L évolution Du Personnage Du Valet

comme sur un document culturel : ex : Enéide, Virgile. 2) un apport au niveau historique : - guerre entre les sabins (enlèvement des sabines) : épisode réel et historique transposé dans l ‘Enéide. - Reflet des mentalités par les types de personnages : guerrier violent, etc Quelques exemples du rapport épopée / histoire :Transposition de noyau historique en vue de la recomposition du mythe : Iliade : achéens / troyens : guerre, expédition, pillage. Troie : ville réelle mais également représentation

considère comme un traître. Elle décide de braver son interdiction pour rendre à son frère les honneurs funèbres mais Ismène tente de l’en dissuader. Le troisième texte est tiré de la pièce de Jean-Paul Sartre, Les mains sales, de 1947. Les deux personnages qui y sont mis en scène sont Hugo, un jeune homme communiste idéaliste, et Hoederer, pragmatique dirigeant du parti. Hugo est entré au service d’Hoederer comme secrétaire avec pour mission de le tuer, mais Hoederer s’en est aperçu et essaie, de

Question préliminaire Le personnage de roman est toujours une création de son auteur, ce dernier lui donne certaines caractéristiques qu’on connaît grâce au narrateur. Ce corpus nous propose de travailler sur l’image des personnages donnée par le narrateur. Plusieurs textes nous sont proposés dont un extrait du chapitre XV du livre premier du Rouge et le Noir de Stendhal, un extrait de Jacques le Fataliste et son Maître de Denis Diderot, un extrait de La Cousine Bette d’Honoré de Balzac, un extrait

libre choix de se mettre dans la peau de son personnage favori. La lecture permet également une meilleure compréhension, en effet, le lecteur peut lire à son rythme, le débit de parole des comédiens ne lui est pas imposé. Il peut relire un acte, une scène qu’il n’a pas bien assimilée et ainsi, il peut mieux comprendre la pièce. Dans des pièces comme Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux où Sylvia et Dorante décident de prendre la place de leurs valets à l’insu de l’autre avant de décider de se

traite. En dehors des amusements des salons, il existe une production littéraire plus ample et consistante qui se matérialise sous la forme du roman et qui quête également l’esprit courtois. Il s’agit du roman héroïque qui raconte les exploits de personnages historiques poussés à se confronter à une suite d’aventures dangereuses par amour (Mademoiselle de Scudéry s’est dépassée dans ce genre), et le roman pastoral qui met en scène de nobles bergers et bergères et restituent une vision idéalisé du monde

se propose en effet de « resjouir » son lecteur par de « plaisans comptes »2, que l'imprimeur nomme « facecies3 ». Comme le laisse présager le titre du recueil, qui implique par le terme de « devis » une forte composante orale, le dialogue des personnages est très présent dans les contes4. La réussite du projet des Nouvelles Récréations est donc grandement tributaire du dialogue, qui peut être soutien vivant ou initiateur du comique, et parfois même substitut d'une trame narrative absente. La question

réflexion sur le mystère du mal et sur comment concilier l'existence du mal sur terre avec l'existence de Dieu. Candide est publié simultanément à Genève, en Angleterre et en France. Ce conte philosophique est basé, comme le signale son nom, sur le personnage principal qui se nomme Candide. Ici, le lecteur est le spectateur de l’évolution du caractère et de la réflexion de Candide.  Tout au long de ce roman, qui est en réalité un conte philosophique, Voltaire critique implicitement l’optimisme et la

bien ou mal écrit - c'est tout.". Il suit la philosophie de « L’Art pour l’Art » : il ne cherche pas la moralité mais la beauté. Ce roman lui vaut une très grande notoriété, mais le public anglais, choqué, lui reproche l'immoralité de certains personnages. Le pionnier de dandysme était l’Anglais George Bryan Brummell, dit Beau Brummell, (1778-1840) mais par ce roman, Oscar Wilde est devenu l’incarnation et l’icône du dandysme. Dorian est, comme lui, un dandy élégant et raffiné qui ne pense qu’à lui-même

Voltaire ne sont pas demeurés en reste face à cette tendance. En effet pour l’auteur de Micromégas qui concevait le conte ainsi que l’arme effilée d’un combat, il ne s’agissait pas seulement de distraire le public, mais d’habiller en thèmes des personnages. Il était question d’illustrer et d’éprouver des pensées directrices à travers les péripéties des romans d’aventure. Cette double vocation qu’attribuait Voltaire au conte se laisse aisément appréhender à travers les titres de ses ouvrages, des titres

trouvait jolie ; elle ne s’en offensa pas, apprécia au contraire son air naïf, et désira même le prendre sous son aile pour qu'il devienne «quelque chose». Il resta donc à Paris, et se sentit «tout d'un coup d'un appétit de fortune.» Elle fit de lui le valet d'un enfant, le neveu de son époux. Le couple des seigneurs n'était plus très uni : «Monsieur» et «Madame» couraient les aventures, se livraient à un «petit libertinage». Une des femmes de chambre, une jolie brune du nom de Geneviève, qui n’aurait