L Univers Narratif Du L Etranger

PLANS Voltaire est le plus grand représentant du siècle des Lumières, par son esprit caustique et contestataire. Il pratique tous les genres , le théâtre, la poésie, , toutes les formes de l'essai, et le genre narratif, en particulier dans ses contes philosophiques, Zadig, l'Ingénuou Candide, paru en 1758. Ces courts récits lui permettent d'aborder les sujets brûlants de la critique sociale et politique de son temps, sous une forme apparemment anodine et amusante. Candidemet en scène un personnage

n’avoir rien dit Le dialogue final Banalité des propos Retour à la vie qui reprend le dessus (émotion passagère, " convenable " ?) Sans excuse • Pierre (essentiellement par le regard de Mme R.) M.Pierre est à l’arrière C’est Beausire, un " étranger " qui le voit Déjà oublié ? A l’arrière tout seul, bien en vue + tache imperceptible Indications de Beausire + accumulation et enfin double sens (tache) Solitude mise en évidence/ paradoxe, c’est lui qu’on montre : l’exilé innocent. On pense

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

torture non seulement lois et conventions littéraires mais également son récit lui-même. Nedjma est une œuvre hybride qui déconstruit le genre romanesque, rompant avec ses lois et conventions. En tant que genre institué, il est castré : le schéma narratif est bouleversé (les situations initiale et finale n’étant pas clairement définies, notamment : les repères chronologiques sont brouillés et la lecture n’est pas motivée par la fin comme dans les canons littéraires), le récit amputé : « j’avais à

aussi vrais que faux ce qui nous amène à porter une vision différente sur ce texte. De plus, on s’intéressera au fait que l’angoisse se manifeste à travers les yeux du personnage. En effet, les preuves qui nous amènent à penser qu’il est dans un univers dangereux, n’en seraient pas vraiment si nous ne voyions pas tout cela par l’intermédiaire de la vision de l’homme. Nous analyserons comment l’auteur parvient à faire ressentir l’effet d’angoisse à l’aide des descriptions de la nature et de la vision

descendre en flocons drus et pressés" comme à la fin l279 "sur la neige") et relate un fait étrange remontant au passé. La blonde Edwige attend un enfant de son époux, le comte Lodbrog, qui a promis de décorer somptueusement l’église de Saint-Euthbert si elle lui donne un fils. Cependant la jeune femme se lamente (l 19) : « un terrible secret pèse sur son ame." En effet, quelques mois auparavant, un bel étranger, qui disait venir du fond de la Boheme, a demandé l’hospitalité au chateau, par une nuit

maghrébine[1]. La littérature maghrébine d’expression française est évidemment liée historiquement à l’occupation française au Maghreb, faite par des écrivains qui ont été par la suite forcés de quitter leurs pays pour se retrouver dans un pays étranger avec une culture totalement différente de celle d’origine. Cela a crée un sentiment pénible et douloureux d’une identité oubliée. Ce sentiment les a poussés à produire une écriture, dont l’errance et l’exil semblent être les thèmes de prédilection

répondre à cette question, nous prenons comme exemple la nouvelle « Nocturnes ou pour l’amour d’Allah ! » (1986 : 37-56 en français ; 63-80 en arabe). Nous en dégageons la trame événementielle, les personnages, le cadre spatio-temporel, le mouvement narratif et les éléments diégétiques, éléments qui ne changent pas d’une langue à l’autre. Il s’agit d’un pauvre mendiant qui a quitté depuis longtemps sa famille pour la capitale dans le but de chercher du travail. Il passe tout son temps à errer dans les

BERGERAC,  Les Etats et Empires du soleil, 1662. Ici ce texte est fantaisiste et cocasse. Critique et satire d‘un monde imaginaire où les habitants civilisés sont des oiseaux. Ils se moquent de l’homme qui n’est pas comme eux, qui a des comportements étranges à leurs yeux (comme prier à genoux). Celui-ci est accusé de cruauté envers une perdrix qu’il a blessée en lui tirant dessus. Jugé par une assemblée d’oiseaux, l’avocat de l’accusation représentant la perdrix, critique le genre humain avec agressivité

narrateur, qui n’est pas un personnage, intervient fréquemment dans la narration pour commenter cette histoire étrange aux allures de conte merveilleux. Le jeune comte Oluf subit depuis toujours la malédiction de « l’étoile double » sous laquelle il est né. Il a été frappé de cette malédiction suite à la visite, au château de ses parents, quelques mois avant sa naissance, d’un bel étranger aux yeux noirs qui a envouté sa mère par ses chants de bohémien. Oluf manifeste depuis sa naissance un tempérament