L Univers Narratif Du L Etranger

racontant les origines d’une civilisation, d’une culture ; l’Epopée). Ils sont de deux langues différentes, respectivement la langue d’oc et la langue d’oïl (manière de dire « oui »). ( La chanson de gestes C’est un genre explicite, c’est un poème (narratif) chanté avec un accompagnement musical, c’est un poème diffusé exclusivement de façon orale. Les interprètes, les jongleurs, chantent ces poèmes, ils s’appellent aussi les amuseurs de cours. « Geste » vient du latin gesta qui désignent les hauts

1 Dossier pédagogique – Un sale livre de Frank Andriat – Céline Brijs/Mijade Dossier pédagogique UN SALE LIVRE FRANK ANDRIAT Présentation Intérêt pédagogique & présentation de l’œuvre Un sale livre peut-il être beau ? Voilà la question que pose Frank Andriat au travers de cette lecture. Au rayon des injures, « sale » est employé pour renforcer une insulte : sale con, sale flic, sale menteur mais aussi sale Juif, sale nègre, sale Arabe, etc. Mais pourquoi sale livre ? Pourquoi un

pour lui ces textes se caractérisent "non pas par une absence de traits génériques, mais au contraire par leur multiplicité extrême."3 C'est le cas de Modiano qui joue justement sur la multiplicité des traits génériques. Lors de la création de son univers romanesque il emprunte à la fois a plusieurs genres littéraires et entretient l'illusion captieuse du roman policier, du roman historique, du "nouveau" roman, d'une autobiographie, et même du roman classique (sur des petites séquences). De nombreux

Laure Himy-Piéri Université de Caen Basse-Normandie lhimy@wanadoo.fr Résumé : Cet article se propose de montrer comment l’écriture de Duras utilise à contre temps noms propres, pronoms anaphoriques et système temporel, renouvelant ainsi le mode narratif, et les voies tracées d’accès au sens. Abstract : We here try to establish how, by an unusual use of proper names, anaphoric pronouns, and temporal system, Duras’s writing works on renewing narrative modes, and the trodden paths to make meaning appear

Le monde du travail en littérature Objet de ce cours : réfléchir à la notion du travail et à sa représentation. Pour étayer cette réflexion, nous nous appuierons sur une série de textes narratifs, pour la plupart des romans, depuis la deuxième moitié du XIXème siècle jusqu’à nos jours. A travers ce panorama, nous essayerons de nous faire une idée à la fois analytique et synthétique sur le monde du travail. Le contrôle : une dizaine de questions sur les textes. Introduction : Le travail a toujours

. . . . . . . . . . . 92 ¾ Les questions de cours 97 Les tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les corrigés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ½¾ Les annales corrigées Le discours narratif 139 141 ½ ½ ½ ¼ ½ ½ ½ Sujet 1 • Texte d’Arthur Ténor (séries tech. et prof., juin 2007) . . Sujet 2 • Texte de Victor Hugo (série collège, juin 2007) . . . . . Sujet 3 • Texte de Michel Piquemal (série collège, juin 2007) . . . Sujet 4 •

puis ses plans au filtre bleu (pour renforcer cette impression d'une mort qui plane).En gros: Julien semblerait souffrir d'un corps qui n'est déjà plus le sien. Plutôt bizarre dans l'immédiat. Nous ne pouvons nier que l'acteur a un rapport assez étrange avec ses mains et son corps. Dans le plan où il se met en garde, avec en arrière plan la statue divine du club de boxe, Julien est dans la répétition du souvenir et du passé. Il est présenté dans le film comme un "perdant" incapable de se venger,

quotidien comme dans le texte littéraire, met en jeu des discours largement socialisés. Étude comparée des deux récits : Médical et Gastronomique Quels sont les points communs et les différences entre ces deux textes ? – Même type de texte : narratif. L’écoulement du temps est souligné par des formes verbales ; on demandera de les relever : « Après, rapidement, plus tard, lorsque, soudain ». – Même intrigue en deux parties : rencontre dans l’autobus, puis épisode final. – Mêmes indices spéciaux

concentre tous les fantasmes masculins de l’époque, à savoir le harem du sultan ; ensuite, il ne manque pas d’insister sur la séparation le rendant invisible aux yeux des femmes, et vis versa, réanimant ainsi le caractère mystérieux de ce peuple « étrange » ; enfin, il insinue clairement l’immaturité des femmes en question ainsi que leur manque de culture oubliant, au passage, de préciser que le public parisien eut des réactions aujourd’hui tout à fait aussi risibles, voire davantage, quelques années

« Walt Disney n’était pas seulement un artiste et un homme d’affaires génial, c’était aussi un visionnaire, habité par l’ambition étrange et démesurée de créer de toutes pièces un “royaume magique” qui porterait son nom. » Yves Eudes, « La culture “Disney” à la conquête d’un parc tremplin en Europe », in : Le Monde diplomatique, février 1988, p. 26. Merci à monsieur Bertrand Ferrier pour ses précieux conseils et ses relectures assidues. 2 SOMMAIRE Introduction…………………………………………………………………………………