La Bruyere La Vanité

XVIIe ironie toujours mordante. Boileau a écrit ces satires sur la vie des gens. Ils parlent de choses qu’ils ne connaissent pas : Critique sur l’imbécilité du comportement. Boileau se présente comme un témoin. La vanité des gens A la fin du XVII l’écrivain qui écrit des portraits : La Bruyère. Les maximes de Rochefoucauld. Aussi car on commence à critiquer ouvertement. C’est juste avant la liberté de penser du XVIIIe. Les Bonnes : Elles s’amusent à jouer madame à tour de rôle. 6 personnages en quête

s'installer à Paris. 1664-1696 : Publication de fables et de contes, dans le meme temps, il se met au service de la Duchesse d'Orléan. Il mène une vie brillante, mondaine ou il fréquente des ecrivains comme Moliere, Racine. Il est le contemportain de La Bruyere et de Racine. En s'inspirant des de l' et en particulier d', qu'il écrit les Fables qui font sa renommée. Il se concentre sur les fables, 12 livres de fable de différents themes : Il évoque : - Nature humaine . (préoccupe les moralistes de l'epoque)

édition revue et corrigée par l'auteur, publiée par E. Michallet, 1696. Table des matières http://www.gutenberg.org/files/17980/17980-h/17980-h.htm (1 of 213) [2008-10-01 16:56:21] The Project Gutenberg eBook of Les Caractères, par Jean de La Bruyere. LES CARACTÈRES DE THÉOPHRASTE Discours sur Théophraste Les caractères de Théophraste De la dissimulation De la flatterie De l'impertinent ou du diseur de rien De la rusticité Du complaisant De l'image d'un coquin Du grand parleur Du débit des

Fiches de langue : Comment mieux rédiger (étapes 1 et 2) 28 Séquence 1 – FR40 1 A Formes du discours argumentatif Un enjeu commun : convaincre, persuader ■ Observation 1 Texte A Contexte : Dans le recueil des Caractères, La Bruyère observe les travers de la nature humaine et dresse un tableau critique de son époque. En voici quelques extraits : Il y a des misères sur la terre qui saisissent le cœur. Il manque à quelques-uns jusqu’aux aliments ; ils redoutent l’hiver ; ils appréhendent

moralistes, il maitrise ses émotions dans une quête de modération. ex: La Bruyère dans les Caractères dresse un portait critique de ses contemporains afin de leur montrer leurs défauts pour les corriger. exemple:La Fontaine: Il emprunte au fabuliste Esope la forme de la fable. Le masque de l’animalité lui permet de faire un satire sur les moeurs de la société, l’aristocratie, le roi… La critique reste claire et pertinente. La Bruyère: Registre satirique aussi lors de sa description de ses portraits de

-implique le lecteur grâce aux « vous » --> convaint le lecteur -Chute « c'est un homme à la mode » --> nous demande si on a des amis comme pamphile -Lb critique la société qui permet l'existance des Pamphiles, des vaniteux Intro : La bruyère, grand portraitiste du XVIIeme a peint dans son essai Les caractères, les portrait de ses contemporains afin de corriger les defauts de sa société. Dans son chapitre « Des grands », où il s'attaque à l'élite sociale, il crée Pamphile, qui représente

pas aux autres cultures étrangères : les parisiens aiment leur culture, leurs traditions et n'ont aucune envie d'aller voir ailleurs, ni encore moins de d’ouvrir leurs esprits à l’inconnu de ce monde, qui est pourtant le leur. Une certaine forme de vanité peut être alors perçue par les Parisiens, en effet le persan a une juste estime de soi (Ligne 18) « très bonne opinion », cependant la célébrité ne le rend pas pour autant orgueilleux. La ligne 16, indique l’embarras de Rica par l’expression « charges »

qui respectent strictement l’ordre dans lequel on a trouvé les pages manuscrites à la mort de Pascal. « Les copies des originaux, faites par la famille de Pascal, ont élaboré une structure : les dix premières liasses ont pour sujet l'homme : Ordre, Vanité, Misère, Ennui, (Opinions du peuple saines, titre barré), Raison des effets, Grandeur, Contrariétés, Divertissement, Philosophes, Le Souverain Bien ; les dix-huit autres liasses ont pour sujet la théologie et constituent plus particulièrement le projet

« a ». On peut suggérer que c’est les résonnances du lion. V.16 : Langage ambigu qui permet d’atteindre la société des hô à travers les animaux. V.17 : « Je » donc parenthèse de La Fontaine pour montrer le comportement des courtisans (idem chez la Bruyère et Montesquieu) V.19 : Chiasme. Il nous permet d’insister sur le mot « tout » et « indifférent ». Rapidité → Rythme + ordre des mots. Il s’indigne, il est méprisant envers les courtisans. « peuple singe du maître » (DU BELLAY) V.22 : Un esprit

parti pour les catholiques. Ces œuvres sont marquées par des Muses : * Marie : Continuation des amours (Marie De Clèves & Marie Dupin) * Cassandre : Odes * Hélène : Sonnet pour Hélène (suivante de la Reine) 3) La bruyère(1645-1696) Il évoque les caractères qu’il présente comme une suite de maximes, de réflexion et de portrait. Son but : * Décrire les caractères et les meurs de son temps * Révéler le ridicule et les injustices liés au comportement humain