La Bruyere La Vanité

Les Fleurs du mal Queneau, « Je crains pas ça tellment » in L'instant fatal, 1948 • Lecture d’images : Memento mori Antonio de Pereda (1611-1678), Allégorie du temps qui passe (1634) Jacques de Gheyn le jeune (1565-1629), Vanité (1603) Philippe de Champaigne (1602-1674), Vanité Hans Holbein le Jeune (1497-1543), Les Ambassadeurs (1533) Hans Baldung (1485-1545), Les Trois âges de la vie (1510) • Evaluations : Commentaires : Vigny, « Le Bal » ; Aragon, « Ce que dit Elsa » Corpus de bac sur le motif

Séance 2 :  Placere et docere , le ridicule au service de l’argumentation Problématique : « Comment et pourquoi l’auteur met en scène un courtisan pédant, contre-modèle de l’honnête homme ? »IntroductionLa Bruyère (1645-1696), homme discret, philosophe moral, est un écrivain moraliste du « Grand siècle » souvent pessimiste à propos de la condition humaine. Auteur emblématique du Classicisme (M), il fut le précepteur du duc de Bourbon et suivit, jusqu’à sa mort

royal. Par exemple, La Rochefoucauld, au siècle classique, a brillé par ses Maximes qui dénonçaient pourtant la vanité, l’hypocrisie, la lâcheté de ses contemporains. La brièveté de ses énoncés, qui s’apparentaient à des proverbes, facilitaient la mémorisation tout autant qu’ils devaient frapper l’esprit par la justesse de leur formulation. Quand le moraliste affirme « Ce qui nous rend la vanité des autres insupportable, c’est qu’elle blesse la nôtre », on ne peut qu’accréditer ce propos qui ne semble

Microsoft Word - Livre du professeur Les Caracte`res Livre XI.docx1    Livre du professeur : La Bruyère, Les Caractères, Livre XI  Objet d’étude : La littérature d’idées du XVIe au XVIIIe siècle  Parcours : Peindre les hommes, examiner la nature humaine 1. Deux séquences pédagogiques avec l’édition Folio + Lycée :  Séquence 1 :   Les Caractères, une peinture sociale  Problématique : En quoi Les Caractères constituent-ils une galerie de portraits satiriques ?  Séance Titre (et support) Objectif

enfin nous montrerons qu’en étudiant les moeurs de la société, Balzac se veut sociologue et historien de son époque. Théodore de Sommervieux peut être considéré comme l'archétype de l’Artiste.Une des caractéristiques de l’Artiste peut être sa vanité et l’importance de sa personne au détriment des autres, son égoïsme et son égocentrisme. On peut remarquer que Sommervieux est un artiste égoïste et vaniteux. En effet, il change de comportement du jour au lendemain. Il “sentit un matin la nécessité

triste, lors même qu'il exprime le bonheur. Notre coeur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes, et où nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs. Le jour je m'égarais sur de grandes bruyères terminées par des forêts. Qu'il fallait peu de choses à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc

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la préface des Caractères, La Bruyère affirme : « On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction. » Après vous être interrogé(e) sur le sens du mot « instruction », vous vous demanderez si c’est le seul but de la littérature. Les clés du sujet Comprendre le sujet La citation de La Bruyère (à travers la préposition « pour »), et la question qui la suit (à travers le mot « but ») posent toutes deux le problème de la fonction de la littérature. La Bruyère propose une thèse très claire

démontrer l’efficacité de l’argumentation directe ou explicite : Dans « Les Caractères », La Bruyère critique et dénonce de façon directe la vanité des hommes et sa présence dans eux. L’auteur cherche à provoquer une réaction chez les lecteurs et donc sur la société de l’époque. Il énonce clairement sa thèse en écrivant : « Les hommes rougissent moins de leurs crimes que de leurs faiblesses et de leur vanité. » ; «  Les hommes sont très vains, et ils ne haïssent rien tant que de passer pour tels. » ;

d'Henriette d'Angleterre, épouse du frère du roi, Philippe d’Orléans, plonge la cours dans l’affliction la plus profonde. Le prélat prononce lors des funérailles un discours d'hommage resté célèbre, qui invite à méditer sur le sens de la vie et sur la vanité de notre passage sur terre au regard de l’épreuve de vérité que constitue la mort dans une perspective chrétienne. C’est un extrait de cette oraison funèbre dont nous allons proposer l’explication. [Problématique :] Nous chercherons à montrer que