L état Stationnaire Chez Ricardo

les techniques d’économétrie (statistique). La macroéconomie entre dans le cadre des politiques économiques, il y a donc une difficulté à s’autonomiser du cadre politique. 4 grands thèmes sont abordés en macroéconomie : * la relation Marché / Etat * le lien Emploi / Chômage / Salaire * le Rôle de la monnaie * le débat Libre échange / Protectionnisme Histoire de la pensée économique : Les courants passés servent aux débats actuels, ces pensées ne sont en aucun cas « dépassées »

sont les références des monnaies. Les mercantilistes Le mercantilisme est un courant de précurseurs qui date du début du XVIeme siècle jusqu’aux années 1750. On est donc dans le contexte de la création des bases des Etats modernes avec un état centralisé mis en place avec le pouvoir royal. Ce pouvoir est à la recherche de moyens pour pouvoir asseoir sa puissance étatique, l’économie est ainsi instrumentalisé pour atteindre ce but. Ainsi, des questions sur l’économie et la richesse se

produire. Pour Smith, seul le travail est productif (et non la terre comme chez les physiocrates). Ce principe est issu d’une réponse à la question centrale : d’où vient la richesse, point de départ de l’analyse de Smith. Il définit la richesse comme les « choses nécessaires à la vie ». C’est le travail qui appréhende la richesse d’une nation. Dès lors, comment augmenter la richesse ? Par la division du travail, concept clé chez Smith. Car la DT permet d’augmenter le rendement du travail (on dirait la

la constitution du capital fixe. De plus, Ricardo distingue les biens reproductibles des non-reproductibles. La valeur d'échange de ces derniers dépend de leur rareté. Considérer le travail comme source unique de la valeur conduira plus tard Karl Marx, dans sa théorie de la lutte des classes, à considérer le profit des capitalistes comme étant un résultat de l'exploitation de la force de travail des prolétaires. Marx cite d'ailleurs fréquemment Ricardo dans Le Capital[2] et reprendra la notion

de l’effet King-Davement 12 B. Un produit net suffisant 13 C. Convergence d’intérêts 13 3. Conclusion 13 CHAPITRE 3 : LA CONTRIBUTION FONDATRICE, SMITH ET LA SOCIETE MARCHANDE SECTION 1 : DIVISION DU TRAVAIL ET ECHANGE CHEZ SMITH 15 15 1. La division du travail 15 2. Division du travail et intérêt individuel 15 3. L’échange monétaire 16 SECTION 2 : LA THEORIE DE LA VALEUR 16 1. Le fondement de la valeur 16 2. La mesure

è La problématique Un pays a-t-il intérêt à participer à l'échange international ? Pour Ricardo la réponsene fait aucun doute : un pays peut toujours tirer parti du commerce avec d’autres nations. Avec une telle proposition Ricardo pose les fondements au début du XIXe siècle de la doctrine libre-échangiste, doctrine qui s'inscrit dans la pensée libérale initiée par A. Smith. Cette grande vertu attribuée au libre-échange marque une rupture évidente avec la conception mercantiliste du commerce international

concurrence et que les concurrents soit guidé dans leur action par la sympathie et « les sentiments moraux ». Pour approfondir cette idée centrale d’autorégulation par la main invisible de la concurrence, il convient de définir la conception de la valeur (chez SMITH). * Le prix naturel et le prix de marché : SMITH considère que le prix réel de chaque chose, ce qu’elle coute réellement à la personne qui à besoin de l’acquérir est l’équivalent de la peine et de l’embarrât qu’il a fallu pour l’acquérir

Marx comme pour Keynes, celle-ci se définit à partir de l'adhésion à certaines conceptions théoriques, et non à partir d'un découpage chronologique. Mais ils ne s'accordent pas sur le critère constituant la pierre de touche de l'économie classique : chez Marx il s'agit de la théorie de la valeur-travail, alors que Keynes attribue ce rôle à la loi des débouchés. Des frontières incertaines Une telle diversité de définitions ne contribue pas à clarifier la question des contours de l'économie classique

2.2 Ricardo (1772-1823) Issue d’une famille de financier Il s’inscrit dans le prolongement de Smith car il reprend toutes les questions de Smith en essayant d’aller plus loin dans l’analyse. Son projet est de créé une science économique et d’établir des lois. Il perçoit le capitalisme comme un système avec donc des lois pour l’expliquer. 2.2.1 La théorie de la valeur chez Ricardo Le bon critère pour établi la valeur d’une marchandise on prend la valeur d’échange et non pas la valeur d’usage

è La problématique Un pays a-t-il intérêt à participer à l'échange international ? Pour Ricardo la réponsene fait aucun doute : un pays peut toujours tirer parti du commerce avec d’autres nations. Avec une telle proposition Ricardo pose les fondements au début du XIXe siècle de la doctrine libre-échangiste, doctrine qui s'inscrit dans la pensée libérale initiée par A. Smith. Cette grande vertu attribuée au libre-échange marque une rupture évidente avec la conception mercantiliste du commerce international