La Beauté Est Elle Une Qualité Des Choses

fermière de l’Iowa (technique). Monet - Impression, soleil levant. On ne peint pas le réel mais l’impression Turner : montre ce qu’est le brouillard et sa beautéOscar Wild : « les choses sont parce que nous le voyons, et ce que nous voyons, et comment nous le voyons, dépend des arts qui nous ont influencé »Art  : quelque chose qui montre, l’artiste c’est celui qui force le processus émotionnel. C’est

receuil de Francis Ponge Le parti pris des choses, l'objet aussi ordinaire soit-il a su s'imposer peu à peu notamment à partir du XIXème siècle. Cependant, une chose si banale qu'est l'objet quotidien peut-il être la thématique centrale d'un poème alors que traditionnellement seuls les sujets nobles y étaient mis à l'honneur ? Ponge disait : « Etant donné une chose – la plus ordinaire – soit-elle – il me semble qu'elle présente toujours quelques qualités vraiment particulières ». On peut se demander

A.La notion de Beauté : La notion  de beauté inclus en elle des objets d’une si grande diversité que nous ne voyons même plus ce qu’il y a de commun entre ces différents objets, c'est-à-dire entre les genres de beautés qu’ils expriment. Qu’ y a-t-il de commun entre la beauté d’un tableau de Renoir, une symphonie de Beethoven, un geste technique d’un athlète, la plaidoirie d’un avocat ou encore le visage d’une personne. Il semble difficile de parvenir à une définition de la beauté, c’est d’ailleurs

La beauté existe-t-elle ? Qu’entendons-nous par beauté ? La beauté selon l'opinion commune est ce qui suscite un certain plaisir au travers d’une expérience sensorielle. Néanmoins elle apparaît comme étant quelque chose de relatif, variant d'un individu à un autre. Il est donc légitime de se demander si la beauté est un sentiment purement subjectif ou si ce sentiment peut s’universaliser. En effet, si la beauté comme le pense l'opinion commune est quelque chose qui varie d'un individu à un autre

Introduction A l’encontre de la beauté, la laideur dans l’art n’a que rarement été traitée par les sociologues, les philosophes et les critiques d’art. La laideur n’a pas fait problème[2]. On l’a bien souvent réduite à être « manque de », « privation de », « simple trace marquée par la déception ou le regret »[3] , comme s’il suffisait d’énumérer les critères du laid pour le renvoyer au non-être ou au domaine négatif du beau[4]. Pourtant, si pour Passeron « il n’est pas sûr, que la chose laide

une année sur la beauté ! On saisira alors que le but de Platon n’est pas de chercher, comme le fait Hippias ou l’élève naïf, dans l’expérience « ce qui est beau » mais « ce qu’est le beau », c’est-à-dire son essence (on se méfiera donc durant l’année des exemples sur la beauté (question qui) qui viendraient interdire une véritable réflexion sur ce qu’est la beauté). Bref, ce n’est pas l’objet beau qui intéresse Platon (Hippias multiplie de façon inutile les cas particuliers de beauté données dans l’expérience)

l'artiste qui est pourvoyeur. L'artiste ne fait qu'imiter la nature. La vrai beauté ne peut etre dissocié du bien et des idées. La beauté sensible sera tjrs inférieure à la beauté de l'ame. (Qualité morale). L'art est un produit de l'esprit humain il doit etre valorisé. Pour Hegel au contraire de Platon la beauté artistique est supérieure a la beauté de la nature. Chez Hegel, il y a une supériorité de la beauté artistique sur la beauté naturelle et l'art comme produit de la nature humaine doit être valorisé

Le philosophe PASCAL dans les «Pensées », s’interroge sur le moi. Il se demande si aimer quelqu’un pour ses qualités physiques, morales, ou pour autre chose, est-ce vraiment l’aimer. Quelles sont les veritables raisons de notre amour ? Ainsi on aime une personne plutôt qu’une autre pour quelque chose mais quoi ?En déchiffrant la logique de Pascal nous répondrons a la question nous trouverons une réponse sur la raison de notre amour et donc de la signification du « moi ». PASCAL Qu'est-ce que

l'extérieur des choses, leur apparence sensible. Mais il vient introduire un autre ordre dans le réel : celui de la pure apparence car l'objet sensible est bien une apparence mais il est l'apparence de quelque chose, d'une idée. Le lit réel est apparence de l'Idée du lit. Le lit peint est apparence de l'apparence du lit réel. Il faut donc établir une hiérarchie des réalités sous peine de confondre les ordres. « Il y a trois sortes de lits ; l'une qui existe dans la nature des choses et dont nous pouvons

premièrement de disposer de ses qualités: on peut en effet le constater avec la question rhétorique « Quand un être sensible a reçu de la Nature une imagination vive, comment lui ravir le droit d'en disposer à son gré? ». Il lui oblige aussi certaines choses. On voit ainsi qu'il l'oblige à l'admirer: « l'homme exige pour son propre compte un tribut journalier d'admiration. » ou d'être belle: « l'homme aimera toujours mieux la beauté d'une femme que son esprit [...] » ici la beauté est mit en contradiction