La Beauté Est Elle Universelle

considéré selon la quantité §6 : Le beau est ce qui est représenté sans concept comme objet d'une satisfaction universelle. §7 : Comparaison du beau avec l'agréable et le bien par l'intermédiaire de la caractéristique précédente : L'agréable est représenté sans concept comme objet d'une satisfaction particulière. Le bon est représenté par concept comme objet d'une satisfaction universelle. §8 : L'universalité du plaisir n'est dans un jugement de goût, représentée que de façon subjective (une singularité

Introduction: Parce que la beauté est affaire de sensibilité il nous est aisé d'émettre un jugement esthétique sur une oeuvre d'art mais il est d'autant plus difficile de prouver la valeur de ce même jugement. Pour convaincre il nous faut démontrer, or il n'existe pas de critère de beauté nous permettant de justifier par une argumentation logique la valeur esthétique d'une oeuvre. Cependant lorsque la contemplation d'une oeuvre nous apporte satisfaction il nous apparaît nécessaire de partager

ne peut pas discuter des goûts ? Le goût dans sa première signification est le sens par lequel on perçoit les saveurs. Mais il est aussi ,et c'est le sens qu'il prend ici dans la question posée, la faculté de porter un jugement approprié sur la beauté d'une oeuvre d'art. C'est la faculté de reconnaître et d'apprécier le beau. La conception du beau, elle, varie selon les époques, les cultures, et les personnes. On se pose alors ici la question de savoir s'il est légitime d'échanger, de partager

remplir une même fonction. -Une différence qualitative, l’œuvre d’art a pour finalité le beau du moins dans une dimension plastique. L’artefact ordinaire a pour finalité l’utile ce qui veut dire évidement que l’œuvre d’art est belle et inutile que la beauté est une finalité valant pour elle-même. On voit donc que la création artistique engendre des œuvres d’art unique et belle aillant une valeur du fait même qu’elles sont issus de cette création les rendant unique et belle. Il est clair aussi que

Dissertation de Philosophie Peut-on convaincre autrui qu’une œuvre d’art est belle ? Le beau ou la beauté pour Kant dans sa Critique de la faculté de juger c’est l'objet d'une satisfaction désintéressée et nécessaire, une chose qui plaît universellement sans concept et qui est sans finalité. Mais peut-on réellement convaincre autrui que quelque chose est beau si lui trouve cette chose pas belle ? C’est ce que nous allons voir dans cette dissertation. Dans un premier temps, nous allons

sensation immédiate. C'est-à-dire celle qui n'a pas encore été élaborée dans une représentation. Et cette distinction entre la sensation et la représentation nous sera par la suite très utile pour comprendre comment Kant peut dire que le beau est universel, à l'inverse de l'agréable, ce à quoi il s'emploie dans son second paragraphe. Suivant le texte, nous lisons donc que pour ce qui est du beau, "il en va tout autrement". Le premier argument est assez empirique, et consiste à dire que

produit ; création artistique/ invention technique). -beau/ bon/ agréable. -universel/ général. 3/ Points de doctrine : -le génie artistique chez Kant. La définition kantienne du beau. -le cheminement et l’aporie de la recherche de Socrate et d’Hippias dans l’Hippias Majeur. 4/ Les grands problèmes : -le problème de la définition d’une œuvre d’art. -le problème de la beauté gratuite. -le problème de la définition de la beauté (au-delà des choses belles notamment). -le problème de l’art contemporain

Hélène (1578).Le poème étudié ici est Mignonne allons voir si la rose, ou Ode à Cassandre. Il s’agit d’un poème lyrique, imageant une femme aimée par Ronsard, Cassandre, par un rose.Le temps et le cours de la vie sont abordés : c’est un message universel. Dans ce poème, Ronsard déclare sa flamme à Cassandre. Cependant, son nom n’est jamais exprimé dans le texte, il est remplacé par le terme laudatif « mignonne », notamment aux lignes 1-8-13. C’est aussi une appellation affective, qui rend

§ 17 — De l’idéal de la beauté Il ne peut y avoir nulle règle objective du goût qui détermine par concepts ce qui est beau. Car tout jugement dérivant de cette source est esthétique, autrement dit : c’est le sentiment du sujet, et non un concept de l’objet, qui est son principe déterminant. Chercher un principe du goût, qui fournirait le critérium universel du beau par des concepts déterminés, c’est une entreprise stérile, étant donné

s'agit de savoir si la notion de beauté est essentielle pour qualifier l’œuvre d'art, si elle en est la condition indispensable d’existence. Autrement dit, pour une création appelé «  œuvre d'art » doit- elle impérativement être jugée comme belle, ou peut on au contraire séparer le concept du beau de celui de l’œuvre d'art ? De plus, si l'on s'interroge sur le lien entre le beau et l’œuvre d'art, il est nécessaire de s'attarder sur ce qui permet de définir la beauté d'une œuvre d'art. Cela nous amène