L école Marxiste

lors du congrès de Genève, les représentants du courant mutuelliste de Tolain avaient présenté un mémoire dans lequel ils prônaient l'apolitisme et condamnaient les grèves. Mais dès le congrès de Lausanne en septembre 1867, sous l'influence des marxistes venus en nombre, c'est le principe selon lequel « l'émancipation sociale des travailleurs passe par leur émancipation politique » qui triomphe et qui précise que celle-ci « doit être l'œuvre des travailleurs eux-mêmes », reposant ainsi le dogme de

terriens et de la conversion de l'Angleterre au libre-échange dont Ricardo avec la loi des avantages comparatifs est l'un des grands théoriciens. À la fin de la tradition classique, John Stuart Mill se distingue des économistes antérieurs de cette école sur la question de la redistribution des revenus produits par le marché. Il attribue deux rôles au marché : une capacité à répartir des ressources et une capacité à répartir les revenus. Si le marché est efficace dans l'allocation des ressources, il

apparaissent pour essayer d’expliquer l’histoire du monde * Economie : L’école qui met l’accent sur l’économie. Tel type d’économie donne tel type de société tel type de société explique tel type d’économie. L’école Marxiste. * Race : L’école des races. A partir de Darwin tout une école qui est apparu pour expliquer le fondement du monde et de ces êtres et leur économie. Delà nait le nazisme. Selon eux la civilisation a été faite par la race supérieure. * Géographie, espace : L’école de la géographie

profité du soutien de l’URSS, du Comecon et aussi de la Chine. C’est un parcours sans faute de la Corée du Nord jusqu’à la fin des années 70. Le PNB de la Corée du Nord est supérieur à celui de la Corée du Sud. Dans les pays européens où le courant marxiste est en vogue, Kim Il-Sung, le leader nordcoréen, était vu très favorablement. Pour la France, jusqu’au début des années 80, les relations avec la Corée du Sud n’étaient pas très bonnes, et beaucoup d’hommes politiques soutenaient la Corée du Nord

fondations pour bâtir l’économie politique à savoir le mercantilisme. a)Enrichir l’Etat par le commerce :Le mercantilisme (1450-1750) Quelques mercantilistes : BODIN (1530-1596), COLBERT (1619-1683)MUN (1571-1641). Ce n’est pas véritablement une école de pensée, pas de structuration mais apport de différents auteurs d’origines diverses.. Ce qui réunit ces penseurs c’est surtout la logique d’un jeu à somme nulle autrement dit ce qu’un pays , une économie peut gagner à travers le commerce se fait

internationales • Approches libérales o École anglaise o Idéalisme o Libéralisme o Néolibéralisme o Fonctionnalisme o Néofonctionnalisme o Paix démocratique • Approches réalistes o Réalisme et Néoréalisme ▪ Réalisme coopératif ▪ Réalisme défensif ▪ Réalisme offensif ▪ Réalisme étato-centré • Approches marxistes o Marxisme o Néo-marxisme

réalistes d'idéaliste) | |2.1.2 Le réalisme | |2.1.3 École anglaise | |2.1.4 Le constructivisme

contraire aux économistes classiques qui faisaient du profit la contrepartie des efforts productifs (capital et travail) de l'entrepreneur, alors qu'elle est plutôt du ressort du chef d'entreprise. Cette conception est également contraire à celle, marxiste, qui place l'origine du profit dans la confiscation de la plus-value, c'est-à-dire l'appropriation d'une partie du fruit du travail des salariés par le rentier-capitaliste. Jean Delignières est bien un entrepreneur au sens donné par Joseph Schumpeter

Le deuxième Lamennais : Le défenseur de la liberté Il défend aussi la souveraineté populaire. Il défend la liberté de conscience et s’oppose donc au budget des cultes. Il défend la liberté d’enseignement : Il est pour la création d’une école privée. (Ecole au sens d’établissement non soumit au contrôle de l’Eglise) Il défend la liberté de la presse, d’association et la liberté des communes et provinces. Il défend la souveraineté du peuple : Le peuple a pris la place du monarque. S’investit

l’expropriation des moyens de production et l’instauration d’une société sans classe. L’anarchisme partage le même idéal révolutionnaire mais refuse toute forme d’autorité que ce soit celle de l’Etat bourgeois ou de la dictature du prolétariat. Marxistes et anarchistes, devant la nécessité d’unir le mouvement ouvrier pour une révolution mondiale, fondent la première Internationale des Travailleurs à Londres en 1864, c’est l’Association Internationale des Travailleurs (A.I.T.). Mais le marxisme n’est