La Beauté De La Tragédie

L'histoire littéraire a coutume de séparer la tragédie et la comédie comme des genres bien tranchés : la tragédie étant noble et sérieuse et la comédie étant futile et amusante. Ces deux genres théâtrales se sont fondés dans l’antiquité grecque et ont été repris dans le théâtre classique français du XVIIe siècle. Dans cette dissertation, nous allons analysez ce qui peut faire « les charmes de la comédie dans un premier paragraphe, et "le plaisir de la tragédie" dans un deuxième paragraphe. Ensuite, j’expliquerai

littéraire « forte, franche, savante, une critique du siècle », « grave », « érudite » Il cite à ce sujet Chateaubriand qui souhaite quitter « la critique mesquine des défauts pour la féconde critique des beautés ». C’est l’idée que rien n’est parfait mais que au contraire ce qui fait la beauté d’une œuvre ce sont ces petites imperfections, « l’originalité se compose de tout cela, le génie est nécessairement inégal. Il n’est pas de hautes montagnes sans profonds précipices ». De plus, cette

La tragédie peut nous séduire par sa beauté formelle , par la splendeur de sa syntaxe , par ses alexandrins envoutants . Quand Phèdre , prototype du personnage racinien , s'avance sur la scène pour déclamer " Je suis la fille de Minos et de Pasiphaé " , le spectateur est sous le charme . Et bien d'autres alexandrins magnifiques restent gravés dans la mémoire collective: " Et le flot qui l'apporta , recule épouvanté " . Citons encore " Il s'en allait pensif sur le chemin de Mycènes . " Cependant

présence du canevas qui m’a attiré l'œil, il vient renforcer la forte signification du poème et la puissance de son lyrisme, la chevelure sert ici de Blason c’est une forme d’allégorie de la beauté féminine mais également de la relation qui uni ces deux êtres. On a aussi une évocation de la tragédie, qui dans la tradition théâtrale marque le déchaînement des passions. Le mot « Incendie » qui vient accentuer ce déchaîne – ment. Le prochain poème dont je vais vous faire part est un poème

Phèdre : « Ainsi j'ai tâché de conserver la vraisemblance de l'histoire, sans rien perdre des ornements de la fable, qui fournit extrêmement à la poésie » « Au reste, je n'ose encore assurer que cette pièce soit en effet la meilleure de mes tragédies. Je laisse aux lecteurs et au temps à décider de son véritable prix. Ce que je puis assurer, c'est que je n'en ai point fait où la vertu soit plus mise en jour que dans celle−ci. Les moindres fautes y sont sévèrement punies ; la seule pensée du crime

En effet, ses cheveux blonds aux reflets roux lui font penser à un incendie : "et peigner sans rien dire un reflet d’incendie", "incendie", "feux", "cheveux d’or" et "cheveux dorés". La métaphore avec l’or est méliorative, elle rend compte de la beauté d’Elsa. Aragon fait une comparaison entre les cheveux de sa femme et la moire : "le peigne partageait les feux de cette moire" La moire est un tissu chatoyant, qui a l’apparence d’ondes. Cette comparaison montre que les cheveux d’Elsa étaient crantés

Antigone de Jean Anouilh (1944) Le sujet de cette tragédie en prose est « l’histoire d’Antigone ». Anouilh l’a emprunté à Sophocle, imitant même le découpage de la pièce grecque (pas de scènes numérotées) et introduisant un chœur ; mais il a supprimé de l’action toute donnée religieuse pour s’en tenir à une réflexion athée sur la pureté et les exigences de la vie. Le chœur intervient dans la tragédie de deux façons : - Pour débuter l’action et faire progresser l’histoire - Pour raisonner

siècle mais concerne aussi le théâtre ainsi que d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture. Il suit des règles qui doivent être respectées pour faire passer un message à ses lecteurs et pour montrer sa grande classe ainsi que sa beauté. Principaux représentants : Jean Racine, Molière, La Bruyère, Corneille, La Fontaine, Boileau Ses principes : Il s’inspire et prend pour modèle sur les œuvres de l’antiquité gréco-romaine = modèle de perfection. Le classicisme s’oppose au baroque

place publique. Mélange des genres : contradiction entre les éléments comiques et tragiques, entre lyrisme et l'obscénité. Rôle important joué par les personnages secondaires : ce sont les valets qui amorcent la tragédie. CONCLUSION : Bien qu'elle semble assez éloignée de la tragédie de Vérone, la scène d'ouverture assure non seulement un rôle programmatif, mais amorce véritablement la scène à venir. La forme grotesque donnée à la pièce par les valets maintien une contradiction entre une célébration

L’art est une des expressions les plus anciennes de la culture humaine. Ainsi, les dessins des hommes préhistoriques nous émeuvent encore aujourd’hui par leur beauté. L’art nous a été rendu accessible par la sensualité, et en effet, l'œuvre est bien un objet d'abord appréhendé par les sens, et est destinée a être vue. L'art a ainsi longtemps été dévalué par la philosophie, qui elle au contraire se définie comme une recherche intellectuelle: l'œuvre d'art était comprise par Platon comme une imitation