La Bete Humaine Tragique

structure dramatique de la pièce 4 La machine infernale: une pièce tragique A travers son prologue « La Voix », Cocteau définit la tragédie par la « Machine infernale », qui est également le titre de la pièce. Il définit cette machine comme la vie humaine, ou « une de plus parfaites machines construites par les dieux infernaux pour l’anéantissement mathématique d’un mortel » (La Voix, page 35). Cette définition du tragique est illustrée par la pièce elle-même. La fatalité qui s’abat sur Œdipe

l’existence, le suicide, la mort, la souffrance, l’action, la crainte de la mort qui retarde les décisions les plus fermes, la crainte de l’au-delà, l’avilissement de la chair, le triomphe du vice sur la vertu, l’orgueil et l’hypocrisie de l’être humain, la difficulté d’agir sous le poids d’une réflexion " qui fait de nous des lâches ". et on retrouve ts ces leiux communs dans lusage que fait Koltès de monologues . II- Le monologue : traducteur de l’altérité et de la violence moderne.

mange..! et je le trouve succulent ». Il est totalement insensible à l'émotion d'Ondine et se montre même ironique. Ondine ne supporte pas la grossièreté de ce Chevalier. III) Un renversement de situation La scène d'amour vire à la scène de dépit tragique, à partir du moment où Eugénie apporte la truite (cf. didascalie: » Eugénie revient avec son plat ») A) La colère d'Ondine Contre ses parents Ondine a une très grande force de caractère, obstinée et résolue,elle est « effrontée » et provocatrice

Oscar et la dame rose », adapté au cinéma, en est un exemple : un petit garçon qui meurt d’une maladie incurable, la présence de la Dame en rose qui lui suggère d’écrire à Dieu avec, chaque jour, dix ans de plus. C’est une belle image d’une enfance tragique, bouleversante mais aussi très poétique et très pudique. « Oscar et la dame rose » fait partie des romans qu’Eric-Emmanuel Schmitt qualifie de « Cycle de l’invisible », au même titre que « Milarepa », « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

qui s’ignorent, et pas autre chose, si, tout autre chose, que je suis tout autre chose, une chose muette, dans un endroit dur, vide, clos, sec, net, noir, où rien ne bouge, rien ne parle, et que j’écoute, et j’entends, et que je cherche, comme une bête née en cage de bêtes nées en cage de bêtes nées en cages de bêtes nées en cage…» (L’Innommable, 1953) Niki de Saint Phalle, SaintSébastien ou le Portrait de mon amour, . ’ La crise du langage Si, comme l’indique son nom, une représentation

que la bêtise n'en a pas. Voir un être profondément bête, c'est très enrichissant et l'on a pas à le mépriser pour autant." Les Godelureaux, l'année suivante, ne rencontre pas plus de succès. Il se lance alors dans la réalisation de films d'espionnage souvent parodiques et toujours plein d'humour, mais boudés par la critique. Il renoue avec le succès à partir de 1968 avec une série de films : Les Biches, La femme infidèle (1969), Que la bête meure (1969), Le boucher (1970). Claude Chabrol aime

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La bête humaine’’ (1890 roman d’Émile ZOLA (340 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 7) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 8) l’intérêt documentaire (page 8) l’intérêt psychologique (page 9) l’intérêt philosophique (page 11) la destinée de l’œuvre (page 11) Bonne lecture ! Résumé Chapitre I Roubaud, sous-chef de la gare du Havre, en déplacement à Paris

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La bête humaine’’ (1890 roman d’Émile ZOLA (340 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 7) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 8) l’intérêt documentaire (page 8) l’intérêt psychologique (page 9)

« Son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche » = énumération, accentue l’aspect négatif de la situation. « Une bête de Méduse gaie » allégorie du personnage bouc-émissaire « grand, bien fait, agile, nullement difforme si ce n’est son visage » = adjectifs mélioratifs pour tenter de positiver sur son aspect physique

C’est ce qu’on peut d’ailleurs lire à travers ces propos qu’il adresse à Hippolyte : « par humanité, je voulais te voir débarrassé de ta hideuse claudication » (Madame Bovary, p. 153). C’est donc un personnage non seulement ridicule et odieux, mais bête, d’une bêtise pernicieuse et même dangereuse puisqu’elle prétend lutter contre la bêtise commune. C’est elle que Sartre appellerait « bêtise de deuxième instance » De même, Rodolphe est un représentant de la médiocrité. Il est lui aussi adepte de