La Bruyere La Vanité

époque avec leur psychologie, leurs passions et leurs vices. C'est sur l'Homme et la société que porte essentiellement mon observation. Comme Racine, j'ai peint le tendresse, la jalousie et l'ambition; comme Molière, la vanité, l'hypocrisie, le mensonge et l'avarice; comme La Bruyère, la suffisance des grands et la timidité des petits. C'est toute la société du 17ème qui est visée dans mes fables : le roi et les grands, la cour et la noblesse de province. A vous donc de découvrir la leçon morale de

(en dit le moins possible). Il utilise une très grandes variétés de thèmes. Utilise tous les genres même à l'intérieur de ses livres. *ESSAIS: 1968: La parole de la Délie (sur Scève) 1986: Une gène technique à l'égard des fragments (sur La Bruyère) 1986: Le voeu du silence (sur RL des Forêts). Essais sur la peinture 1991: G. de la Tour Essai sur la musique 1987: "La leçon de musique" Essais sur la sexualité 1994: "Le sexe et l'effroi" 2007: "La nuit sexuelle" Essais sur le langage

l'homme universel, et non de l'homme historique ; > pas de critique du régime. Possibilité cependant de parler à mots couverts ou dans des contextes particuliers : cf. Sermon sur le mauvais riche de Bossuet cf. textes de Pascal ou de La Bruyère sur la vanité des grands cf. La Fontaine lui-même, évoquant une certaine critique de la société sous le masque des animaux cf. les Lettres Persanes de Montesquieu : travestissement oriental qui permet la critique. . 1. Un homme vit une couleuvre

Titouan 1S1 MARCHAL Invention : écriture d’une satire à la façon de La Bruyère On parle d’un village où un homme à long nez est célèbre. C’est le grand là-bas : son nez plein de fierté le guide devant ceux qui veulent tout savoir. Superbia leur dit tout ce qu’ils veulent entendre. Superbia est une figure emblématique dans ce petit village. C’est un jeune homme au passé inconnu

que Boileau donne de l’Homme est donc dévalorisante. Il accuse ainsi [= il met nettement en évidence], par l’exagération littéraire propre au genre de la satire, la faiblesse de la nature humaine et la vanité des prétentions de l’Homme. Texte 3 : Dans Les Caractères (1691), Jean de La Bruyère, auteur du XVIIème siècle, a pour projet de « peindre l’homme en général ». Le double portrait de Giton et Phédon termine le chapitre intitulé « Des biens de fortune ». La question de l’Homme, c’est : qu’est-ce

du ton, mais aussi par le récit du voyage de la Cour à Chambord, les propos tenus sur les “Nègres”, les rapports entre Français des colonies, les malheurs du pauvre marquis. Tout est matière à propos sarcastiques, l’auteur démontre avec drôlerie la vanité de l’homme de cour. 1. Donnez trois traits de caractère de Dunan. Justifiez. · Dunan est un personnage marqué par sa détermination. Le marquis est capable de tout faire si cela veut dire obtenir la reconnaissance

Tout d’abord, on remarque que les fragments sont de formes très diverses, correspondant à des états d’achèvement différents. À la différence des Essais de Montaigne (1580-1595), des Maximes de La Rochefoucault (1665-1678) ou des Caractères de La Bruyère (1688-1694), les Pensées de Pascal n’est pas une œuvre achevée, ce qui explique son caractère fragmentaire, et la très grande hétérogénéité de ces fragments. Ils se présentent souvent comme des notes de ________________________________________________________________________________________

les  courtisans  ont  les  mêmes  manières=>  article  indéfini  «  un  »  répété  8  fois  souligne  leur   caractère  interchangeable.   § à  l’hypocrisie  s’ajoute  de  la  vanité=>  «  anobli  »  «  baise  main  »  on  se  croit  très  important   § on  parle  avec  emphases  et  beaucoup  de  prétentions  de  sujets  qu’on  connaît  mal  et

pour écrire des fables qui utilisent l’anthropomorphisme et proposent une satire de l’aristocratie, la vie de cour, la féodalité). Une stratégie indirecte avec des critiques claires et pertinentes et une morale. Jean de la Bruyère dénonce au travers de ses portraits la vanité du pouvoir et la vie mondaine dans ses Caractères (1688) alors que Louis XIV créer son image du « Roi Soleil » Blaise Pascal (1670) dans ses Pensées montre la fragilité de la condition humaine. Ses interrogations portes sur

Synthèse sur Les Caractères de La Bruyère I-La comédie sociale L'oeuvre, à travers ses nombreux portraits (voir le VI) est composée d'une galerie de personnages. Cet ensemble ressemble à une comédie humaine au sens où Balzac l'entendait. LB y explore les vices des hommes comme Balzac le fera au XIXe siècle ; les deux auteurs proposent une classification, une typologie de caractères, un « inventaire des vices et des vertus. » (Balzac, Avant-Propos de La Comédie humaine) L'organisation des