet scientifique de l'auteur, il faut bien qu'il acquière une singularité et une originalité susceptibles de maintenir l'attention du lecteur. Le personnage de Thérèse, plus complexe, plus riche en suggestions diverses

de son mari, se sentant prise au piège de cet univers provincial étouffant et c'est presque par hasard que lui vient l'idée d'empoisonner son mari. Il n'en mourra pas, Thérèse bénéficiera d'un non-lieu mais sera condamnée par la famille à sa chambre et au silence. Aurélien, le personnage éponyme du roman de Louis Aragon, mène lui, une existence oisive de rentier dans la période de l'entre-deux-guerres. Sans ambition et sans identité dans cet univers parisien où il se sent inutile, il tombe dans « le

de son mari, se sentant prise au piège de cet univers provincial étouffant et c'est presque par hasard que lui vient l'idée d'empoisonner son mari. Il n'en mourra pas, Thérèse bénéficiera d'un non-lieu mais sera condamnée par la famille à sa chambre et au silence. Aurélien, le personnage éponyme du roman de Louis Aragon, mène lui, une existence oisive de rentier dans la période de l'entre-deux-guerres. Sans ambition et sans identité dans cet univers parisien où il se sent inutile, il tombe dans «

narrateur et son ami Luo, sont exilés dans un village de montagne pour y être « rééduqués ». Les deux adolescents mènent une vie dure mais s’évadent dans la lecture de livres interdits : ces romans leur ouvrent la porte de la fille d’un tailleur, et d’un univers jusqu’alors insoupçonné… Récompensé par de nombreux prix, ce premier roman de Dai Sijie est un formidable hommage au pouvoir de la littérature. le ir ISBN 978-2-7011-5184-7 224 pages - 5,50 € LIVRET PÉDAGOGIQUE Arrêt sur lecture 1 p. 41-45