L édit De Caracalla Est Il Dans La Continuité Des Politiques Antérieures Où Est Il Une Mesure Révolutionnaire Pour L Empire

Invectiva contra eum qui maledixit Italie, « Quid enim alius omnis historia, quam romana laus ? ». Notre modèle politique reste celui de la démocratie athénienne et pour notre monde occidental un modèle absolu, indépassable. Ainsi, dans Démocratie ancienne et moderne, M.I. Finley écrit : « ce sont les Grecs, après tout, qui ont découvert non seulement la démocratie, mais aussi le politique, l’art de parvenir à des décisions par la discussion et d’obéir à ces décisions comme condition nécessaire à une

terme a servi à désigner un régime politique qui a gouverné Rome pendant un temps : la République. On y découvre que la chose publique est distincte des gouvernants. L’Etat, ce n’est pas la population, ni le gouvernant. La chose publique est donc au-dessus des gouvernants et en est indépendante. Elle n’appartient qu’au peuple de Rome. Le passage de la République à l’Empire n’est pas une condamnation de la République, mais parce que l’ancienne organisation politique ne pouvait plus fonctionner sur

ancien : Égypte, Mésopotamie, Israël § 2. La Grèce Section 2. Rome et le droit romain § 1. L’ancien droit romain (du 8e s. au milieu du 2e s. av. J.-C.) § 2. Le droit classique (milieu du 2e s. av. J.-C. – fin du 3e s. ap.) § 3. Le droit tardif du Bas-Empire (fin du 3e s. – fin du 6e) Section 3. De la Gaule à la France… § 1. La romanisation : la Gaule romaine § 2. La christianisation : la Gaule chrétienne § 3. Les “Grandes invasions” : la Gaule “barbare” Chapitre 2. Le premier Moyen Âge (5e-10e siècles)

institutions 97 Section I. La Cité grecque 97 Paragraphe 1. L’invention de la Cité et du citoyen 97 Paragraphe 2. La constitution ou politeia et les institutions de la Cité 98 Paragraphe 3. La pensée politique et juridique 100 Section II. Rome 108 Paragraphe 1. La royauté romaine ( 753 – 509 av. J.-C. ) 108 Paragraphe 2. La Res publica ( 509 – 27 av. J.-C. ) 111 Paragraphe 3. L’empire ( 27 av.-565 ap. J.-C. )

pas ". Ce qu'il faut comprendre de cette citation c'est tout d'abord que le code est l'oeuvre de quelques uns mais qu'ils n'ont rien inventé, ils se sont inspirés du droit du passé (c'est à dire du droit qui s'appliqué avant 1789 et du droit révolutionnaire). Ce qu'il faut ensuite comprendre c'est que les données, les règles, les principes etc. ne sont pas immuables. Laboulaye, " Toujours dans le droit comme dans la vie, on sent que le présent à ses racines dans le passé ". Ce qu'il faut comprendre

des méthodes spécifiques. On se focalisera sur les faits politiques. Nous allons retracer l’évolution des origines des institutions. Institution = ensemble des règles crées par le droit. On se limitera aux constitutions dites publiques (c.à.d. les institutions politiques). Comment nait un état ? Il faut voir comment se sont élaborées les structures politiques mais aussi l’étendue et les prérogatives de ces structures politiques (c.à.d. examiner les administrations juridiques et administratives

HISTOIRE DES INSTITUTIONS POLITIQUES ET SOCIALES DE L’ANTIQUITE Manuels : - Jean Gaudemet, Institutions de l’Antiquité (surtout pour les institutions impériales romaines) chez Montchrestien - Michel Humbert, Institutions politiques et sociales de l’Antiquité, précis Dalloz - Dictionnaire de l’Antiquité aux PUF Adresse e-mail : hipsassas@hotmail.fr Partie 1 : Les institutions grecques L’histoire grecque remonte au 20ème s. avant notre ère. Le premier foyer de civilisation

ou encore Montpellier gagnent en importance. En 1328, Paris compte déjà 200 000 foyers. La royauté française affiche au grand jour ces désirs de souveraineté. Depuis 1316, les derniers Capétiens directs et leurs successeurs enterrent la féodalité politique . Ils organisent une administration performante, une justice royale capable de gérer le royaume entier. Sous le règne de Philippe VI de Valois (1328-1350), le roi dispose ainsi d'une Cour de justice spécialisée, installée à Paris, qui se nomme le

2.a. Bibliographie générale Aymard A. & Auboyer J., Rome et son empire, Paris, 1962. (FA 260 A5 AYM) Chevallier R., Les voies romaines, Paris 1972. (FA 260 A3 CHE) Chouquer G. & Favory F., Les paysages de l’Antiquité. Terres et cadastres de l’Occident romain (IVe s. av. J.C./IIIe s. ap. J.C.), Paris, 1991. (FA 260 A3 CHO) Cornell T. & Matthews J., Atlas du monde romain, Paris, 1984. (FA 260 A3 COR) Cunliffe, B., Rome and her Empire, Rome, 1978. De Vos A. & M., Pompei, Ercolano, Stabia (Guide Archeologiche

ou encore l’art de « rendre à chacun le sien ». Aujourd’hui, plutôt qu’un art, le droit est volontiers considéré comme une science : on parle des « sciences juridiques » (au pluriel !), voire des « sciences juridiques et politiques ». Pourtant le droit, pas plus que la politique, n’est une science exacte : les mêmes causes n’y produisent pas toujours les mêmes effets. Un art, donc, mais lequel ? Celui du législateur qui « porte » la loi ? Celui du juge qui « dit » le droit ? Celui des professionnels