La Beauté La Laideur

comme si Psyché était tiraillée, perdue… Regard du narrateur devenant externe au niveau de la strophe… Le narrateur fusionne souplement un peu les deux points de vue. Ecriture poétique de La Fontaine : style élevé, lyrique, qui sert à magnifier la beauté de l’amour, telle une langue des dieux… Allégories qui foisonnent, comme si par contamination de l’amour nous étions passés dans un registre complètement surnaturel, domaine de la merveille, explosion de lumière etc. Alors qu’il ne s’agit que d’un

redondance de termes “charogne infâme" v3 lie la beauté à la laideur → antithèse en rimes embrassés âme/infâme, doux/caillouxAnalyse deuxième strophe ● associe la charogne à une femme aux allures érotique → CL de la luxure « Jambes en l’air », « femme lubrique », « brûlante », « suant les poisons » ● synesthésie : vue, toucher “brulante” odorat: le laid present ds chaque sens Analyse de la troisième strophe : B. conduit le lecteur vers la laideur ● description de la charogne se fait grâce à esthétique

termes qu’il utilise font en effet plutôt partie du registre de la beauté (“chant”, “rossignol”, “son œil de lumière”) que de la laideur. On peut penser que le crapaud dont il est question dans le poème est un alyte, ou crapaud accoucheur, qui a des yeux dorés à la la pupille fendue comme celle des chats, et dont le cri très doux évoque effectivement davantage un chant qu’un coassement [1] : Chant du crapaud alyte : Mais cette beauté que perçoit Corbière est incomprise par sa compagne (l’expression

« cheveux bruns fortement pommadés ». Le terme « pommadés » Artifice du maquillage théâtral : Vénus provenait plus de la Commedia dell’Arte que de la poésie. · Champ lexical de la laideur (« pommadés », « mal ravaudés », « saillent », « horrible », « hideusement », « ulcère ») et

Baudelaire, poète inclassable du milieux du XIXème siècle est le père de la modernité. C’est un auteur charnière qui voue un culte à la beauté et se complaît dans l’exagération, l’outrance, la fantaisie, et la provocation. Son style fut influencé par le romantisme d’Hugo (qui était pour lui une figure paternelle) et sa poésie déteint notamment sur celle de Rimbaud et Verlaine, deux poètes symbolistes. Il souhaite libérer l’esthétique de toute considération morale ou éthique. Le recueil Les fleurs

cinéma. Quels sont les moyens artistiques utilisés pour aborder le thème de la laideur et de la beauté ? Du merveilleux ? De l’ambivalence humain /animal. Un site en lien avec le film de Jean Cocteau : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/ecoleetcinema31/films/bellebete/fiche.htm Débats interprétatifs La laideur /la beauté Être un monstre en apparence mais à l’intérieur de soi, connaître les sentiments les plus délicats. La laideur n’est rien : nul n’est totalement laid ni beau (apparence physique/rapport

a) Amour idyllique (Pyrame et Thisbé) (chap. I, p. 25-26) b) Idéalisation de sa future relation amoureuse : «Elle savait seulement qu’elle l’adorerait de toute son âme et qu’il la chérirait de toute sa force.» (chap. I, p. 28) = parallélisme 2. Beauté de la vie a) Richesse du château (chap. I, p. 24-26) b) Paysages des Peuples : «Elle errait à pas lents le long des routes, l’esprit parti dans les rêves ; ou bien, elle descendait, en gambadant, les petites vallées tortueuses, dont les deux croupes

Une fable plaisante 1- Des procédés d'écritures - Le titre de l'article élimine le déterminant défini signifiant qu'il n'y a pas une seule beauté, mais une multitude de beautés. - Voltaire utilise l'effet de surprise, et cet effet crée un effet comique : demander à un crapaud ce qu'est la beauté, alors que le crapaud est plutôt le symbole de la laideur. - "deux gros yeux ronds sortant de sa petite tête" -> effet comique. - Jeu de questions / réponses, comme pour une enquête. - Voltaire propose

un grand fan de Baudelaire, dont la these artistique principale reside dans le fait qu'imiter l'art a la production du beau est depasse, et que la laideur peut etre source d'art (d'ou "les fleurs du mal") Il y a peut etre dans cette phrase un rejet de la forme poetique classique... c'est comme cela que je le vois... la personnification de la beaute en tant que femme est un cliche de l'epoque...Rimbaud la reprend a son compte et la deforme... remets toi dans le contexte, une femme sur les genoux

décalage classique/moderne : Forme classique opposée au sujet, évoquer la décomposition du corps = inédit, novateur, ainsi réalité immonde devient poétique = Nouvelle esthétique celle de la laideur B/ L’esthétique de la laideur 1. Le titre  Choquant, rien de poétique = new forme de poésie  Beauté : plus dans le thème mais dans les mots, surgit d’une réalité insupportable = ne provoque pas réellement de dégoût 2. ??????????  La putréfaction, « putride » 17, « pourriture » 9, « infection »